Seuls 36% des internautes parviennent à saisir leur e-mail / password du premier coup. En feras-tu partie ? Attention à ne pas confondre vos minuscules et vos majuscules.
Vous avez oublié votre mot de passe ?
Inscription
Vous avez oublié votre mot de passe ? Il reste un espoir ! Saisissez votre adresse e-mail ; nous vous enverrons un nouveau mot de passe. Cette procédure est quasiment gratuite : elle ne vous coûtera qu'un clic humiliant.
Nous vous avons envoyé un email sur votre adresse, merci d'y jeter un oeil !

CONDITIONS D'INSCRIPTION :

1. Vous devez nous adresser, via le formulaire ci-dessous, un texte (format .txt inférieur à 100 ko) en rapport avec le football, dont la forme est libre : explication de votre passion, anecdote, aventure, souvenir, essai, commentaire composé, portrait, autobiographie, apologie, réquisitoire, etc. Vous serez ensuite informés de la validation de votre inscription par mail. Les meilleurs textes seront mis en ligne sur le Forum.

2. Nous ne disposons pas d'assez de temps pour justifier les retards d'inscription ou les non-inscriptions, et ne pouvons pas nous engager à suivre une éventuelle correspondance à ce sujet. Merci de votre compréhension.

Nous avons bien reçu votre candidature, on y jette un oeil dès que possible. Merci !

Partager :

Dans les Cartons : Mamadou Sakho, le système du peuple et l'Athletic Bilbao

Mais qui est vraiment Mamadou Sakho? Une étrange question, accompagnée d'un vote pour élire l'organisation tactique la plus populaire, et des couloirs aériens de l'Athletic Bilbao. Des Cartons garantis sans crash. 

Auteur : Les Dé-Managers le 3 Nov 2015

 

 

 

Changements de dispositifs ou de joueurs, batailles philosophiques et stratégiques, échecs et réussites… Chaque semaine, les quatre Dé-Managers proposent leurs billets d’humeur.


* * *

 

Mamadou Sakho, joga bonito incognito

Raphaël Cosmidis – Mamadou Sakho n’est pas un grand noir costaud. Enfin, si, il est grand, noir et costaud, mais il n’est pas que ça, pas le cliché de la formation française qu’on dénonce souvent, des réunions de la DTN aux terrains amateurs le week-end.

 

Samedi, lors de la victoire 3-1 de Liverpool à Stamford Bridge, la sixième défaite en onze matchs de Premier League pour les Blues, Sakho a distribué, distillé, organisé le jeu de son équipe depuis sa position de défenseur central. 76 passes au total, 70 réussies, 51/56 quant aux passes vers l’avant. Emre Can, coéquipier milieu de terrain, lui a donné le ballon à dix-sept reprises, lui confiant ainsi la responsabilité de faire avancer le jeu. Mission réussie: l’international français a brisé des lignes, trouvé des joueurs libres entre le milieu et la défense londonienne. Sur le deuxième but des Reds, c’est lui qui allonge avec précision sur la tête de Christian Benteke, dont la remise aboutit à la deuxième réalisation de Philippe Coutinho.

 

 

 

L’ancien Parisien est souvent considéré comme un joueur maladroit, limité et réduit au combat, à la suprématie dans le duel aérien. Une erreur d’appréciation majeure tant il a régulièrement démontré sa capacité à faire plus, à participer au jeu avec ballon, à être le relanceur principal de son équipe. Contre Chelsea, Martin Skrtel a touché vingt ballons de moins que lui. Avec les Bleus, si Raphaël Varane affiche plus d’élégance, c’est souvent Sakho qui tente les transmissions les plus osées, réalisant les bons choix de passes et les exécutant d’un pied gauche qui semble pourtant si emprunté. Là naît sans doute le problème de perception à son sujet, Sakho se désarticulant terriblement à chaque geste, comme si commander ses jambes était particulièrement ardu.

 

Il est vrai que face à un pressing agressif, le temps nécessaire à son expression lui fait défaut. Sakho décompose ses gestes pour les réussir et s’applique énormément pour compléter chaque passe. Quand les adversaires foncent sur lui, son jeu devient plus brouillon, même si, gardant son calme, la “crise de technicité” chère à Omar Da Fonseca est fréquente chez lui. Contrôle derrière la jambe d’appui, feinte de corps puis contrôle de la poitrine avant de dégager, Sakho régale une à deux fois par match. Depuis l’arrivée de Jürgen Klopp à Liverpool, il enchaîne les titularisations, Dejan Lovren ne goûtant qu’aux fins de match. À sept mois de l’Euro 2016, il se replace comme l’un des favoris pour accompagner Varane en défense centrale. En attendant, il continuera de servir Coutinho, Lallana et Firmino entre les lignes. Parce qu’il sait le faire. Et il est temps de s’en rendre compte.

 

 

 

 

 

Le tournoi tactique

 

Philippe Gargov – Inutile de le nier: certains systèmes tactiques sont plus aimés que d’autres. Une réalité bien cruelle, et bien sûr éminement subjective, que nous avons tenté de mesurer la semaine dernière sur Twitter… avec plus ou moins de sérieux, évidemment. L’idée, issue d’une nuit blanche riche en envies stupides: tirer partie de la fonction Sondages, nouvellement apparue sur le réseau social, pour organiser un grand “tournoi tactique” à la bonne franquette. Avec pour objectif subsidiaire de révéler quelques tendances quant aux affinités des twittos à l’égard de tels ou tels systèmes tactiques… En rappellant évidemment que les chiffres ne sont rien et que seule l’animation détermine la pertinence et le style sur le terrain. Tout léger qu’il soit, l’organisation d’un tel tournoi requiert un minimum d’organisation. Il faut, tout d’abord, définir les systèmes tactiques pouvant légitimement postulé. Pour simplifier les choses et éviter de “flooder” une semaine durant, le choix a été fait de limiter les systèmes à trois lignes: exit, donc, les variations de systèmes tels que 4-2-3-1 vs. le 4-3-2-1, inévitablement rassemblés dans un vulgaire 4-5-1. De fait, de nombreuses tactiques à quatre lignes ont tout bonnement “disparu” du tableau, au profit de systèmes plus caricaturaux. On notera d’ailleurs que le 4-2-3-1 aura été, et de loin, l’une des formations les plus réclamées par une partie non-négligeable des twittas et twittos.

 

 

 

De même, la gamme des systèmes tactiques en lice se sera limité aux formations “traditionnelles”, c’est-à-dire à trois, quatre, et cinq défenseurs. Au total, douze formations ont été sélectionnées pour concourir. En raison d’un nombre trop faible de participants, quatre d’entre eux ont pu profiter d’un tableau plus facile… On aurait évidemment pu mutiplier les tactiques en ajoutant les 5-5-0 et autres 6-3-1… Mais par éthique, nous avons purement et simplement refusé l’accès aux systèmes à six défenseurs – et ce malgré le lobbying intensif des armées corréaistes. Nous avons toutefois décidé de laisser une chance aux formations sans attaquant, en la présence du 4-6-0 spallettien et de son succèsseur, le 3-7-0 guardioliste. Un choix assumé, compte-tenu de l’âge relativement récent de ces systèmes tactiques, et dont on aurait pu penser qu’ils rencontreraient un certain écho auprès des votants… Que nenni! Les deux candidats auront été éliminés dès le premier tour, et qui plus est sur des scores sans appel. Une manière d’acter la mort du football sans attaquant, tombé en disgrâce aussi rapidement qu’il aura été porté aux nues à l’orée des années 2010? Sans faire de ce tournoi tactique un révélateur objectif des tendances en cours, on peut quand même s’étonner que ces systèmes aient si peu séduit…

 

Plus généralement, ce tournoi tactique aura apporté quelques surprises, tout en validant la plupart des aprioris que l’on aurait pu avoir quant à l’attractivité de certains systèmes. Avec un peu plus de 200 votes par “match” en moyenne, les résultats révèlent quelques enseignements que l’on prendra pour ce qu’ils sont, avec légèreté et sans en tirer de conclusion particulière. Ainsi, le 4-3-3 aura été le vainqueur incontestable et largement incontesté de ce tournoi, écrasant même le 4-4-2 que certains voyaient pourtant comme un outsider de premier choix. Si l’on pouvait se douter de l’attractivité du 4-3-3, on aurait pu penser que celui-ci s’était quelque peu normalisé dans l’imaginaire collectif… Le principal étonnement est peut-être venue du 4-5-1, manquant la finale de justesse, alors qu’il s’agit de l’un des systèmes parmi les moins séduisants qui soient (en toute objectivité bien sûr). La consigne de départ, évoquée ci-dessus, explique peut-être ce succès d’une formation protéiforme, qui en inclut donc beaucoup d’autres (4-2-3-1, 4-3-2-1, 4-1-4-1…).

 

Plus surprenant encore est le succès du 3-4-3, arrivant en finale malgré un temps de jeu très limité dans le monde réel. Outre un tableau plus facile, le 3-4-3 aura sûrement profité de son statut de formation excentrique et volontiers offensive, face à des cadors jugés plus traditionnels et donc plus frileux. Une manière de primer l’audace tactique qui n’aura malheureusement pas payé en finale, à l’instar d’autres équipes flamboyantes à travers l’histoire… Car s’il fallait ne retenir qu’un seul enseignement de ce tournoi tactique, ce serait bien celui-ci: même sur Twitter, le romantisme ne sort jamais vraiment vainqueur.

 

 

 

 

 

En vrac

 

La personne ayant lancé un objet (apparemment un bout de carton froissé) à la tête d’Henrikh Mkhitaryan à la fin de l’échauffement a sans doute pensé que c’était une bonne idée, surtout après avoir touché sa cible. Après avoir été foutue hors du stade et vu le Werder perdre 3-1 contre Dortmund, elle a sans doute changé d’avis. Car l’Arménien a une nouvelle fois été excellent, ses deux passes décisives, agrémentées d’un but, permettant d’oublier le wagon de ratés de Pierre-Emerick Aubameyang. Un vrai bonheur à vrai tant ce magicien n’arrivait jusqu’ici pas à mettre toutes les pièces en ordre sur la durée. En plus, il a eu la bonne idée de placer une tête victorieuse sur un centre de l’extérieur du pied de Mats Hummels, ce qui permet à tout le monde d’avoir un nouvel aperçu des qualités techniques du défenseur allemand.

 

La Fiorentina menait 4-0 contre Frosinone à la pause, un score pas forcément cher payé après avoir tiré dix-neuf fois au but. Alors Paulo Sousa, qui aime bien les dispositifs tactiques très offensifs, a décidé de s’amuser dans la dernière demi-heure. Le défenseur Roncaglia a été remplacé par Giuseppe Rossi, puis le gardien Tatarusanu a laissé sa place à Luca Lezzerini, troisième dans la hiérarchie. Cela n’a pas trop porté à conséquence, la Viola l’emportant finalement 4-1.

 

René Girard ne faisait pas toujours bien jouer le LOSC. Mais Hervé Renard, qui affirme qu'on s'emmerde en voyant son équipe en ce début de saison, ne fait rien pour que ça change. Le match nul à Nice (0-0) en est un parfait exemple, avec ces trois défenseurs centraux et ce milieu Obbadi-Balmont-Mavuba. Alors oui, on dirait que "l'important ce n'est pas le système, c'est l'animation". Mais ce n'était pas animé et ce n'est pas franchement étonnant.

 

Quand on voit de tels buts, on a envie de se réjouir de voir les Corinthians se diriger vers le titre de champion du Brésil. Bon, ce n'est pas tant grâce à Lucca, qui marquait ici pour la première fois de la saison, que Jadson, Elias et Vagner Love. Et un peu Gil aussi, l'ancien Valenciennois. Comme quoi, il ne faut pas toujours s'arrêter aux noms.

 

 

 

 

 

 

Focus : Akhisar Belediyespor

Entraîneur : Cihat Arslan.
Système préférentiel : 4-2-3-1.
Classement : 4e de Super Lig.
Tirs par match : 8,7 (20e).
Cartons jaunes : 19 (20e).
Buts dans le jeu : 2 (20e).
Buts sur coups de pieds arrêtés : 7 (1er).
Buts sur penalty : 4 (1er).
Temps passé dans le camp adverse : 22% (20e).
Longues passes par match : 73 (1er).
Joueur clé : Douglao (oui oui l’ancien Nantais) : 2 buts, 2 passes décisives, 3,3 duels aériens gagnés par match (5e), 7,8 dégagements (1er).
(Statistiques WhoScored).

 

 

 

 

 

 

L'instantané tactique de la semaine

 

C. K. – Avec 23,5 duels aériens gagnés par match, l'Athletic Bilbao est la deuxième équipe des cinq grands championnats européens dans le domaine derrière Caen... hors Bundesliga, où les totaux s'envolent. Les Basques, à l'aise au sol, n'abusent pour autant pas des longues passes (5e de Liga). Ils possèdent simplement un très bon joueur de tête (Raul Garcia) et un phénomène (Aritz Aduriz). Ce dernier, dont le niveau semble s'améliorer avec les années, mène d'ailleurs logiquement le classement individuel des duels aériens gagnés.

 

 

 

Alors forcément, quand l'équipe joue bas et veut contre-attaquer, il existe une solution pour être rapidement dangereux. Ici, c'est Aymeric Laporte (hors écran), qui balance loin devant. Aduriz, probablement inégalé dans le jeu aérien depuis plusieurs années, prend une énorme impulsion pour devancer son défenseur et lancer Raul Garcia, habituellement en soutien. Celui-ci prendra son défenseur de vitesse pour remettre à Aduriz, qui a plongé dans l'axe. Le duel avec le gardien sera perdu mais, à deux, les attaquants ont piégé la défense, sans avoir besoin des aileirs Sabin et Williams, qu'on aperçoit au niveau de la ligne médiane. En fin de match, une déviation de la tête en retrait d'Aduriz à l'entrée de la surface sera reprise victorieusement par son compère, cette fois resté en retrait. Un vrai duo gagnant.

 

 

 

 

 

Les déclas

Non, parce que l’entraîneur a un engagement moral : préparer l’équipe le mieux possible. C’est au dirigeant et non à l’entraîneur d’analyser les conduites éthiques et les messages à donner vis-à-vis de la société. L’obligation de l’entraîneur est de rendre une équipe compétitive et qu’elle reflète son style de gestion. Il ne viendrait à l’idée de personne de demander à un guitariste drogué ou alcoolique d’abandonner?sa guitare pour se soigner. Au football c’est la même chose. Quand il arrive?un problème extra-sportif à un joueur, la dernière chose à faire serait de lui enlever le football, sa profession. Au lieu de lui enlever un problème, on lui en ajouterait un autre.
Jorge Valdano, dans une interview à Onze Mondial.

 

“Les statistiques sont un soutien scientifique à l’ignorance. Aujourd’hui, on sait combien de kilomètres a parcouru n’importe quel joueur. Mais à aucun moment on est capable de dire ?si ces efforts ont été de longue ou de courte durée, rapides, lents, précis, imprécis, s’il l’a fait pour donner le ballon à l’adversaire ou pour marquer… La première fois que j’ai été confronté aux statistiques, c’était au Real. J’étais encore joueur? et quand parfois je ne jouais pas ?un match, je voyais le préparateur physique prendre des centaines de notes pendant les matchs. Il n’y avait pas encore l’ordinateur à l’époque, il faisait tout à la main. Il disait: 'Ce joueur a couru vingt mètres à vitesse moyenne, ensuite a marché je-ne-sais-combien de mètres etc.' Toutes ces mesures étaient approximatives bien sûr, mais les données retranscrites étaient presque aussi précises que maintenant. Alors un jour, je lui ai demandé ce qu’il était en train de faire et à quoi ça pouvait bien servir. Et lui, tout en notant, me répond: 'Je ne sais pas encore. Mais le jour où je saurai à quoi ça sert, je te préviendrai'.
Jorge Valdano, toujours.

 

“À Ajaccio, il nous a dit: 'Les gars, on balance tout devant'. On n'a pas compris ce que ça voulait dire. Il souhaitait en fait de longs ballons devant. Mais physiquement, on ne peut pas tenir ce genre de consignes sur tout un match. Il y a une fatigue physique qui s'est accumulée ces dernières semaines.
Un joueur bordelais, selon RMC.

 

 

 

 

 

La vidéo de la semaine

Jürgen Klopp passait un test en championnat face à Chelsea et José Mourinho. Chaque semaine un peu plus, on s'attend à voir Liverpool s'approprier ses concepts et se faire plus insistant au pressing. Et samedi, ça s'est plutôt bien passé, avec une victoire 3-1. Démonstration.

 

 

 

 

 

La revue de presse (presque) anglophone

 

Comme chaque année, le Guardian établit la liste des cinquante ados à suivre dans les prochaines années.

 

Qui est Gianluigi Donnarumma, le gardien de seize ans devenu titulaire à Milan?

 

Bienvenue à Leeds, dans un monde parallèle où le président Massimo Cellino fait n’importe quoi.

 

Alvaro Arbeloa, l’un des soutiens de Mourinho du temps où il était au Real, défend les qualités de son ancien coach.

 

Les stades italiens empêchent les recettes de grimper et sont donc un frein au développement des clubs.

 

Andre Schubert est en train de faire de son interim à la tête de Mönchengladbach une énorme réussite.

 

Mais pourquoi l'OGC Nice joue et marche si bien? Décryptage du jeu des Aiglons par Thomas Pezé, alias Analysport

 

 

 

 

Réactions

  • osvaldo piazzolla le 03/11/2015 à 04h19
    Bayal Sall a beau multiplier les key passes de 60m pour des générations d'attaquants stéphanois, de Gomis à Hamouma en passant par Rivière, Sako, FSP, Bergessio, Aubameyang, RVW, etc, il est toujours perçu par des tas de gens qui le voient 90 min par semaine (voire plus) depuis une demi douzaine d'années comme incapable d'une relance correcte.

    Jeu: amuse toi à trouver le point commun avec la situation de Mamadou Sakho à base d'un raisonnement morphopsychologique à peine raciste.

  • Sens de la dérision le 03/11/2015 à 08h33
    À 16 ans, il y a un bon tiers, voire une moitié, de ces futurs cracks qui jouent à l'étranger. Par contre pourquoi Luca Fernandez et pas Luca Zidane, je croyais que c'était Enzo qui avait choisi le nom de sa maman ?

  • magnus le 03/11/2015 à 09h39
    Il était temps qu'Aduriz ait droit à sa déclaration d'amour sur les CDF.

  • et alors le 03/11/2015 à 09h42
    Les stats d'Akhisar Belediyespor sont exceptionnelles, ça donne envie de trouver un de leurs matchs. Je suis un peu surpris qu'ils aient aussi 48% de possession en moyenne, ils doivent donc faire un peu tourner en défense avant de balancer. Mais d'après WhoScored toujours, Landry N'Guemo joue numéro 10, ce qui est significatif des intentions offensives. Comme joueur un peu connu, il y a aussi Rodallega devant.

    Sinon, rien d'étonnant à ce que Cellino fasse n'importe quoi à Leeds, il était pareil à Cagliari. Manque plus que Zamparini reprenne un club de Championship, il irait bien dans ce cirque.

  • Zorro et Zlatan fouillent aux fiches le 03/11/2015 à 09h57
    Ahah très bon effectivement l'Akhisar Belediyespor ! Le président serait pas le neveu d'Erdogan par hasard ?

  • leo le 03/11/2015 à 10h10
    Sens de la dérision
    aujourd'hui à 08h33

    À 16 ans, il y a un bon tiers, voire une moitié, de ces futurs cracks qui jouent à l'étranger. Par contre pourquoi Luca Fernandez et pas Luca Zidane, je croyais que c'était Enzo qui avait choisi le nom de sa maman ?
    ---

    Les quatre fils de Zidane ont pris le nom de leur mère, pour passer un peu plus inaperçus et moins se faire emmerder sur les terrains.

  • Sens de la dérision le 03/11/2015 à 11h02
    T'es sûr de tes sources ? Sur Wikipedia, il est écrit que c'est Enzo Fernandez et Luca Zidane comme je l'ai mentionné. Sur le site de l'UEFA Youth League, le gardien titulaire est Luca Zidane. Idem pour la Coupe du Monde U17. Effectivement dans les "squads" du Real, ils sont présentés comme Enzo et Luca Fernandez mais dans les compos (sur le même site) le milieu est Enzo Zidane.

    Bref tout ceci est très passionant (smiley).

  • le Bleu le 03/11/2015 à 11h08
    Marrant, pour la France dans cette génération j'aurais pas choisi Boutobba ou Luca Zidane qui pour l'instant sont bien tièdes en sélection... Alors que Cognat ou Edouard m'impressionnent.

    Dans 4 ans (voire même 2) j'aurai sans doute tort.

  • Clarence Cyborg le 03/11/2015 à 14h12
    Saint Mamad, priez pour nous.

  • Cebrik Jécluse le 04/11/2015 à 12h57
    Akhisar Belediyespor, c'est une bonne blague. Mais je ne comprends pas que vous relayiez ces informations: imaginez qu'un entraineur de ligue 1 tombe sur cet article par hasard...

La revue des Cahiers du football