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L’abécédaire de l’équipe de France

Hommage lexical et passage en revue historique de la plus glorieuse et la plus désespérante de toutes les équipes hexagonales lettre par lettre, d'Adams à Zidane en passant par Foote, Jurietti et Platini.

Auteur : Christophe Zemmour le 26 Mars 2015

 

 

A comme Adams

Avant Papin, il existe un Jean-Pierre célèbre sous le maillot bleu, malheureusement pour de graves raisons. Celui qui forma la fameuse garde noire avec Marius Trésor dans les années 70 est dans le coma depuis le 17 mars 1982, suite à une erreur d’anesthésie survenue lors d’une opération bénigne au genou. Sa femme reste au chevet de ce défenseur aux 251 matches en D1 qui échappa à l’Assistance publique grâce à des parents adoptifs et, aussi, au football.
 

 

 

 

B comme bus

Les joueurs y restèrent coincés à Knysna, en grève de l’entraînement, dans le but de contester l’exclusion de Nicolas Anelka après la retranscription approximative dans L’Équipe de ses propos envers Raymond Domenech, lors de la mi-temps de France-Mexique du 17 juin 2010. Véritable cyclone médiatique, cette affaire reste l’une des plus controversées, mystérieuses et surtout nauséabondes à cause de la récupération politique qui a suivi.
 

 

 

 

C comme carré magique

Comme le nom du célèbre milieu des années 80 composé de quatre techniciens: Bernard Genghini, Alain Giresse, Jean Tigana et Michel Platini. Ce dernier témoignait d’ailleurs de moments où il devait “jouer numéro 6” dans cette configuration. Ce carré a fait les plus belles heures de l’équipe de France de Michel Hidalgo et d’Henri Michel, servant l’esprit ultra-offensif voulu par le premier. Luis Fernandez remplacera Genghini en 1984 dans cet entrejeu champion d’Europe et deux fois demi-finaliste de la Coupe du monde.




 

 

D comme délivrance

L’équipe de France a très souvent joué avec les nerfs de ses supporters. Elle aime user de situations désespérées, serrées et tendues jusqu’à la délivrance. Dans les qualifications pour les compétitions internationales, on pense au but de Trezeguet en 1999 face à l’Islande, aux contributions de Henry face à l’Irlande en 2005 et 2009 ou au coup franc de Platini face aux Pays-Bas en 1981. En phase finale, les délivrances les plus grandes furent probablement le but en or de Blanc face au Paraguay en 1998, le tir au but vainqueur de Fernandez contre le Brésil en 1986 ou encore la demi-volée de Trézéguet, encore lui, en finale de l’Euro 2000 face à l’Italie, après l’égalisation de Wiltord dans les arrêts de jeu.
 

 

 

 

E comme éliminations

Si l’équipe de France a tutoyé les sommets quelquefois, en étant par exemple la première à réussir le doublé Mondial-Euro en 1998 et 2000 et à glaner tous les titres de sélection, elle a aussi connu quelques revers mémorables. Du gênant doublé Israël-Bulgarie en 1993 au match nul à Chypre qui la prive du Mondiale 1990, en passant par les trois derniers Euros où elle ne fut pas foncièrement brillante, et sans parler de 2002 ou 2010, la France traîne quelques jolies casseroles. L’une des plus belles étant certainement d’avoir été le seul champion du monde en titre à ne pas marquer un seul but lors de la Coupe du monde suivante, en 2002.
 

 

 

 

F comme Foote

Thierry Roland l’a rendu célèbre en le traitant de salaud, il s’agit de M. Foote. Cet arbitre du Bulgarie-France du 9 octobre 1976 comptant pour les qualifications du Mundial 1978 est resté dans la mémoire collective pour avoir copieusement excédé le commentateur sportif. L’Écossais avait refusé un but valable à Platini, validé celui inscrit dans une position de hors-jeu sur la contre-attaque bulgare et sifflé un penalty dit “généreux” dans les derniers instants de la partie. Celui-ci fut raté par Hristo Bonev parce que heureusement, “il y a une justice”.




 

 

G comme Guadalajara

Seize ans après avoir abrité les exploits de Pelé et les siens, la ville mexicaine accueille le 21 juin 1986 le quart de finale du Mundial France-Brésil. Un match entré dans la légende du football, avec le but et le pénalty raté de Platini, les exploits de Bats, les rushes de Rocheteau et de Tigana, le jeu en mouvement des Brésiliens, les malheurs de Socrates et de Zico, l’invention du ricochet poteau-gardien par Bruno Bellone, et enfin, le tir au but vainqueur de Luis Fernandez.
 

 

 

 

H comme hymne

Récupérée, sifflée, boudée, chantée, La Marseillaise est un rituel inévitable et pourtant altéré par des récupérations ci et là. Jean-Marie Le Pen n’a pas hésité à montrer du doigt les joueurs qui restaient silencieux durant l’hymne, l’érigant en symbole du nationalisme. Il reste LE chant patriotique et celui de l’équipe de France.
 

 

 

 

I comme Italie

Plus encore que l’Angleterre et l’Allemagne peut-être, la sélection du pays botté est l’ennemi intime des Bleus. Le destin de ces deux équipes semble lié, pour le meilleur et pour le pire. Même couleur de maillot, mêmes casseroles, presque mêmes gloires. Elles ont souvent croisé le fer en Coupe du monde, mais les blessures les plus profondes infligées aux Transalpins datent de 2000 et de la finale de l’Euro, avec l’égalisation à la dernière seconde de Sylvain Wiltord et le but en or de David Trezeguet. Taquins, les Azurri se sont rattrapés en 2006 avec le fameux match de Berlin.




 

 

J comme Jurietti

L’un des Bleus préférés en ces pages, puisqu’il n’aura joué qu’une poignée de secondes lors du France-Chypre du 12 octobre 2005 significatif de qualification pour le Mondial allemand. Il est également un spécialiste des tatanes et des tacles bien appuyés, faisant de lui un bourrin tout de même chouchouté.
 

 

 

 

K comme Kopa

On peut perdre un doigt en travaillant dans les mines et garder une habileté extraordinaire balle au pied. L’autre Raymond du football français est le premier joueur de légende du pays. Il fut l’un des symboles du Stade de Reims et de la sélection des années 50 et 60. Premier Ballon d’Or français à la fin d’une année 1958 exceptionnelle, il n’a étonnamment marqué que peu de buts sous le maillot bleu (dix-huit au total), son style tout en dribbles sautillants ouvrant plutôt le chemin à d’innombrables passes décisives pour ses coéquipiers. Il est égalment le premier footballeur à avoir été décoré de la Légion d’honneur.
 

 

 

 

L comme lucarnes

L’équipe de France a connu quelques arachnophobes dans sa longue histoire, notamment Platini qui n’hésitait pas à les déloger de leurs lucarnes sur coup franc ou sur frappe lointaine. Rats en a mis une belle à Bats lors du Mundial mexicain de 1986, tandis que Zidane n’a laissé aucune chance à Vitor Baia pour inscrire un penalty parfait et synonyme de but en or en demi-finale de l’Euro 2000.




 

 

M comme Mar del Plata

Pour son dernier match du Mundial 1978, l’équipe de France affronte la Hongrie à Mar del Plata, pour du beurre car les deux formations sont déjà éliminées. Cette rencontre est entrée dans l’histoire à cause d’un quiproquo qui fait encore sourire aujourd’hui. Les deux équipes se sont en effet présentées sur le terrain avec un maillot blanc. Or, la France était censée jouer en bleu, mais n’avait pas apporté sa tunique domicile. Elle dut donc emprunter à un club local, le CA Kimberley, son maillot vert et blanc pour que la rencontre ait lieu. Pour l’anecdote, les Bleus en sortirent victorieux sur le score de 3-1, grâce à des buts de Lopez, Berdoll et Rocheteau.
 

 

 

 

N comme novembre

L’avant-dernier mois de l’année est synonyme de souvenirs intenses pour cette équipe qui a tendance à disputer des campagnes éliminatoires serrées. Le 16 en 1985, Platini inscrit un doublé face à la Yougoslavie qui permet aux siens de se qualifier pour le mondial mexicain. Le 17 en 1993, Emil Kostadinov crucifie à la dernière seconde une équipe déjà en partance pour les USA. Le 18 novembre 1981, un coup franc de Michel Platini ouvre la voie d’un succès face aux Pays-Bas, les Bleus n’ont alors plus qu’à battre Chypre en décembre pour aller en Espagne. Vingt-huit ans plus tard, jour pour jour, c’est la fameuse histoire de la main de Thierry Henry qui vient marquer le match retour du barrage face à l’Irlande.
 

 

 

 

O comme oubliés

Comme la France compte autant de sélectionneurs que d’habitants, il y a forcément des joueurs non retenus qui font débat dans l’opinion. Dans ce rayon des oubliés les plus célèbres figurent probablement Éric Cantona et David Ginola, que Jacquet n’avait pas retenus pour l’Euro 96 en Angleterre, pays où les deux joueurs brillaient. Plus récemment, Raymond Domenech a été décrié pour ne pas avoir retenu Robert Pires et Ludovic Giuly en 2006, David Trezeguet en 2008 ainsi que Samir Nasri et Karim Benzema en 2010.
 

 

 

 

P comme Platini

Lors de sa première sélection face à la Tchécoslovaquie le 27 mars 1976, Michel Platini demande à Henri Michel de lui décaler le ballon sur un coup franc indirect dans la surface. C’est le premier but d’une série de quarante-et-une réalisations (record qui tint vingt ans, battu par Thierry Henry en 2007). Cultivé dans son jardin par son papa Aldo, Platini signe un exploit historique sous le maillot bleu, avec neuf réalisations lors de l’Euro 84. Maître ès coups francs, capable d’ouvertures limpides, buteur décisif des éliminatoires, notamment face à la Bulgarie en 1977, aux Pays-Bas en 1981 et à la Yougoslavie en 1985, “Michele” est l’un des plus beaux fleurons du maillot bleu. Et dire que le FC Metz l’avait jugé inapte au football, suite à un examen respiratoire au cours duquel Platini s’était évanoui…




 

 

Q comme quolibets

Les Bleus en ont été trop souvent l’objet. Les spectateurs hôtes ne sont pas les derniers pour siffler les joueurs appartenant à des clubs rivaux. Reynald Pedros en a été la cible au Parc en 1996, Nicolas Anelka et Christophe Dugarry au Vélodrome en 2000, parmi tant d’autres. Même La Marseillaise l’est souvent (lire plus haut). Le Stade de France passe pour être l’enceinte la plus râleuse. Les journaux n’ont pas non plus épargné la sélection et les sélectionneurs, L’Équipe tout particulièrement.
 

 

 

 

R comme rapide

Lors de ses premiers matches aux mondiaux 1978 et 1982, l’équipe de France marqua et encaissa respectivement un but dès la première minute de jeu. Celui de Bernard Lacombe face à l’Italie, en Argentine, restera d’ailleurs le plus rapide de l’histoire de la Coupe du monde jusqu’à la réalisation d'Hakan Sükür face à la Corée du Sud. Dans le genre rapide, Thierry Henry s’est distingué à l’Euro 2000, avec sa course de cinquante mètres face au Danemark et son but contre à la République tchèque inscrit à la 7e minute.
 

 

 

 

S comme sélectionneurs

Aussi décrié ou adulé que peut l’être un Président de la République, le sélectionneur de l’équipe de France est tour à tour une cible et/ou une icône. Aimé Jacquet, champion du monde en 1998, en sait quelque chose. Et il y en a pour tous les goûts. Pour les nostalgiques des années 50 et 80, il y a les pères Albert Batteux et Michel Hidalgo. Pour les narcoleptiques, il y a Roger Lemerre et Jacques Santini. Le record de matches dirigés est détenu par Raymond Domenech (79).
 

 

 

 

T comme transversales

Comme on en a parlé dans le top 10 sur les poteaux du football français, les Bleus aiment toucher du bois, la transversale en particulier. En demi-finale du Mundial 1982 face à la RFA, Manuel Amoros trouve la barre à la dernière minute du temps réglementaire. Quatre ans plus tard, elle sauve Bats sur la tête de Careca. Et en finale en 2006, elle est tantôt clémente, en faisant entrer la panenka de Zidane et en repoussant la tentative de Luca Toni, tantôt cruelle sur le tir au but de Trezeguet, le seul raté de la série.




 

 

U comme unique

Ce qui fait sans doute le charme de l’équipe de France, c’est sa capacité unique à écrire une histoire faite d’autant de bons que de mauvais souvenirs, et avec des intensités symétriques. Les émotions des épopées de 1958, 1982, 1984, 1986, 1998, 2000 et 2006 disputent à celles engendrées par les fiascos de 1966, 1989, 1993, 2002, 2008 et 2010.
 

 

 

 

V comme Villefranche-sur-Mer

La première Coupe du monde a eu lieu en 1930 en Uruguay. Sous l’impulsion de Jules Rimet, quatre équipes européennes (Belgique, France, Yougoslavie, Roumanie) la disputent, malgré certaines réticences liées au coût et à la longueur d’un voyage en bateau vers l’Amérique du Sud. Belges, Français et Roumains embarquent le 21 juin 1930 à Villefranche-sur-Mer sur le Conte Verde. Le 13 juillet, Lucien Laurent sera le premier buteur de l’histoire de la Coupe du monde, avec sa réalisation face au Mexique.
 

 

 

 

W comme Wembley

C’est peu dire que la France a connu bien des tourments face aux Anglais et tout particulièrement dans la fabuleuse enceinte londonienne. Que ce soit en amical ou lors du premier tour de la World Cup 1966, avec une défaite (0-2) face au pays organisateur et futur vainqueur, qui l’élimine ainsi de la compétition. Il a fallu attendre la génération Zidane pour s’y imposer enfin, le 10 février 1999, à la faveur d’une seconde période exceptionnelle ponctuée par un doublé de Nicolas Anelka.




 

 

X comme Xuereb

Rendons hommage à ce champion olympique 1984 qui sauve la mise des abécédaires, avec une contribution arithmétique déjà plus importante qu’au total des buts de l’équipe de France A, pour le compte de laquelle il marqua une fois en huit sélections.
 

 

 

 

Y comme Youri

Le fils de Jean Djorkaeff a marqué pas moins de vingt-huit buts en équipe de France, et non des moindres. Sauveur de la nation en général, et de Jacquet en particulier avec son but sur coup franc face à la Pologne lors des éliminatoires de l’Euro 1996, il a également été le bourreau de l’Espagne en 2000 en provoquant le coup franc de Zidane, en marquant le second but et en “vaudouisant” le pauvre Raul. Les exemples sont nombreux. Cet excellent joueur, qu’on a (trop) souvent qualifié de soliste et d’égoïste, se paya le luxe d’être le meilleur passeur de l’équipe championne du monde en 1998.
 

 

 

 

Z comme Zidane

Un doublé dès son entrée en jeu face à la République tchèque pour commencer, un coup de tête pour finir. La carrière bleue de Zinédine Zidane est faite d’instants tragiques, mémorables, glorieux, sombres. Ce joueur a su marquer ses Coupes du monde par sa capacité à transcender son équipe et à être décisif, tout autant que par sa propension à s’énerver et à commettre des gestes irréparables. Longtemps élevé au rang d’idole pour ses exploits sous le maillot bleu, il est redevenu un homme l’instant d’un soir de finale de Mondial en 2006.

 

Réactions

  • Richard N le 26/03/2015 à 08h42
    Bel exercice, d'autant plus difficile que l'option prise sur chaque lettre ou presque est sujette à débat.

    Une petite précision sur la lettre R. Si de but de Lacombe en 1978 fut bien considéré en son temps comme le plus rapide de l'histoire de la Coupe du Monde, il s'agissait d'une petite erreur historique : Un Tchécoslovaque dont j'ai oublié le nom avait inscrit un but après 15 secondes en 1962. Le but du Lyonnais était par contre bien le plus rapide de l'histoire de l'équipe de France, jusqu'à Sauzée contre l'Albanie en 1991.

  • Jus de Nino le 26/03/2015 à 08h54
    Il manque le G comme Govou qui, si Domenech avait moins frileux, nous aurait offert la coupe du monde 2006 sur un plateau (avec un whisky coke en supplément parce que Govou c'est la classe).

  • Ba Zenga le 26/03/2015 à 09h41
    Merci Richard pour la précision, j'ai appris un truc. En effet, difficile de faire un choix pour chaque lettre. Jérôme m'avait conseillé de ne pas y inclure trop de joueurs, ce qui a permis de parler de plus de choses au final.

  • Jean-Luc Skywalker le 26/03/2015 à 09h41
    Surpris de voir Youri en si belle position malgré son statut décrié sur ces pages. Faut croire que ce n'est pas facile de trouver quelque chose qui commence par Y.

  • Marius T le 26/03/2015 à 10h34
    Mon Michel reste en très bonne place, ça me suffit !

  • Ba Zenga le 26/03/2015 à 10h35
    Il y a de ça Jean-Luc, comme pour Xuereb. Mais c'est surtout que j'ai un amour particulier pour ce joueur.

  • Josip R.O.G. le 26/03/2015 à 11h41
    A propos de Monsieur Xu, si quelqu'un pouvait m'expliquer le sens de la phrase de commentaire parce que personnellement j'ai rien compris.

  • Jean-Luc Skywalker le 26/03/2015 à 11h43
    Ca te fait un point commun avec Jean-Patrick Sacdefiel ( lien) ... et Joseph Alfonsi ( lien)

  • Daijinho le 26/03/2015 à 11h44
    Nos campagnes internationales sont donc soit une épopée soit un fiasco. Et 2012 fut un fiasco, mais pour quelles raisons au juste ? On peut convenir sans peine que notre Euro a été très peu bandant, mais on s'est fait sortir par le futur vainqueur et tenant du titre. Rien d'infâmant comme les Mondiaux 2002 et 2010.
    Il est trop difficile d'imaginer une campagne européenne/mondiale autrement que par des qualitatifs aussi extrêmes ?

  • djay-Guevara le 26/03/2015 à 11h45
    Merci d'avoir retabli la verite, le carre magique c'est Genghini, Platini, Giresse, Tigana. Mettre Inzaghi la dedans, c'est comme mettre une bourrique au milieu des purs sangs.

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