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Dans les Cartons : Gazélec, possession et Borussia Dortmund

De la Corse à l'Allemagne en passant par la conservation de balle, les Cartons sont divers et variés cette semaine. À tel point qu'on y trouve même du championnat argentin et du Yassine Benzia. Quelle folie. 

Auteur : Les Dé-Managers le 15 Sept 2015

 

 

 

Changements de dispositifs ou de joueurs, batailles philosophiques et stratégiques, échecs et réussites… Chaque semaine, les quatre Dé-Managers proposent leurs billets d’humeur.


* * *

 

Le Gaz dans l'espace-temps

Raphaël Cosmidis – Plus les espaces se réduisent, plus le temps devient court. Juanma Lillo, ce grand déjanté, genre de mentor de Pep Guardiola, l’a dit un jour: “Le foot est une question d’espace-temps”. En une fraction de seconde, le joueur talentueux trouvera la solution. Le joueur correct fera comme il peut.

 

Malgré vingt-six tirs, oui, vingt-six, le Gazélec Ajaccio n’a pas collé un seul ballon au fond des filets de l’AS Monaco dimanche. Entre autres raisons: de la maladresse, de la panique aux abords de la surface, des yeux qui regardent leurs pieds et pas ailleurs. Et puis quatorze de ces vingt-six frappes sont intervenues en dehors de la surface, les Corses oubliant l’extra-passe trop souvent. Dans la surface, le score est d’ailleurs de parité: dix partout.

 

Après cinq rencontres, dont deux face à des promus, le “Gaz” n’a toujours pas marqué. Et cadre très peu: à peine plus de trois tirs par match. Jusqu’aux trente mètres adverses, l’équipe de Thierry Laurey s’en sort plus que bien. Elle a même dominé Monaco, pas forcément par l’esthétique, mais au moins par l’occupation du terrain, en envoyant des longs ballons sur Zoua et Pujol puis en se battant à la retombée de ces derniers. Il y a du costaud à Ajaccio, mais peu d’idées quand il faut scorer. Alors on tente sa chance, de plus en plus loin.

 

 

 

Le manque de talent est probablement l’explication principale de cette incapacité. Seul Grégory Pujol est susceptible de créer du jeu sur le front de l’attaque ajaccienne. Le Camerounais Zoua fait figure de déménageur quand le milieu à trois Ducourtioux-Djokovic-Youga cumule beaucoup, rigueur, pied gauche et puissance, sans qu’on y trouve de l’inventivité.

 

Le Stade Malherbe de Caen, seul promu à s’être maintenu la saison passée, y était parvenu par l’attaque, par le jeu, ressuscitant après la trêve, en même temps que Julien Féret. Le recrutement de Nicolas Benezet, créateur sous-côté, avait également poussé le SMC vers le haut du classement. On voit difficilement comment le Gazélec pourrait imiter l’audace des Normands. Nuançons l’inquiétude: les Corses auraient dû marquer 1,85 buts face à Monaco. Ils ont, au fond, fait un bon match, mais montré trop peu de discernement, d’intelligence de jeu dans les bonnes zones. Cet espace-temps, sans doute...

 

 

 

 

 

Point pédago : 4-3-3, 4-4-2 et couverture de la largeur

Christophe Kuchly – Le sujet illustre la différence de conception entre les tenants de la ligne Mourinho et ceux de la ligne Guardiola, qu’ils soient coachs reconnus, éducateurs U13 ou simples mortels. Qu’est-ce qu’avoir la balle et est-ce qu’une philosophie est plus fatigante et facile que l’autre? Au-delà de la propagande, les faits sont là: les équipes de possession finissent aussi bien leurs saisons que les autres. Et leurs matches, si l’on prend l’exemple du Bayern, une nouvelle fois vainqueur – litigieux certes – en fin de partie ce week-end contre Augsbourg (2-1 avec 80% de possession et vingt-sept tirs à quatre).

 

Hein Vanhaezebrouck, entraîneur de La Gantoise – premier adversaire de Lyon en Ligue des champions – et partisan de ce style, rappelle dans une interview à La Dernière Heure (lire par ailleurs) la dualité pressing-possession. Pour avoir le ballon, il faut courir de manière intense. Une fois celui-ci acquis, c’est déjà plus facile. "Je ne sais pas ce que les autres font, mais nous on travaille beaucoup physiquement. On dépense beaucoup plus d’énergie dans le pressing que dans la possession. Enfin, ça dépend comment tu joues la possession, parce que si tu joues une possession où tout le monde court n’importe où, [les joueurs] courront beaucoup. Mais si tu pars d’une situation claire, avec une organisation claire en possession et des positions bien occupées, les courses sont moins longues. Je dis toujours à mes joueurs que l’énergie qu’ils ont, ils doivent la mettre dans la récupération du ballon. Une fois qu’on a le ballon, ça coûte beaucoup moins d’énergie. Donc si on a beaucoup de possession de balle, on peut parfaitement faire un pressing haut durant tout le match sans aucun problème."

 

 

 

Pas vraiment un discours de circonstance puisque son équipe, championne en titre, joue de la sorte et obtient des résultats supérieurs à ce que la qualité de l’effectif et le budget (salaire moyen des joueurs inférieur à la moyenne du championnat) laisseraient supposer. Comme La Gantoise, le Bayern a choisi, via son coach, d’avoir la possession pour des raisons proactives. Une philosophie de jeu qui permet, plus la maîtrise technique est grande, de récupérer avec le ballon des efforts de haute intensité fournis, pour ensuite déclencher des attaques en mouvement. Face à Augsbourg, les hommes de Guardiola ont parcouru quatre kilomètres de moins que leurs adversaires, coulissant en trottinant et se démarquant en marchant tant la menace sur le porteur était faible et le soutien présent en toute circonstance. Comme le dit Vanhaezebrouck, cela nécessite une organisation au point. Mais, une fois en place, elle permet à une équipe d’attaquer sans s’épuiser.

 

 

 

 

En vrac

Bonne première apparition pour Kevin de Bruyne avec Manchester City, dans son registre habituel de joueur intermittent mais capable, à tout moment, de faire basculer la partie sur une inspiration. Auteur de cinq key passes face à Crystal Palace (1-0), dont deux auraient dû être des passes décisives sans des ratés de cochon face au but, il transperse les lignes en une inspiration comme quasiment personne – une faculté qu’on voit généralement chez les numéro dix sud-américains. Un style de jeu qui ira mieux à City qu’au Chelsea de Mourinho.

 

Daniele Baselli était courtisé par Milan, qui a finalement décidé de ne pas mettre les quelques millions nécessaires. L’attaquant de vingt-deux ans a donc quitté l’Atalanta pour le Torino, avec succès: buteur lors de chacun de ses quatre matches avec sa nouvelle équipe, il joue pour l’instant les premiers rôles au classement.

 

Marouane Fellaini, excellent joueur de tête, est donc attaquant titulaire à Manchester United dans un match contre le rival Liverpool (3-1). À quelques années près, la carrière de Daniel van Buyten aurait pu être bien différente…

 

Un quintuplé de Cristiano Ronaldo (6-0 contre l’Espanyol) est une nouvelle bonne occasion de taper sur une Liga trop facile, et de dire que Raúl, que le Portugais a doublé au nombre de buts avec le Real, aurait sans doute marqué beaucoup plus s’il y avait joué maintenant. On répondra à cette affirmation en rappelant que les statistiques de Ronaldo sont les mêmes en Ligue des champions et que rien ne dit qu’ailleurs – dans une Bundesliga ouverte ou une Premier League où Gomis, Mahrez et Ayew sont dans les cinq meilleurs buteurs –, il ne scorerait pas beaucoup plus. Oui, le Real est trop fort, mais pour (presque) tout le monde.

 

Au sujet du Real, d'ailleurs, le repositionnement axial de Gareth Bale (sur demande du Gallois à l'intersaison) a au moins eu le mérite, contre l'Espanyol (0-6), de le voir proposer des appels dans la profondeur pour du jeu direct par dessus la défense. Quoiqu'il en soit, si les positions ont légèrement changé, la BBC reste efficace et équilibrée dans son placement et ses déplacements, chaque membre du trio étant capable de jouer un peu partout devant pour compenser.

 

Certes, le Bayern a eu besoin d’un penalty généreux pour battre Augsbourg (2-1), dans un match où seul Douglas Costa a encore été une source permanente de déstabilisation. Mais les compositions d’équipe de la formation bavaroise restent un sujet d’étude passionnant, pour comprendre les équilibres et compensations recherchées par l’alignement de joueurs à des postes qui ne sont pas toujours les leurs (Thiago Alcantara milieu excentré à gauche en "faux ailier" pour laisser le couloir à David Alaba, Rafinha en défense centrale histoire d’avoir un petit gabarit dynamique en plus dans l’axe...).

 

La sortie de Fernando Gago au bout de trente secondes aurait pu être un coup dur pour Boca, dans le Superclasico sur la pelouse du Monumental. Elle a en réalité été un tournant tactique décisif. Avec l’entrée de Nicolas Lodeiro, le 4-2-2-2 initial (4-4-2 mais avec deux joueurs plutôt axiaux sur les côtés) s’est mué en 4-4-2 en losange. L’Uruguayen a ainsi pu neutraliser directement Matias Kranevitter, chef d’orchestre reculé du jeu de River. Il a aussi été un poison dans le jeu entre les lignes, récompensé par le seul but du match. Si Boca a dominé la première période (avant de par la suite rejoindre River dans le déchet, le jeu brouillon et un match haché), c’est en grande partie grâce à ce coup du sort initial.

 

 

 

Focus : Stade rennais

Entraîneur : Philippe Montanier.
Système préférentiel : 3-4-2-1 / 3-4-1-2.
Classement : 2e de Ligue 1.
Possession : 47,9% (14e de L1).
Tirs par match : 10 (17e).
Tirs concédés par match : 9,6 (4e).
Long ballons par match : 75 (3e).
Attaques dans l’axe : 21% (19e).
Joueur clé : Gelson Fernandes : 3,8 tacles par match (8e des joueurs à quatre apparitions ou plus), 2,8 interceptions par match, 81,2% de passes réussies.
(Statistiques WhoScored).

 

 

 

Les instantanés tactiques de la semaine

 

 

 

 J. M.– Pour empêcher un adverse de développer son jeu, il y a plusieurs options. Parmi elles, évoluer regrouper dans ses trente mètres et présenter un bloc dense impénétrable; évoluer haut, avec soit un pressing intense, soit un marquage ciblé d’un élément clé dans la première relance adverse. Lille et Boca Juniors, respectivement sur la pelouse de l’OL et de River Plate, ont adopté cette dernière approche.

 

Un Lillois (souvent Tallo, ici Benzia après permutation) a systématiquement marqué Maxime Gonalons, gênant ainsi considérablement un joueur souvent à l’origine de passes capables de casser les lignes; un Xeneize (Lodeiro, lire par ailleurs) a fait de même sur Matias Kranevitter, ce qui a contraint River à envoyer une succession de longs ballons imprécis en première période (avant que l’étau ne se relâche quelque peu en seconde).

 

Une neutralisation à la source payante dans les deux cas: le LOSC, rarement inquiété dans le jeu, a obtenu le point qu’il était venu chercher à Lyon (0-0, avec réussite, certes, sur coups de pied arrêtés défensifs), tandis que Boca a remporté le 205e Superclasico en première division argentine (0-1).

 

 

 

 

Les déclas

"Les entraînements, tu vas en voler aux autres. Il y a des entraînements que j’appelle 'Christian Gourcuff'. Ça me plaît beaucoup."
Jean-Marc Furlan, dans un très bon reportage sur sa méthode. 

 

"Tant qu’on a la balle, ils ne peuvent pas marquer. Naturellement, des gens vous répondront que quand vous perdez la balle, il y a énormément d’espace pour jouer le contre. C’est vrai, mais même en jouant comme ça on ne prend pas tellement de buts en contre. Tu peux te préparer à une perte de balle. On est toujours en place. Si nous avons la balle, c’est nous qui décidons. Et si on perd la balle, c’est de notre faute."
Hein Vanhaezebrouck, entraîneur de La Gantoise, à la DH

 

"Je crois que ça a été prouvé ces dernières années, les équipes anglaises ont des difficultés à passer au niveau européen. Même si c’est la ‘plus grande ligue du monde’ avec l’argent, les intérêts commerciaux et le public, je pense que le niveau en Espagne est beaucoup plus élevé qu’en Angleterre. Je crois qu’en Espagne ils forment. En Angleterre ils ne forment pas, ils achètent. Mais ça ne veut pas dire que tu vas avoir une équipe, si tu ne mets rien en place… Parfois je me demande ce qu’ils font. Quand je regarde certains matches en Angleterre, je vois des choses tactiquement et je me dis "pfiouu, c’est quand même pas possible". Je me pose souvent des questions…"
Hein Vanhaezebrouck, toujours.

 

"La communication, c’est 50% du jeu. Parce qu’il y a des gars qui voient le jeu, et qui peuvent indiquer où la balle doit aller. Si la balle vient de gauche, un milieu la reçoit et quelqu’un derrière lui dit "change le jeu", il ne doit même plus regarder, il contrôle et il change le jeu. C’est une aide énorme. En progressant dans la communication, cette équipe peut encore s’améliorer. Et pas seulement de 5 ou de 10%. Je pense que c’est 20-30% de plus. (...) Ce matin, on a fait une session de deux heures avec les coaches externes et puis on a fait un petit match où on a demandé aux blessés de coacher et de corriger les joueurs qui ne parlent pas. Tout le monde parlait, mais ici on est entre trois autoroutes, il y a beaucoup de bruit: on n’entendait personne. Ils parlent, c’est vrai, mais on ne les entend pas. Donc on est en train d’entraîner la force de la voix avec des exercices vocaux, comme les chanteurs. Ça doit devenir un automatisme, pour ne pas devoir y réfléchir parce que sur le terrain c’est beaucoup plus difficile, tu es en train de courir, de changer de direction… Mais si tu es dans une position de spectateur, d’organisateur, à ce moment-là on doit t’entendre."
Hein Vanhaezebrouck, enfin.

 

 

 

La vidéo de la semaine

Comment joue le Borussia de Thomas Tuchel? On en avait parlé par écrit après la première journée, voici la version vidéo. Où l’on voit la pauvre équipe d’Ingolstadt, battue 4-0 la semaine suivante, faire face à des Borussen capables de garder le ballon mais aussi d’aller vite vers l’avant.

 

 

 

 

 

La revue de presse (presque) anglophone

Suite de l’interview de Tim Lees, dont la première partie avait été partagée dans les derniers Cartons. Les thèmes, cette fois-ci: la tactique, les formations et comment contrer la stratégie adverse.  

 

Focus sur Riyad Mahrez, qui porte un surprenant Leicester en ce début de saison de Premier League après avoir dû lutter contre les idées reçues sur son physique.

 

Rafa Benitez est "tactiquement" le meilleur entraîneur que Steven Gerrard a cotoyé, mais les deux hommes ont eu du mal à s’entendre.

 

Tous les entraîneurs n’ont pas la même volonté de promouvoir des jeunes, comme le prouvent les exemples de Louis van Gaal, Pep Guardiola et José Mourinho.

 

Discussion sur le journalisme de foot, avec notamment Philipppe Auclair parmi les invités. 

 

 

 

 

Réactions

  • osvaldo piazzolla le 15/09/2015 à 04h29
    Pour rebondir sur ce que dit l'entraîneur de la Gantoise (celui au nom compte triple) à propos des courses, je me demande si une donnée pertinente pour révéler les capacités à répéter les efforts défensifs ne serait pas, plutôt que la distance totale parcourue dans un match, la distance totale parcourue au delà d'une certaine vitesse, qui pourrait mesurer la quantité de sprints (avec un evitesse limite haute) ou la quantité de courses avec effort (avec une vitesse limite plus faible). ça existe déjà?

  • Yohan Cowboy le 15/09/2015 à 08h37
    Il me semble que l'UEFA le fait sur les matchs de Ligue des champions. En tout cas, j'ai déjà vu cette stat quelque part. Par contre, Opta n'est pas encore en mesure de le faire. Peut-être Prozone...

  • et alors le 15/09/2015 à 11h05
    Salut les Démanagers. Le maillot qui paraît fuchsia de Zoua en lucarne, c'est un clin d'oeil à vos couleurs à la LDC, avouez?

    A part ça, je viens faire mon habituelle remarque sur la Serie A, puisque j'ai vu l'Hellas-Torino que vous évoquez (on en a parlé avec magnus sur le fil italien). Le Toro a tout de même été heureux de s'en sortir avec le nul, et Baselli avec son but : les trois qu'il a marqué en championnat sont obtenus sur ses trois seuls tirs (ça c'est de la stat). Il joue d'ailleurs plutôt milieu, mais compose une équipe granata qui peut être intéressante cette saison avec d'autres espoirs comme Belotti et Benassi, le "nouveau Maicon" Bruno Peres, et des briscards comme Glik et Quagliarella. Pour la déconne, il reste Maxi Lopez qui a dû faire la préparation avec Mexès (même coupe de cheveux, même bronzage, même embonpoint).

  • le Bleu le 15/09/2015 à 11h57
    Tactiquement, les Cahiers et les Dé-managers sont en train de tirer l'ensemble du commentaire français du football vers le haut depuis 2-3 ans.

    De l'analyse tactique, on commence à en revoir dans des médias plus généralistes comme France Football.

    Après avoir donné naissance à l'Alterfoot - avec un temps de retard qui surprenait Jérôme en 2007 -, les Cahiers nous permettent de ne plus nous cantonner à l'analyse étrangère et à Zonalmarking.

    C'est ça la révolution du Web, sous nos yeux.

    Le Barça de Guardiola n'a pas été étranger à ce regain d'intérêt, c'est vrai.

  • Tonton Danijel le 15/09/2015 à 13h16
    Le Gazelec, faîtes ce que vous voulez pour résoudre vos problèmes offensifs, mais c'est trop tard pour reprendre M'Madi.

  • osvaldo piazzolla le 16/09/2015 à 14h00
    M'Madi est à Grenoble ? wow, en juillet, son contrat au Red Star avait pas pu se faire parce qu'il n'y avait pas eu d'accord financier. Je me demande si il a du sérieusement revoir ses prétentions à la baisse, si Grenoble a de gros arguments sonnants et trébuchants, ou si Haddad est vraiment radin.

    Sinon, les passages sur la Gantoise m'ont tellement intéressés que ça m'a donné envie de voir leur match contre les quenelles. Dommage que j'aie vrai foot.

La revue des Cahiers du football