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Dans les cartons des Dé-Managers : #38

De PSG-OM à David Alaba, de Toni Kroos à Juventus-Parme, de Southampton à David Lafata, un tour d'Europe qui multiplie les étapes et les petits plaisirs. Il y a aussi Pep Guardiola entraîneur... et joueur, du temps où il évoluait à Brescia.

Auteur : Les Dé-Managers le 11 Nov 2014

 

 

Changements de dispositifs ou de joueurs, batailles philosophiques et stratégiques, échecs et réussites… Chaque semaine, les quatre Dé-Managers proposent leurs billets d’humeur.


* * *

 

Le Classique au pressing

Julien Momont (@JulienMomont) – "Ils courent tous en avant... et il recourent tous en arrière. En avant, en arrière, en avant, en arrière, en avant, en arrière. Ils sont fascinants." En 2012, Pep Guardiola ne décrivait pas les manœuvres de CRS face à un groupe d'innocents supporters anglais, mais l'Athletic Bilbao de Marcelo Bielsa. Sa formule est encore pertinente aujourd'hui pour un OM que l'Argentin a imprégné des mêmes principes d'intensité permanente et de pressing constant... aussi longtemps que possible, du moins.
 

 


 


Ce quatre-vingt-cinquième PSG-OM voyait s’affronter les deux équipes de notre championnat aux identités de jeu les plus affirmées et les plus clairement discernables, opposées dans leur animation offensive (gestion et patience parisiennes contre frénétisme et verticalité olympiennes). Mais toutes deux placent le pressing au cœur de leur approche, certes pour des raisons philosophiquement distinctes: Paris ambitionne une récupération rapide pour installer son jeu de possession et subordonner son adversaire; Marseille souhaite dominer les phases de transition pour exploiter le déséquilibre adverse.


C'est cette bataille du pressing qui a dicté le scénario du match, dimanche soir. L'habituelle entame tambour battant des Phocéens leur a permis d'initialement dominer l'entrejeu (la possession globale est d'ailleurs à 55% en faveur de l'OM), avec une récupération haute (dix-huit ballons gagnés dans le camp adverse, soit plus que contre Lens, Lyon ou encore Saint-Étienne). Mais il leur a manqué efficacité et réussite (placez le curseur vers l’un ou l’autre) pour concrétiser ce temps fort dans les vingt premières minutes.


Généralement positionné autour du rond central (d’où une récupération plus basse: douze ballons grattés dans le camp adverse), le PSG est progressivement monté d’un cran pour presser à son tour la relance olympienne, Javier Pastore se portant à hauteur d’Edinson Cavani. L’Argentin a d’ailleurs gagné plus de ballons que Blaise Matuidi (cinq contre quatre), preuve de son implication défensive, un constat que l’on peut élargir à Lucas (dix ballons récupérés) et Lavezzi (huit). Paris a ainsi peu à peu empêché les sorties olympiennes – mais se retrouvait en difficulté dès qu’il relâchait son étreinte –, en même temps que le pressing de l’OM s’éteignait progressivement, jusqu’à devenir inoffensif en seconde période, lui qui est justement la première arme d’attaque de Marseille. Et à l’inverse des attaquants phocéens, Lucas et Cavani ont su concrétiser les périodes de domination de leur équipe.


L’adage commun veut que l’on reconnaît les grands joueurs dans les grands événements. Mais on y reconnaît surtout les grandes équipes. Dimanche soir, au Parc des Princes, le pressing intelligent et gestionnaire du PSG a dominé celui frénétique mais éphémère – car tellement énergivore – de l’OM.
 

 

 

Alaba, si j'y suis

Christophe Kuchly – On joue les derniers instants d’une rencontre depuis longtemps entendue face à la Roma quand, grimaçant, David Alaba demande le changement. L’Autrichien n’a pas simplement un peu mal, il souffre d’une rupture partielle d’un ligament du genou droit. Une blessure qui le mettra sur le flanc pendant plusieurs mois et prive le football de l’un de ses plus grands phénomènes, pourtant encore assez méconnu.
 

 


 


Il y a deux ans, il était probablement le meilleur du monde à son poste de latéral gauche – même si de telles affirmations peuvent toujours être remises en cause – et surtout celui qui permettait à Ribéry de briller en multipliant les courses provoquant des surnombres sur l'aile. Après un passage un peu plus compliqué l’an dernier, le garçon, âgé de vingt-deux ans et dont le visage semble présenter les traits de tous les coins du monde, vivait depuis quelques mois la période la plus aboutie de sa carrière: celle qui l’a vue passer d’un rôle de simple joueur de football incisif et polyvalent à joueur total, capable de tout faire avec talent.


Grâce à Pep Guardiola, le latéral offensif pouvant jouer au milieu, son poste de formation, est devenu un électron libre. Des heatmaps aux zones d’influences, les différents outils permettant de cibler les déplacements s’y perdent. Dans un système de jeu qui ne ressemble en rien à tout ce qui se fait, basé sur de multiples déplacements et un pressing ciblé, David Alaba est le facteur X, tantôt défenseur axe gauche, tantôt meneur de jeu, qui révolutionne les codes classiques des postes dans une équipe au diapason.


Sans lui, le Bayern n’est pas pour autant ordinaire, et le résultat de ce week-end (victoire 4-0 à Francfort) le prouve. Mais, à ce stade de la saison – où tout semble si facile que la question de la victoire se pose moins que celle de la manière –, son absence empêche Pep Guardiola de continuer son projet jusqu’au-boutiste de déstructuration des systèmes de jeu. Certes, Philipp Lahm continuera à jouer en zone sur quarante mètres, Manuel Neuer relancera en talonnade hors de sa surface, Thomas Müller fera toujours sa vie dans son coin entre deux buts et Xabi Alonso touchera encore autant de ballons que la moitié de l’équipe adverse réunie. Mais Alaba va manquer.
 

 

 

On a aimé


La chevauchée fantastique de Carlos Tevez au cœur du festival de la Juventus contre Parme (7-0). Si les comparaisons – Maradona, Messi, Ronaldo (le vrai), Ronaldinho… – ont fleuri en réaction, ce but est pourtant typique de l’Apache: un délicieux mélange de puissance physique, de détermination et de finesse technique. Dans une équipe aux allures de machine froide et implacable, l’Argentin apporte une folie bienvenue.


Les sorties de balles osées – pour le dire poliment – de Verratti et Imbula lors de ce PSG-OM assez envoûtant. Si le premier a eu le droit à son Vine habituel, le second n’aura pas démérité, avec notamment un petit pont sur Pastore aux abords de la surface. On soulignera d’ailleurs, sur le Vine en question, l’énergique pressing imposé par les attaquants marseillais sur le jeune Italien. On ne peut finalement que remercier leurs deux coaches respectifs, responsables de cette spectacularisation louable du milieu de terrain, qui aura permis de rendre le match bien plus ouvert qu’on eut pu le craindre au départ.


La nouvelle victoire de la jeunesse lyonnaise face à Guingamp (3-1). Une fois de plus, le score cache quelque peu la maîtrise parfois fragile des rencontres, mais cet OL est terriblement plaisant à regarder lorsque son trio offensif se met en marche, avec Nabil Fekir et Alexandre Lacazette en principaux dynamiteurs.


Landon Donovan n’a visiblement pas envie qu’on l’enterre trop vite. Le bientôt-retraité de trente-deux ans a inscrit un triplé contre Seattle, dans la large victoire 5-0 des Los Angeles Galaxy en demi-finale de la Conférence Ouest. Pas mal, pour un papy que Klinsmann avait estimé trop juste pour disputer la Coupe du monde au Brésil. Landon Donovan restera encore longtemps le plus grand joueur nord-américain de l’histoire, lui qui aurait sûrement mérité une meilleure carrière européenne que ses piges anglaises et allemandes. Mais c’est bien connu: le Yankee s’exporte mal.


La onzième victoire en douze matches toutes compétitions confondues de Southampton contre Leicester (2-0). Les Saints sont les seuls à tenir le rythme des Blues, et ce succès est un nouveau plébiscite pour Ronald Koeman, puisqu’il a été acquis grâce aux deux premiers buts cette saison de l’Irlandais Shane Long, recrue la plus chère du club cet été (douze millions de livres). Un style offensif basés sur la percussion dans les couloirs, une défense imperméable (cinq buts encaissés, seuls la Juve et le Bayern font mieux): Southampton est un convaincant deuxième de Premier League.


 

 

On ne sait pas trop

 

Le but gag du week-end, celui contre son camp du champion du monde Christoph Kramer, a certes permis d’éviter de voir le Borussia Dortmund passer la trêve en tant que lanterne rouge de Bundesliga, une anomalie incompréhensible pour qui ne suit les Borussen qu’en Ligue des champions. Mais il a, dans le même temps, mené à la première défaite de la saison en dix-neuf matches officiels du Borussia Mönchengladbach (1-0) au Signal Iduna Park. On espère que ce revers ne brisera pas la dynamique des hommes de Lucien Favre, prétendants certains à une course au podium très ouverte en Allemagne derrière le Bayern.


 

 

On n'a pas aimé

 

Que la générosité et la débauche d’énergie lensoises n’aient pas été mieux récompensées contre Bordeaux (1-2). Les Girondins ont marqué sur deux de leurs trois tirs cadrés du match, alors que le Racing les avait considérablement bousculés auparavant, notamment en première période. Les jeunes pousses sang et or sont certainement trop justes pour durer en Ligue 1 sans renforts, mais leur abnégation et leur envie, semaine après semaine, font plaisir à voir.


Le LOSC, complètement dépassé à Reims (0-2), même avant de se retrouver à dix. Et, a posteriori, les explications d’un René Girard blâmant l’arbitrage pour on ne sait quelle raison, ses joueurs eux-mêmes trouvant qu’aucune décision ne prêtait à débat. Pour l’instant, on ne voit pas comment les Nordistes vont sortir de leur mauvaise spirale.


La nouvelle prestation désespérante de Tottenham, battu par Stoke City (1-2) à White Hart Lane. L’arrivée de Mauricio Pochettino était censée faire franchir un palier dans le jeu aux Spurs, mais ils font preuve, saison après saison, des mêmes lacunes défensives et des mêmes limites offensives (manque de percussion et d’imagination notamment). Non, Mauricio, ce n’est pas que de la faute de la taille du terrain.

 

 

 

L'infographie de la semaine

 

Face à Parme, la Juventus [à gauche] a réussi 114 des 155 passes tentées dans le tiers de terrain adverse contre... 29 sur 47 pour son adversaire, l'un des plus faibles totaux de la saison (Passes réussies en bleu, ratées en rouge / Via StatsZone).

 

 

 

 

Les déclas


À Barcelone on concède que l’on puisse gagner de mille manières. Toutes valides. Toutes utiles. Il en faudrait encore d’autres. Mais, à Barcelone, on pense aussi qu’on ne peut gagner et continuer de gagner d’une manière qui ne se ressentirait pas. (...) Je pense que les joueurs actuels du Barça ressentent cette façon de jouer. Ils la ressentent, parce que beaucoup d’entre eux ont en été témoins alors qu’ils faisaient leurs premiers pas. Ils la ressentent, parce que plus tard il se sont vus l’appliquer eux-mêmes et gagner de cette façon (la victoire renforçant les convictions) et parce qu’ils savent que ce qu’ils ont fait, ils sont capables de le refaire. S’ils ne le ressentaient pas de cette façon, ils gagneraient. Mais de façon éphémère. Pas de façon aussi durable. (...) Demain, le Barça perdra. Ou après-demain. Cela arrive à tout le monde. Mais personne ne peut contester le fait que le Barça est depuis longtemps une équipe reconnaissable. Unique."

En 2007, dans une chronique pour El Pais, Pep Guardiola pose les bases des principes qui le guideront en tant qu’entraîneur. Quelques mois plus tard, il prendra les rênes du Barça B (traduit par Matthieu Martinelli).


"Le football, ce n’est pas que courir. D’accord, vous devez courir, il faut une force physique, mais je suis un entraîneur qui aime avoir le ballon et le maîtriser, et c’est une question de bon positionnement. Pas de courir. Plus vous courez, moins vous voyez."

Ronald Koeman, entraîneur d’un Southampton inarrêtable en ce moment.

 

 

 

 

La vidéo de la semaine

 

 

Un (superbe) but, une passe décisive, 94% de passes réussies. Simplicité, efficacité, et un pied droit exquis. Toni Kroos contre le Rayo Vallecano. Et en bonus, un flashback. Saison 2002/03. Pep Guardiola a trente-deux ans, il joue alors à Brescia. L’Italie peut apprécier sa qualité de passe et son intelligence de jeu, comme sur ces extraits de son match face à la Lazio.

 

 

 

 

L'anecdote


David Lafata, solide attaquant tchèque, est en train de réaliser une saison extraordinaire au niveau européen. Alors qu'il a marqué huit fois en championnat avec le Sparta Prague, ce qui le place en troisième position du classement des buteurs (juste devant un Français du nom de Jean-David Beauguel), il est virtuellement dans le top 2 des deux coupes. Explication: en six rencontres de Ligue Europa, il a trouvé le chemin des filets à cinq reprises, ce qui le place en tête avec Harry Kane et Raul Rusescu... lequel a réalisé ce total en seulement 118 minutes. Mais Lafata a également sévi lors des tours préliminaires de Ligue des champions, marquant un quintuplé face à Levadia et un triplé contre Malmö. Tour préliminaire oblige, ces huit pions ne comptent pas dans les statistiques mais le total reste très impressionnant pour un joueur de trente-deux ans.

 

 

 

 

Bonus coup franc travaillé à l’entraînement


La combinaison du week-end est signée Bristol City, en League One (D3) anglaise.

 

 

 

 

La revue de presse anglophone

 

Portrait de Paco Jemez, l’entraîneur du Rayo Vallecano, apôtre du jeu offensif.


Oubliez la fameuse “double peine” et parlez désormais de “triple peine”: le combo penalty+carton rouge pénalise aussi une équipe dans le match suivant, preuves statistiques à l’appui.


Dans une chronique pour El Pais pendant le Mondial 2006, Pep Guardiola a rendu hommage au Mexique de Ricardo La Volpe et à l’une de ses clés de voûte: Ricardo Osorio.


Cesar Azpilicueta brille à Chelsea dans un rôle pourtant tout sauf naturel d’arrière gauche droitier.


Un tiers des buts dans les cinq grands championnats sur les trois dernières années sont issus de coups de pied arrêtés. Mais certains clubs y portent plus d’attention que d’autres.


Et si, avec sa nouvelle politique dispendieuse de transferts, le Barça devenait un super-club comme les autres et perdait son identité de jeu?


Valentino Mazzola était la star du Torino décimé par un crash aérien en 1949.


Les premiers jours d’une relation avec Marcelo Bielsa sont toujours les plus doux. Comme en amour, en fait.


Mieux que le gegenpressing de Dortmund, le “total defending” du Bayern. Une application moderne des bonnes vieilles recettes de Sacchi, en vérité.


 

  

Réactions

  • Lucho Gonzealaise le 11/11/2014 à 01h21
    "Ronaldo (le vrai)"

    Non, pas vous...

  • osvaldo piazzolla le 11/11/2014 à 02h59
    C'est juste incroyable ce que fait Southampton (et donc Koeman) étant donné l'état (similaire à celui de Blackpool) dans lequel était le club cet été, avec perte de l'entraîneur, d'une demi douzaine de joueurs clés, les joueurs clés restant faisant la gueule et le faisant savoir, crise de confiance au sein du management, réprobation sonore des fans. En juillet ils avaient une seule chose de positive: beaucoup d'argent.

  • Sens de la dérision le 11/11/2014 à 07h36
    Lucho Gonzealaise
    aujourd'hui à 01h21
    ---
    J'allais faire exactement la même remarque.

    En ce qui concerne le pressing, il me paraît toujours aussi évident qu'une équipe qui presse à fond a forcément beaucoup plus de chance d'avoir une emprise sur le match. La citation de Koeman "Plus vous courez, moins vous voyez" me paraît parfaitement convenir au pressing des Marseillais sur Verratti : même si Verratti fait son petit numéro, les attaquants adverses ressemblent à des poulets sans tête.

  • kimporte el flaco le 11/11/2014 à 10h28
    " y a pas de solutions, y a pas de solution..."

  • plumitif le 11/11/2014 à 13h22
    Plutôt lapidaire et convenue l'analyse de PSG-OM du genre suffit à Paris d'accélérer. Di Meco est excessif pour le terme branlée si Paris joue comme ça en LDC. Mais son état de si?ération pendant les 20 premiéres minutes va dans le sens de Di Meco. Une "grande équipe" de surcroit prévenue des intentions de Bielsa ne se fait pas bousculer comme ça.
    Plutôt que cette lecture parisiano centrée j'aurais préféré un focus Verratti/Payet.
    Comment le premier aprés 10 mn a compris comment couper les lignes de passes du second et qu'en le baladant comptant sur sa paresse il lui ferait renoncer au pressing.
    Payet avait un rôle clé neutraliser le plus possible Verratti. Il a échoué là dessus comme dans le reste.
    L'écrasante victoire parisienne dans ce duel a été déterminante.

  • plumitif le 11/11/2014 à 13h24
    état de sidération

  • AKK, rends tes sets le 11/11/2014 à 14h58
    La combinaison sur coup-franc ressemble à celle des USA contre la Belgique à la Coupe du Monde, avec plus de réussite !

  • Yohan Cowboy le 11/11/2014 à 15h25
    Lucho Gonzealaise
    aujourd'hui à 01h21

    et

    Sens de la dérision
    aujourd'hui à 7h36
    ----
    Simple considération semantique pour Ronaldo, aucune dévalorisation de Cristiano.

    ----
    plumitif
    aujourd'hui à 13h22
    ----
    J'ai du mal à voir en quoi dire que le pressing parisien a bien mieux tenu la distance que celui de l'OM, c'est être parisiano-centré. Alors que justement, quand l'OM avait le dessus au milieu, dans les vingt premières minutes, le match était à sens unique et c'est précisé dans l'analyse.

    Pas compris ce que Di Meco vient faire là-dedans non plus mais j'ai peut-être raté un épisode.

    Pour Verratti-Payet, oui le premier a fini par dominer le second, mais le système de relance du PSG avec Verratti parfois intercalé entre les deux DC lui a donné de la liberté au-delà même de la défaillance de Payet. Après, le problème marseillais avec le ballon en seconde période était bien en amont de Payet, avec de gros problèmes pour ressortir en nombre. On a ainsi souvent vu Imbula parvenir à percer le bloc haut du PSG mais n'avoir que Gignac comme solution parce que l'OM, devenu inefficace au pressing (en retard et à distance), défendait bas. Notamment les ailiers.

  • leo le 11/11/2014 à 15h37
    Yohan Cowboy
    aujourd'hui à 15h25

    Lucho Gonzealaise
    aujourd'hui à 01h21

    et

    Sens de la dérision
    aujourd'hui à 7h36
    ----
    Simple considération semantique pour Ronaldo, aucune dévalorisation de Cristiano.
    ___

    Pourquoi alors parler d'un "vrai" Ronaldo (Luis Nazario de Lima, le brésilien, le champion du monde 2002, O Fenomeno) si ce n'est pour l'opposer à un faux Ronaldo, qui usurperait le nom glorieux de son prédécesseur ?

  • Toni Turek le 11/11/2014 à 16h14
    David Lafata... En voilà un qui avait su briller lors de ma draft de Jablonec en 2011/12, meilleur buteur du championnat tchèque !


    Concernant Alaba, c'est aussi et surtout à l'équipe nationale autrichienne qu'il va manquer. Parce qu'il n'a pas d'équivalent. Ce n'est pas pour rien qu'il a (encore) été choisi meilleur sportif de son pays cette année.


    Pour "Ronaldo (le vrai)", si le commentaire entre parenthèses se veut neutre, il faudrait plutôt mettre quelque chose comme "le premier" ou "le Brésilien". Comme le relève leo, l'opposé de "vrai", c'est "faux", et "faux" c'est pour le moins assez dévalorisant.
    Ou alors ne rien mettre : après tout, le Portugais est généralement désigné avec son prénom ou son initiale, non ?

La revue des Cahiers du football