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Benfica-Porto, une "Telenovela à Portuguesa"

Le sommet du championnat portugais est pour les médias sportifs locaux l'occasion d'enflammer les débats et d'écrire un feuilleton à scandale… même sans scandale.
Auteur : Florence Darabie le 15 Oct 2004

 

Dimanche 17 Octobre, Portugal - 19h45 GMT. "Les avenues sont vides, les taxis ne circulent pas, les policiers de garde investissent les cafés munis d’écran de télévision, et seuls quelques rares touristes flânent dans les rues touristiques de la capitale. Mis à part la déferlante à dominante rouge, légèrement parsemée de bleu, aperçue aux alentours du Estadio da Luz, le Portugal semble endormi". Bof, direz-vous, le Clássico Benfica / Porto est sur le point de commencer et c’est la même histoire dans tous les pays où la culture du football est fortement ancrée. Certes, mais comme les Portugais ont toujours tendance à en rajouter et ont de surcroît un sens développé du spectacle, faire visiter les coulisses d’un Clássico est un vrai plaisir. Car au delà de la rivalité entre le club de la capitale et celui du nord du pays, cette rencontre a aussi le mérite d’augmenter considérablement les tirages de la presse sportive nationale et le combat est rude entre les trois quotidiens sportifs du pays — A Bola, Record et O Jogo (1) —, qui doivent rivaliser d’imagination pour maintenir le lecteur en alerte, deux semaines avant le coup d’envoi de la rencontre.

Des joueurs peu bavards, des entraîneurs modérés : un défi pour journalistes sportifs Il faut croire que les leçons de journalisme sportif des Cahiers ont depuis longtemps dépassé les frontières françaises et que les collègues lusophones ont bénéficié d’une parfaite traduction de cette saga des Cdf. Dans son édition du 10 octobre, par exemple, A Bola nous gratifie d’une pleine page sur Simão Sabrosa, avec pour titre : "Simão sait comment marquer un but au FC Porto". Diantre! Connaîtrait-il le moyen imparable de tromper son ami Baia? Et bien, non... Déception. On apprend à la lecture de "l’article" que Simão a déjà marqué deux fois en six rencontres, donc sait comment battre le gardien portista. On pourrait certes expliquer au "journaliste" que Simão n’a pas pu marquer lors de quatre des six classiques, donc ne sait pas comment prendre à revers le gardien au cheveux longs. Mais ce serait peine perdue. Ce sera peut être pour l’année prochaine, ou au match retour, si le Benfica est mal en point. Le 11 octobre, c’est au tour de Sokota, qui affirme dans le même journal (à en croire le titre) qu’il va être "difficile de perdre contre le F.C Porto"! Et là, on se dit, ça y est, le classique est définitivement lancé, à J-7, Sokota met le feu. Enfin un peu de folklore. Enfin un joueur qui dit tout haut ce que les benfiquistas n’osent avouer en public: Le Benfica, sûr de son fait et de son talent, va imposer son jeu au champion d’Europe en titre! Mais on a beau lire l’article dix fois, tenter une relecture en diagonale, ou entre les lignes, rechercher le message subliminal, une évidence s’impose: Sokota, à part une très rapide référence au Estádio da Luz qui sera plein et qui dans ces conditions compliquera la tâche des visiteurs, parle essentiellement de son inefficacité devant le but (quelle nouvelle!) et du renouvellement de son contrat... Bigre, les joueurs sont raisonnables et modérés, les entraîneurs, Victor Fernandez et Trappatoni, sont loin d’être des adeptes de la polémique pré-classique (les rédactions portugaises doivent regretter amèrement que notre Luis Fernandez n’ait pas été choisi pour diriger le Benfica), et il est difficile dans ces conditions d’assurer les "Unes" ou les deux pleines pages quotidiennes nécessaires à la préparation de notre confrontation nationale. Quand les dirigeants volent au secours de la polémique… Qu’à cela ne tienne, si les joueurs et les entraîneurs ont décidé d’en rester à la langue de bois si chère au milieu du ballon rond, les dirigeants prendront le relais. Et là, nous tenons de sacrés clients. Une chance inespérée pour nos plumitifs lusophones. Le scandale éclate le 8 octobre. Le peuple, stupéfait, prend connaissance des propos de Fernando Gomes, administrateur portista: le Benfica ne mettrait à disposition que 1008 billets (vous apprécierez la précision) pour les socios du nord, alors qu’il en réclamait entre 2500 et 3000, ce que semble permettre le règlement. Evidemment, Fernando Gomes crie au scandale et à la violation du dit règlement. Et notre dirigeant de rappeler que le Sporting de Lisbonne a été condamné à payer une amende au PC Porto, pour des faits similaires, la saison dernière — 1200€ selon O Jogo, mais 12000€ selon A Bola (2)... La réaction de Luis Filipe Viera, dirigeant du Benfica, ne se fait pas attendre: Il justifie sa décision par son souci de la sécurité des spectateurs et réclame des excuses publiques (toute ressemblance avec un autre cas de demande d’excuses est évidemment fortuite), excuses qui devront lui parvenir par fax, avant 17h30 (sic). Bien entendu, le fax tant désiré n’atterrira jamais sur le bureau de Vieira, mais cette fois-ci, c’est certain, le derby est lancé et les journalistes taillent leur crayon et profitent de l’aubaine. Seule ombre au tableau: Fernando Gomes refuse de surenchérir, et ne commente pas la fameuse demande d’excuses. Son mutisme sera d’ailleurs sévèrement sanctionné par les journalistes de nos trois pieds nickelés de la presse sportive portugaise, puisque personne ne prendra le soin de vérifier l’unique argument de Luis Filipe Viera: Quels sont donc ces fameux "problèmes de sécurité" qui empêcheraient l’attribution de 2500 billets mais permettraient, par contre, d’en distribuer 1008? Pourquoi craindre pour la sécurité des personnes cette année, alors qu’aucun incident notoire n’est à déplorer depuis trente ans? On ne le saura jamais, puisque les journalistes boudent le peu bavard Fernando Gomes, incapable d’alimenter la polémique. "L’enfer" de la Luz Vieira est fâché et décide de n’envoyer aucun billet aux dirigeants de Porto mais, le 12 octobre, Record nous promet en titre "L’enfer au Estádio da Luz"! Et colporte des rumeurs d’achat massif de billets par des socios du FC Porto qui auraient décidé de faire le déplacement et d’assister, coûte que coûte, au grand Clássico. Peu importe le fait que personne ne connaît exactement l’origine de ces rumeurs, et peu importe que le match soit annoncé à guichets fermés depuis le 8 octobre (3), nos journalistes n’en sont pas à une contradiction près. Record affirme ainsi que les socios se sont procurés 1000 billets quand, de son côté, O Jogo affirme sans rire que 2000 Portistas seront présents dans le stade... Nul ne sait comment, mais ce n’est pas bien grave : "l’enfer" nous est promis, les tirages et les ventes augmentent. C’est bien là le principal. (1) Ces trois quotidiens consacrent 90% de leurs pages au Football. La "Une" est toujours consacrée au football, sauf événement exceptionnel. (2) Il est plus vraisemblable que le montant exact de l’amende soit de 1.200€, ce qui ne devrait pas inciter les clubs à respecter les règlements de la ligue. L’affaire Benfica / Porto est la meilleure illustration du caractère dérisoire et inefficace de cette amende. Il est plus rentable de la payer (1M€ de recettes pour le Benfica). (3) A Bola et Record ont affirmé que les seules places encore disponibles étaient des loges, louées à l’année, ou les abonnements annuels, et l'on imagine mal les socios de Porto s’abonner. On félicitera au passage l’attaché de presse de Benfica. A Bola a même publié l’information en couverture.

Réactions

  • Brouche le 15/10/2004 à 02h33
    L'auteur de cet article devrait avoir honte :-))
    Plus sérieusement, il faut que Bouchet et fie-Francis Graille lisent cet article. On veut du vrai choc au sommet. Ras le bol des petites phrases, on veut des actes !!
    Si ça continue comme ça, je m'interesse au foot portugais dès demain. :-)

  • luckyluke le 15/10/2004 à 10h07
    Un article en béton!!

  • luckyluke le 15/10/2004 à 10h08
    Le post précédent étant à prendre au vingt-huitième degré, en relation avec l'article sur le racisme d'Aragones, bien sûr

  • Cristofo Ronaldo le 15/10/2004 à 10h13
    Et encore, ceci n’est rien. Cette sacro-sainte bonne vieille rivalité dépasse de très, très loin les sphères de la simple concurrence sportive. A titre d’exemple, laissez moi vous conter quelques « faits divers » colporté par la presse sportive portugaise autours de cette guerre fratricide.

    Tout d’abord, l’affaire des tribunes VIP. Comme chacun le sait, chaque club bénéficie, lors d’un déplacement, de la réservation d’un quota de places dans la tribune dite présidentielle. Ces places visent à assurer une place d’honneur aux principaux dirigeants et personnalités des deux clubs. Bien entendu, le FC Porto bénéficie comme n’importe quel autre club de cet avantage. Oui mais -car il y a bien entendu un mais- assorti d’une condition sine qua non : la compagne du président du FCP, Jorge Nuno Pinto Da Costa n’a pas accès à la fameuse tribune VIP. Pourquoi me demandez-vous ? Lors d’une précédente rencontre, cette femme de caractère avait tout bonnement refusé de serrer la main du président de Benfica qui venait la saluer. Le bonhomme a donc tout simplement fait jouer son veto présidentiel. Conclusion, Carolina Salgado devra se contenter des simples tribunes lambda et de ses sauvages supporters si elle désire assister au match. Pinto Da Costa a lui pour habitude de s’asseoir sur le banc de touche. On voit mal sa femme s’asseoir à ses cotés, même si cela apporterait du piquant au match…

    Autre fait marquant, l’histoire du Jet Privé affrété par le Real et le Barça afin de rapatrier rapidement leurs internationaux pour les matchs du week-end. Sentant la bonne affaire, Porto avait demandé aux deux clubs l’autorisation de profiter de l’avion pour ramener Luis Fabiano qui devrait jouer le match de ce week-end. Aussi tôt annoncé dans la presse, Benfica semble avoir réagi et effectué la même demande pour son défenseur Luisao. Problème : il ne restait qu’une place dans le jet. Afin de ne froisser personne, les deux clubs espagnols se sont vu dans l’obligation de refusé la demande des deux clubs. Un partout, balle au centre. Là où deux clubs espagnols réputés pour se haïr s’associent pour louer conjointement un avion, les clubs portugais, eux, préfèrent se tirer allégrement dans les pattes.

    Ces petites histoires croustillantes et si triviales sont monnaie courante dans le foot portugais. Et il faut dire que cela apporte un certain charme et un folklore particulier à la chose. Après tout, le Football ne serait pas ce qu’il est sans son strass et ses paillettes.


  • abola le 15/10/2004 à 10h21
    >"La "Une" est toujours consacrée au football, sauf événement exceptionnel. "

    Mais vraiment exceptionnel,tres tres exceptionnel, genre medaille portugaise aux jeux (ou attentats 11-S et 11-M,contrairement à..)
    le pire c'est le jour de l'ouverture des jeux d'atlanta-96, en une d'un des journaux, en gros titres, grande photo pour un but sur retourné de J.Pinto... à l'entrainement.. et un petit bandeau pour annoncer les jeux.. triste..

    Personnellement, je comprends pas l'interet d'accepter des supporters adverses dans un stade: soit ça laisse des milliers de place vides, soit ça oblige à sacrifier des milliers de place pour séparer les visiteurs des autres supporters, soit ça oblige à installer des disgracieux filets de protection, soit ça oblige à créer des cages comme à sochaux (ces situations peuvent être cumulatives) et ce qui est sûr c'est que ça oblige à mobiliser des centaines de stadiers et de policiers.
    Je suis 100% pour l'interdiction des déplacements des supporters adverses.
    Au portugal on essaye effectivement depuis 3 jours de faire croire que cela pose un énorme problème de sécurité car des supporters du fc porto vont se retrouver au milieu des supporters du benfica. Je crois qu'au contraire ça réduit les risques: un supporter isolé est généralement plus intelligent que lorsqu'il est accompagné de 200 de ses comparses. Et à moins d'avoir obtenu des billets pour les latérales, la cohabitation devrait être possible avec les supporters à domicile.
    La tribune K du parc en est un bon exemple, les supporters bretons que j'y ai rencontré en sont sorti sans encombres.
    En France on a eu l'expérience de l'interdiction pour les supporters du psg et je n'ai pas souvenir de dérapages.

  • Amour et passements de jambes le 15/10/2004 à 11h30
    En effet, les journaux sportifs portugais, c'est beuacoup de blabla pour ne rien dire en ce qui concerne le foot. Il est vrai qu'ils doivent imprimer tous les jours (même le dimanche). Il est vrai, aussi, que les journaux ne mettent en une que ce qui se vend. Malheureusement (j'ai envie de dire), les portugais n'ont pas la même diversité culturelle sportive. En France, on a un vaste choix médiatique (même si le foot prédomine) pour voir d'autre sport.
    Au Portugal, les matchs de foot se voyaient encore sur les chaines publiques (cela fait 2-3 ans, je ne me souviens plus, que la diffusion se fait sur Sport TV).
    Donc, grosse domination du football avec une très) légère incursion du Basket, du HandBall, du cyclisme (presque uniquement pendant le tour du portugal) et du... Hockey en patin.
    C'est donc le "monopole d'intérêt" pour le foot qui fait que l'on a ce genre de réaction journalistique (raconter tout et rien, voir inventer).

  • rui.costa le 15/10/2004 à 11h51
    Bel article qui permet de se rendre compte ce que représente le foot au Portugal.

    Comme le dit AEPJ, la presse portugaise ne traite pratiquement que du foot, ce qui aboutit au n'importe quoi. Surtout que dans les pages foot, on peut dire que 80% de cet espace est consacré aux 3 "grands" s'il n'y a pas de match de la sélection car les amateurs de foot sont tous supporters soit du Benfica, soit du Sporting, soit de Porto. D'ailleurs, on attribue que chacun de ces journaux "représente" un club (A Bola-Benfica; Record-Sporting; O Jogo-porto) même s'ils ne le montrent pas explicitement.

    D'ailleurs un truc m'a fait marrer. Lorsque le Portugal a perdu la finale de l'euro face à la Grèce, le journal "A bola" a mis en avant sur sa première page l'arrivée du Trap à Benfica et c'est en plus petit au bas de cette page qu'ils traitent de la déception du match de la sélection (même si de larges pages en parlent à l'intérieur).
    Un autre exemple. Lors du match nul honteux du Portugal contre le Liechtenstein, ce même quotidien faisait d'abord sa une sur le classico de dimanche et ce n'est qu'au bas de la première page qu'on voit la référence de cette rencontre historique.

  • Cristofo Ronaldo le 15/10/2004 à 11h56
    D’un autre coté, c’est pas plus mal pour les amants du football. Il m’arrive de par exemple, acheter l’équipe et de pester face aux deux misérables feuillets qui traitent du football (dont 3 lignes sur le club qu’on supporte), soit l’équivalent de la rubrique réservé au curling.

    Au Portugal, c’est du 50 pages chaque jour et pour chaque quotidien. Il y a du superflu, c’est vrai, mais aussi des choses bien intéressantes : des opinions très tranchées et critiques, des interviews par centaine pour l’ensemble des club (malgré la prédominance des trois grands), des parodies et des visions humoristiques, des articles sur les stades, les supporters, les espoirs, etc. Sans compter les opérations promotionnelles diverses qui ont lieu ponctuellement chaque année : livres offerts, suppléments magazines, médailles des meilleurs joueurs, petits fanions et drapeaux, casquettes, etc. De plus, une certaine place est accordée au football étranger, chose qui manque réellement en France. C’est vrai qu’à coté de ça, une place toute marginale est laissée aux autres sports mais il y a parfois (et même souvent) plus d’articles omnisport (en volume j’entend) que dans l’équipe par exemple qui a pourtant la réputation d’être un journal sportif généraliste.

    En bref, un journal comme A Bola (et non pas l’ébola) c’est une espèce de cocktail entre l’Equipe, France-Foot, les Cahiers, Onze Mondial et Gala. Sauf que ça sort chaque jour et que c’est moins cher.

  • rui.costa le 15/10/2004 à 12h31
    Oui le foot est un sujet porteur pour des humoristes. Dans le journal "A Bola", il y a une édition hebdomadaire de 3 personnages satiriques qui représentent les 3 clubs : Zé Manel (Benfica), Dona Bitoria (Porto), Visconde d'o Lumiar (Sporting). C'est franchement très drôle et c'est vrai qu'il y a de quoi rigoler autour du foot au Portugal. Je préfère évidemment les "Zé Manel";)

    Un autre truc intéressant. L'intervention de "personnalités" qui donnent leur avis sur le football sans oublier qu'ils ont une forte préférence pour un club. C'est ce qu'on voit par exemple dans l'espace "opinion" du journal "A bola" avec des intervenants qui pensent avant tout à défendre leur club. Le cas le plus célèbre est celui de l'écrivain et journaliste Miguel Sousa Tavares, le "Portiste", avec une prose (faut avouer qu'il sait écrire) qui énerve particulièrement les benfiquistes même s'il aborde également tous les thèmes de l'actualité sportive (par exemple la situation financière catastrophique des clubs de foot). La benfiquiste Leonor Pinhão et le Sportinguiste (je ne me souviens plus de son nom) ne sont pas non plus des tendres.

    Puis je suis d'accord avec Cristofo. Relativement à ce qui est publié, les autres sports ont un espace très faible tout comme le foot étranger. Par contre, si on doit comparer la quantité absolue de ces rubriques par rapport à un journal comme l'équipe, cela ne tourne pas à l'avantage du quotidien français et de loin.

  • nikiforov le 15/10/2004 à 14h45
    en tous cas ca a l'air d'aller loin vu que porto reflechirait soit disant a la possibilite de ne pas se rendre a Benfica (je pense qu'il ne s'agit la que d'un titre aguicheur de l' lien mais bon...)

La revue des Cahiers du football