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24 heures dans la vie du FC Nantes

La première mise au vert des Jaunes n'a pas été une partie de plaisir pour Élie Baup. Nous étions là pour tout voir et tout entendre.

Auteur : Manuel Mary le 26 Nov 2008

 

Afin de mieux découvrir le groupe qu’il est appelé à diriger pour une saison trois-quarts, Élie Baup décide d’emmener tout le FC Nantes en stage, à la veille de son premier match à La Beaujoire.


logo_fcna_parodie.jpg14h01: Le car jaune et vert est garé sur le parking de la Jonelière. Les joueurs s’y assoient deux par deux. Frédéric Da Rocha s’installe seul sur son siège, en souriant, et indique à Cubilier que la place à côté de lui est déjà prise.

14h05: Élie Baup se saisit du micro du car, et annonce: "Nous partons tous à Saint-Jean-de-Monts". "De votre quoi?", demande Guillaume Moullec. "De son cul!", marmonne Jérôme Alonzo, en refermant le dernier Michel Onfray.

14h38: En voyant le panneau directionnel, David de Freitas pousse du coude Eric Cubilier: "T’as vu, comme ça on sera directement sur la route de Niort".

15h30: Le car arrive devant l’hôtel. Posté sur le perron, le portier lance à chaque joueur les clés de leur chambre, qui arrivent pile dans leurs mains. Élie Baup leur donne une heure pour être en tenue et rejoindre le terrain voisin.

16h32: Michael Gravgaard arrive à la Jonelière. Il monte dans la voiture de Pascal Praud, qui l’a attendu.

16h40: Le groupe entre sur le terrain bosselé du Stade municipal de Saint-Jean-de-Monts, pour une mise en place. Élie Baup rematque l’endurance de Guirane N’Daw. Il glisse à Christian Larièpe: "Hé bé, celui-là on dirait qu’il a trois poumons". Larièpe sourit en coin, et ajoute tout bas: "Ben oui: en fait, il a vraiment trois poumons". Djordjevic et Bekamenga font une séance de tir aux vingt mètres.

16h50: Da Rocha multiplie les passes dans le vide, en souriant. À la demande de Baup, Djordjevic et Bekamenga font une séance de tir aux dix mètres. Lors du toro dit de "ceux-qui-savent-jouer-sans-contrôle", Djamel Abdoun fait un croc-en-jambe rigolo à Stefan Babovic.

17h02: Djordjevic et Bekamenga font une séance de tir aux trois mètres, mais ne trouvent pas le cadre. Baup prend à part Fabrice Grange, l’entraîneur des gardiens, et le complimente pour les progrès de Tony Heurtebis. Grange rougit et bafouille: "Je n’y suis pour rien, c’est grâce à ses mains". Baup, perplexe, n'y comprend goutte.


voiture_degage.jpg
Jérôme Alonzo ne savait plus comment faire comprendre les consignes de base à ses défenseurs. Mais il est peut-être allé un peu loin.

17h21: Tandis que Klasnic reste mystérieusement accoudé à la main courante, Ricardo Faty tacle à tout-va. Élie Baup se tourne vers le kiné: "Mais il ne s’est pas pété le tibia la semaine dernière?" Le kiné regarde ses pieds et répond: "Si, si… il va mieux…". Larièpe précise en clignant de l’œil: "C’est pas pour rien que c’est le frère de Ricardo, l'ancien du PSG".

17h42: Fin de la mise en place. De Freitas souffle à Keseru qu’il a quand même hâte de retrouver le terrain de La Licorne, qui est en bien meilleur état, sauf que les lignes sont pas tracées droit.

18h15: Début de la réunion stratégie entre Élie Baup, Waldemar Kita, Christian Larièpe et Pascal Praud. Élie Baup les questionne tout d’abord sur les joueurs: "Vous êtes sûrs qu’il est avant-centre, Filip Djordjevic?". Larièpe rétorque: "Évidemment, c’est son père qui nous l’a recommandé". Constatant la perplexité de Baup, Larièpe précise: "Son père: Djordjéo". Praud ajoute: "Et puis, quand même, il était dans les 2Be3".

18h18: Pendant la douche des joueurs, le portier de l’hôtel, depuis le jardin, lance les serviettes une à une par la fenêtre chaque chambre. Elles retombent bien pliées sur le bord de chaque lit.

18h32: Élie Baup s’interroge sur la carrière de Bekamenga. Pascal Praud explique qu’il a joué en Indonésie. Baup demande s’il a joué dans un vrai championnat, sinon. Praud incline un peu la tête et susurre qu’il a joué en première division malaise. Baup reprend: "Malaise, oui, j’avais remarqué, mais dans quel pays?"

18h40: Michael Gravgaard entre sur le terrain bosselé du Stade municipal de Saint-Jean-de-Monts.

18h50: Christian Larièpe et Pascal Praud énoncent les perspectives du mercato. Larièpe suggère de recruter Jean-Marc Thibault, pour l’associer à Jean-Jacques Pierre. "Quand même, ils faisaient un malheur en duo, ils ont dû garder des automatismes". Praud approuve, en précisant qu’en plus il a table ouverte aux Deux Ânes: "C’est là que j’ai recruté Pierre Douglao!"


baup_encoin.jpg
On a retrouvé le vrai jeu à la nantaise. Malheureusement, c'est chat-bite.

18h52: Au salon, penché sur le journal d’Alonzo, Moullec fait remarquer: "Ouh là, y en a, des équipes, c'est quel championnat?" Alonzo soupire en tournant les pages saumon du Figaro, ouvertes sur la Bourse.

19h25: Élie Baup demande où en sont les jeunes du centre de formation. Christian Larièpe lui répond: "On ne recrute plus vraiment sur le talent, d’ailleurs on n’a plus le temps: on focalise sur le nom". Il précise que c’est pour ça qu’ils ont pris Mathias Coureur et William Vainqueur, et ajoute "On a aussi Kevin Buteur et Théo Tacleur-Boucher, mais ils ont huit et neuf ans, faut attendre un peu".

19h45: C’est l’apéro. Le portier de l’hôtel, derrière le bar, jette les glaçons dans les verres alignés à l’autre bout du comptoir. Les joueurs jouent au poker six par six. Moullec tire un roi et annonce:"Un K". Da Rocha joue tout seul à la bataille, en souriant. Capoue fait une réussite.

19h55: Élie Baup conclut en annonçant son onze de départ pour le match du lendemain. Soudain, Waldemar Kita se lève, furieux, et entraîne Baup dans un coin: "Mais tu vas pas tout de même pas faire jouer Ivan avant-centre, on ne l’a pas acheté pour ça, tu vas tout nous l’abîmer!" Baup, interloqué, réplique qu’il n’a guère le choix car c’est lui ou Goussé.

20h31: En arrivant au dîner, De Freitas demande où est Titi. Intrigué, Da Rocha demande s’il parle bien de Thierry Bonalair. "Non, non, Titi Buengo et Titi Giresse. D’habitude je m’assois toujours avec eux".

21h12: Abdoun réclame du sel. Babovic lui jette la salière, en visant manifestement le visage. Da Rocha passe les plats à sa droite, et les pose devant une chaise vide en souriant vers elle.

22h50: Les joueurs sortent de table, et improvisent une petite soirée jeux vidéo. Alonzo entreprend d’expliquer à Moullec les règles de Pacman.

23h15: Michael Gravgaard arrive au dîner. Il commence à beurrer une tartine.


praud2.jpg
"C'est vrai, c'est un peu mieux payé que mon blog sur lci.fr, mais bon, l'écriture me manque".

23h45: Pascal Praud glisse à Waldemar Kita qu’il a un tuyau pour faire revenir Wilhelmsson. Kita l’attrape par les oreilles, le suspend au portemanteau et lui souhaite bonne nuit. À Larièpe, venu le décrocher, Praud rappelle qu’il commence à avoir l’habitude.

0h05: Les joueurs vont se coucher. Michael Gravgaard achève de beurrer sa tartine. Il y a du beurre plein la table.

8h11: Élie Baup réveille tout le monde pour un footing sur la plage de Saint-Jean-de-Monts. Sitôt descendu sur la plage, Klasnic s’assoit sur un rocher, en respirant fort.

8h30: À la fin du footing, Baup va voir Klasnic sur son rocher, et lui rappelle qu’il compte sur lui pour jouer en pointe le soir même. Klasnic secoue la tête et répond: "Moi pas football. Moi pièces détachées". Intrigué, Baup se gratte la casquette. Soudain il repense aux trois poumons de N’Daw, aux mains d’Heurtebis, au tibia de Faty. Une sueur froide lui coule dans le dos.

8h55: Lors des exercices musculaires par binôme, les joueurs s’appuient dos-à-dos, accroupis. Da Rocha, seul, ne cesse de tomber à la renverse en souriant. Baup se tourne vers Larièpe, qui lui chuchote: "Vas-y doucement, avec Fred: on n’a jamais osé lui dire que Savinaud était parti. Il croit qu’il est toujours là".

9h18: Les joueurs jouent aux raquettes. Capoue au jokari. Djordjevic et Bekamenga visent la mer avec un ballon de volley. Loupé, mais de peu. À l’hôtel, le portier jette les croissants dans chaque corbeille depuis la boulangerie, située à 45 mètres.

10h15: Pascal Praud accourt dans la salle du petit-déjeuner, et annonce: "Wiltord veut bien venir chez nous!" Devant la stupéfaction du staff, il précise en baissant la tête: "Je lui ai promis le foie d’Ivan…" Michael Gravgaard arrive sur la plage de Saint-Jean-de-Monts.

10h55: Les joueurs sont rassemblés pour le retour. Soudain, Baup entend un bruit sourd, et voit Abdoun gisant sur le bitume, aux pieds de Babovic qui se masse la main droite. En un éclair, il regarde ses autres attaquants valides. Apercevant Bagayoko, Djordjevic, Bekamenga et Goussé, il se détourne de Babovic, et pointe son index vers Cubilier: "Eric, t’es viré".

11h05: Élie Baup se souvient que, sans Cubilier, il n’a plus que Moullec et Pierre Douglao comme latéraux. Il fonce alors vers le portier de l’hôtel, et lui demande son nom. "Rémi, m’sieur. Rémi Maréval". "Rémi, ce soir tu joues arrière gauche", répond Baup en le poussant de force dans les soutes du car.

11h31: Le car repart. Da Rocha s’installe seul sur son siège, en souriant. De Freitas demande au chauffeur pourquoi il ne prend pas la direction d’Amiens, comme d’habitude.

13h59: Michael Gravgaard sort de l’hôtel. Il monte dans la voiture de Pascal Praud, qui l’a attendu en sanglotant.

kita_doigt.jpg
"Ah oui, le jeu à la nantaise. Eh bien il est au ciel et il nous regarde. Mais il ne redescendra pas sur le terrain de sitôt, je vous préviens".

Réactions

  • kelly le 26/11/2008 à 01h21
    Je crois qu'il s'agit là de l'article le moins drôle que j'ai lu sur les cdfs. Même pas un sourire. Désolé...

  • le_merlu_frisé le 26/11/2008 à 02h10
    Ah ben comme quoi ...

    J'étais mort de rire du début à la fin. Je trouve ce "24 heures .." assez exceptionnel, mon préféré avec celui du Stade rennais.

    Le FC Nantes est vu comme une espèce d'asile d'aliénés, avec des joueurs devenus complètement timbrés aux côtés des inquiétants dirigeants. C'est triste de voir le FC Nantes "traité comme ça", mais ça l'est moins que de constater ce qu'il est devenu en vrai. Je trouve cet épisode original.

    "Djordjevic et Bekamenga visent la mer avec un ballon de volley. Loupé, mais de peu." J'adore.

  • aulasticot le 26/11/2008 à 02h28
    Le foie de Klasnic pour Wilou et la dépression de Da Rocha sont magnifiques!

  • Gael Moldovan le 26/11/2008 à 02h30
    Je me demandais si une espece de mauvaise foi ou d'irritabilité du supporter d'une équipe a la ramasse m'avait privé d'humour, mais apparemment je suis pas le seul a pas trop avoir ri.
    Le coup de Mareval en portier, c'est pas mal, je l'avais pas vu venir. Sauf que le vrai, pas sur qu'il vise juste a tous les coups...
    Desole, hein, et c'est pas pour etre mechant.
    La situation est tellement caricaturale dans ce club; les dirigeants, le jeu, les resultats, toute l'ambiance autour... qu'il vaut mieux etre fin, dans la critique comme dans l'humour, parce que sinon il est facile de tomber dans un poncif ou un truc facile, qui ratera le cadre.
    - Sinon la j’ai pas tout en tete, mais bon, a la volée; DaRoch qui vit dans le passe, c'était une bonne idée, lui qui a connu le club tellement mieux, ca aurait pu etre creusé, tiens.. Gravgaard est lent, certes, mais ca méritait peut etre pas un tel traitement, d’autant plus qu’il est loin d’etre le pire de nos défenseurs. Klasnic a ete blessé, et n’a pas marqué, mais il n’est pas spécialement apparu court physiquement, enfin a ce que j'en sais. Et la encore c'est un cas particulier, l'histoire peut faire sourire, mais pour etre rigolo avec des problemes de santé de ce genre, faut y aller un peu plus fin. Enfin Beka, certes c’est marrant le championnat d’Indonésie, mais jugeons un joueur sur ses qualités plus que sur ses clubs précédents. Non? C’est pas un messie mais il est loin d’etre mauvais, et Il a été international camerounais, quand meme, la pour le coup, c’est pas vraiment un petit pays de foot. Et puis, on voit de plus en plus d’africains venir en Asie (j’en avais vu pas mal a Pekin notamment), qui viennent chercher ce que l’Afrique n’a pas encore et que l’Europe ne veut pas leur donner; que ce soit dans le sport pro, les etudes, etc.

  • le_merlu_frisé le 26/11/2008 à 03h38
    Je trouve que tu en fais un peu beaucoup. Je comprend sur le fond, mais c'est le style de l'exercice l'exagération à outrance. C'est le même principe que le Ballon de plomb (auquel tu es peut-être réfractaire, d'ailleurs), les gars se font démolir, mais c'est pas méchant, et de toute façon, les gars jouent en L1, c'est des vrais et bons joueurs de foot. La caricature à l'extrême. De même, Lorik Cana ne mange pas vraiment une chèvre au petit déjeuner, il préfère les veaux.

    Pour Klasnic, je comprend que ça puisse déranger étant donné ce qu'il a vécu (vit). Personnellement, je ris de tout, l'important étant l'intention. Je crois que c'est Stéphane Guyon qui disait qu'il s'était moquer des handicapés dans un sketch, et qu'il avait reçu des lettres de remerciement de leur part, parce qu'ils étaient heureux qu'on les traites comme des gens normaux, ce qu'ils sont.

    Alors par contre, j'ai pas compris l'acharnement sur Moullec. Il a une réputation de benêt ?

  • Gael Moldovan le 26/11/2008 à 04h07
    le_merlu_frisé
    J'ai rien contre les blagues, meme a grosses ficelles (et rien non plus contre le BdP, au passage), encore faut-il que ce soit bien dit. Drole, quoi.
    Certains de ces textes '24h dans/chez...' étaient franchement droles, (je crois me rappeller qu'il y en eut un sur le PSG, devant lequel j'avais pas mal ri), meme si le format implique un grand nombre de blagues, et donc ca incite pas l'auteur au tri.
    Les vannes sur Klasnic, puisqu'on en parle, yen a eu pas mal, et j'ai pas grand chose contre, si c'est drole. Celles du tir d'un rein a coté , elle est classique, facile, mais au moins ya un bon mot, ca fait sourire. La; Klasnic souffle. mouais. Le coup du foie est un peu meilleur.
    Le probleme c'est pas vraiment que j'ai trouvé ca mechant, mais juste d'une part pas toujours fondé, et d'autre part pas tres bien pensé/dit, tout simplement, pas tres drole dans la forme. Enfin a mon avis, hein, ya rien de plus personnel que l'humour.



  • Gael Moldovan le 26/11/2008 à 04h10
    Et sur Moullec j'en sais rien, ceux qui sont plus pres de Nantes que moi pourront surement nous répondre. M'est d'avis qu'il suffit qu'il se soit bien dechiré sur une interview a la télé pour que la légende commence.

  • chapoto le 26/11/2008 à 05h39
    En voyant un 24 H dans la vie de.... je me suis dit "encore un", ca v etre de la redite, et puis non, agreablement surpris par le renouvellement du genre, avec du mauvais gout et de l'absurde bizarre comme j'aime. Apparemment certains ont deteste, j'ai trouve que c'etait drolement bien fait, et innovant pour le genre. Il en faut pour tous les gouts.

  • Manx Martin le 26/11/2008 à 06h31
    Enfin la gloire du "24 heures" pour le FCN ! Il était temps, avec la bande de Pieds-Nickelés à nous qu'on a, c'est quand même une mine d'or.

    Donc moi j'ai beaucoup ri, merci. De si bon matin en plus, ça fait du bien.

    (quand même Gael,
    "Vous êtes sûrs qu’il est avant-centre, Filip Djordjevic?". Larièpe rétorque: "Évidemment, c’est son père qui nous l’a recommandé". Constatant la perplexité de Baup, Larièpe précise: "Son père: Djordjéo". Praud ajoute: "Et puis, quand même, il était dans les 2Be3".
    Ca te fait pas marrer ça ? Moi oui !)

  • Francis Dolarhyde le 26/11/2008 à 07h55
    Et bien je le trouve très beau, moi, ce "24 H.." parce qu'il est bien amené comme on dit: les pièces détachées, la détresse de Da Rocha, le portier... On sent qu'il va se passer quelque chose, et puis finalement tout se met en place à la fin. en fait, le FCN, c'est "Usual Suspects". Par contre j'arrive pas à décider qui joue le rôle de Kayser Söze.

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