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France-Finlande : les gars

Avec Ribéry en détonateur, les Bleus ont pris la mesure de leurs adversaires sans beaucoup briller individuellement, mais avec suffisamment de liant pour élargir le score.

le 16 Oct 2013

 


Lloris a plus vu le ballon que contre l'Australie, mais pas toujours de très près en raison de l'imprécision des frappes finlandaises. Son intervention pour dévier au pied la tentative de Hämäläinen est décisive (19e). Un ballon aérien (34e) et un tir axial (54e) à capter, et une air-sortie à son débit (61e).
 


Debuchy, le vote au centre

Deux fois de suite Abidal sort très haut au devant des attaquants, deux fois impuissant il permet au contre des Blancs de s'achever devant le but français (19e et 20e). Plus prudent ensuite, mais pas beaucoup moins emprunté. Heureusement pour lui, Jean-Michel Larqué n'est plus au commentaire. Koscielny a dû éteindre quelques départs de feu: un retour autoritaire (27e), une tête salvatrice sur la sortie hasardeuse de Lloris (61e).
 

 




Évra s'est efforcé de jouer haut, et son soutien à Ribéry a été consistant. Même si ces centres ont manqué de spontanéité et qu'il a semblé avoir du mal à retrouver son souffle en seconde période, il trouve bien Cabaye en retrait (83e). Comme d'habitude, il prend quelques vents défensifs, mais intervient à bon escient en reprenant Eremenko (20e) et en écartant le danger d'une tête plongeante (31e).
 

Debuchy a délivré beaucoup de centres, avec un taux de réussite globale assez faible, mais sa série du dernier quart d'heure a été récompensée puisque Giroud convertit l'un d'eux (76e), juste avant que Rémy manque de lui offrir un doublé de passes décisives. (77e). Il place une tête au-dessus (12e), une jolie volée que Mäenpää détourne (49e) et un tir hors cadre (79e). Son placement défensif a parfois été hésitant et ses engagements inconsidérés, mais le bilan est plutôt positif.
 


Nasri, le doute persiste

D'abord impériale dans la récupération, la paire Matuidi-Pogba a semblé perdre ses repères et peiner à enrayer la construction des offensives nordiques. La contribution du Parisien a paru brouillonne, alors que son compère a plus rayonné par son jeu à deux lames (impact physique et sorties de balles subtiles). Mais ni l'un ni l'autre n'a vraiment assuré de liaison réellement satisfaisante avec les attaquants, en dépit de quelques percées individuelles.
 

Malgré son volontarisme et sa disponibilité habituelles, Valbuena n'a pas eu l'influence espérée, peinant à se circonscrire une zone d'action dans l'axe. Il a compensé par ses permutations, et c'est lui qui récupère le ballon servi à Ribéry pour l'ouverture du score. Sa meilleure occasion est... une tête piquée sur un centre de... Giroud (17e).
 

On est tenté d'imputer à Nasri le manque de rythme et de justesse dans les combinaisons offensives, d'autant qu'il a cherché à évoluer sur toute la largeur plutôt qu'à tenir son flanc. Le choix des trois milieux offensifs de Deschamps a privé son équipe de vitesse et de percussion, ce que le manque d'inspiration du Mancunien dans ses transmissions n'a pas permis de compenser. Son centre dévié dans le temps additionnel de la première période a failli faire mouche, mais il fallait un tel malentendu pour qu'il trouve le cadre ou la place pour une passe décisive.
 


Ribéry, encore

Artisan solitaire d'un but magistral dès la 8e minute, Ribéry a été à l'ouvrage pour mener les attaques sur l'aile gauche. Il est cependant sorti de son match progressivement, avec quelques légèretés et un peu trop d'esbroufe, avant de finir en trombe – ne serait-ce que pour servir Benzema sur un plateau.
 

On a retrouvé Giroud, longtemps mal servi, dans un rôle ingrat dont il se sort toujours, a minima, par sa capacité d'abattage. Récompensé par un quasi-but, il a parfois dû... sortir de sa zone pour exister.
 

Rémy a effectué une entrée sérieuse, ponctuée par une tête en déséquilibre qui finit sur le poteau (77e), en tâchant d'accélérer le jeu et de profiter des espaces laissés par la fatigue des Finlandais. Cabaye a eu envie de se montrer, il y est parvenu dans une certaine mesure, ratant de son mauvais pied l'occasion d'inscrire son deuxième but en deux matches (83e). Y parvenant, Benzema a optimisé sa dizaine de minutes de jeu en se défaisant bien du marquage pour reprendre, en toute simplicité, l'offrande de Ribéry.


HELSINKI C'EST LES PLUS FORTS ?

 

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