En vous connectant, vous certifiez n'avoir jamais trompé votre club favori. Attention à ne pas confondre vos minuscules et vos majuscules.
Vous avez oublié votre mot de passe ?
Inscription
Vous avez oublié votre mot de passe ? Il reste un espoir ! Saisissez votre adresse e-mail ; nous vous enverrons un nouveau mot de passe. Cette procédure est quasiment gratuite : elle ne vous coûtera qu'un clic humiliant.
Nous vous avons envoyé un email sur votre adresse, merci d'y jeter un oeil !

CONDITIONS D'INSCRIPTION :

1. Vous devez nous adresser, via le formulaire ci-dessous, un texte (format .txt inférieur à 100 ko) en rapport avec le football, dont la forme est libre : explication de votre passion, anecdote, aventure, souvenir, essai, commentaire composé, portrait, autobiographie, apologie, réquisitoire, etc. Vous serez ensuite informés de la validation de votre inscription par mail. Les meilleurs textes seront mis en ligne sur le Forum.

2. Nous ne disposons pas d'assez de temps pour justifier les retards d'inscription ou les non-inscriptions, et ne pouvons pas nous engager à suivre une éventuelle correspondance à ce sujet. Merci de votre compréhension.

Nous avons bien reçu votre candidature, on y jette un oeil dès que possible. Merci !

Partager :

L'abécédaire du Sporting Toulon Var

D’improbables bêtes noires, un ennemi légendaire, une erreur judiciaire, des super-héros: le Sporting Toulon Var n’a pas la reconnaissance qu’il mérite.

Auteur : Troglodyt le 26 Juin 2009

 

A comme Agali, Victor
L’un des nombreux joueurs à être passés de l’OM au STV. Il eut le mérite de se révéler un footballeur correct et fit fureur avec son coéquipier Patrick Revelles à la pointe de l’attaque de l’équipe, en D2 (97/98). Ingrat, il ne suivit pas le club en DH, et préféra s’enfuir en Allemagne, avant de la déserter.
Ne retrouva jamais son niveau de Football Manager 98/99.


B comme Borelli, Luc
Lui aussi explosa au grand jour au bénéfice de son aventure au STV (1986-1993). Son passage au PSG ensuite n’est qu’un accident de parcours, ce que démontra sa réussite postérieure, à Caen. Un autre accident de parcours conduisit son nom à être attribué à l’une des tribunes du stade de Bon Rencontre. Le SM Caen fit de même à Michel d’Ornano. Borelli ayant quitté le STV lorsque le club a pour la dernière fois abandonné la D1, c’est sans doute en sa mémoire que le club s’efforce, depuis, de ne pas y retourner.


toulon_borelli.jpg
Les stages Luc Borelli, allez-y en train.

C comme Courbis, Rolland
Il y finit sa carrière de joueur (1982-1985) et y débuta sa carrière d’entraîneur (1986-1990). 25 ans après y avoir joué, il retournera à l’OM pour l'entraîner et montra aux yeux ébahis de l’Europe ce qu’il avait appris à Toulon. Peu lui importait de subir des petits-ponts, lui-même se vantait de ne laisser passer que le ballon, jamais le joueur. Bernard Casoni ayant pris sa suite au poste d’entraîneur de l’OM, il le fera également dans cet abécédaire.
(Voir Émon, Albert)

 
D comme Diawara, Kaba
Toulonnais de naissance, ses débuts prometteurs au STV (93/94) firent croire à la France entière qu’il était joueur de football. S'ensuivit un passage réglementaire à l’OM. Resté une saison – sa première – à Toulon, il y a mis 20% des buts de sa carrière. Il est actuellement dans sa quinzième saison de football professionnel, au Alki Larnaca (deuxième division chypriote). Un plan de carrière qui nous ferait presque sourire s’il n’y avait pas aujourd’hui des rumeurs de retour en France.


toulon_equipe.jpgE comme Émon, Albert
Bébert (-l’Étang) a été joueur à l’OM, puis joueur au STV (1983-1986), avant d’être entraîneur au STV (1997), puis entraîneur à l’OM. Un parcours à la Rolland Courbis. En mieux, puis en moins bien.


F comme Ferreri, Jean-Marc
Vainqueur de la Ligue des Champions en 1993 avec l’OM, il vint ensuite à Toulon (1994-1996) apporter son expérience et permettre au club de monter de National en D2 en 1996. Cumulant le double défaut, pour un joueur du STV, d’avoir joué auparavant à la fois à l’OM et au FC Martigues, il purge aujourd’hui la peine que lui a valu cette infamie: formé à OMTV, il est devenu commentateur de matchs de football pour la télévision. S’il était arrivé au STV quelques années plus tôt, il aurait pu constituer, avec Laurent Paganelli (1983-1988), un duo qui fait frissonner rien que d’y penser.


G comme Gambardella (Coupe)
Le STV aurait pu la gagner en 1966, mais les Crocodiles ont bouffé la Rascasse en finale.


H comme Huck, Jean-Noël
Ah non, pardon, c’est seulement son fils, William, qui est passé par le STV, en 2007-2008. Il avait cette saison trouvé refuge au Poiré-sur-Vie Vendée Football, en CFA 2 (groupe G). Toujours transférable.


I comme Institut Varois de Formation aux Métiers du Football
École de football crée par le président tout juste démissionnaire du STV, Alain Bencivengo, lors de son plan de redressement du club, en 1999. Il forme des joueurs de football, de futurs professionnels des métiers connexes et même, paraît-il, des contributeurs aux Cahiers du football.


toulon_logo.jpgJ comme Justice
Illustre partenaire du STV : l’histoire du club a été taillée par son glaive.


K comme Kombouaré, Antoine
Représentant de la longue liste des joueurs ayant plutôt bien commencé au STV (1990) avant de préférer le faire mieux ailleurs. À l’instar de Pascal Olmeta, il a eu la décence de ne jamais rejoindre la sélection nationale. Pour cela, David Ginola, Stéphane Porato, Sébastien Squillaci et Bafétimbi Gomis les admirent. Jean Tigana confirme la règle.


L comme Luciano, Jean
Joueur international français passé du Real Madrid à l’AS Aix-en-Provence en trois ans, la logique voulait qu’il finisse ensuite par entraîner le STV (1967-1970 et 1972/73). Il y dirigera Christian Dalger, André Guy (père spirituel de Thierry Henry), et Boubacar Saar (ou l’inverse) .


M comme Marseille, Olympique de

Partenaire financier du STV, il est aussi son principal fournisseur et débaucheur de joueurs. Ces derniers doivent néanmoins savoir qu’ils ne pourront réussir que dans l’un des deux clubs. L’OM est surtout l’ennemi juré du STV, les deux clubs ayant offert à la France ses plus bouillants derbys.
Voir Vissés (crampons).
Les supporteurs marseillais sont prévenus: s’ils devaient revenir jouer à Toulon, un arsenal les attendrait, formant une armée étendue de Chicago à la Rade.


N comme Nadine
A longtemps tenu la buvette.


O comme Onnis, Delio
Meilleur buteur de l’histoire du championnat de France de football, l’Argentin finit meilleur buteur de D1 dès la première de ses trois saisons au STV (1983-1986). Il entraînera le club, avec moins de réussite, pendant une saison (1990/91). Honni sur le Rocher à la suite d’un conflit avec le président Campora, il est depuis retourné au club avec lequel il a tout gagné en France (ben non, pas le STV!).


P comme Pardo, Bernard

Crut passer inaperçu au STV (1986-1989 et 1993/94) en passant par Bordeaux pour aller à Marseille (l’Olympique), puis en n’en revenant pas directement au bénéfice d’une halte au PSG. Crut passer inaperçu en empruntant la balance du partenaire du club (voir Justice) pour trafiquer de la cocaïne. Le propriétaire de la balance s’en rendit compte et lui imposa un nouveau transfert depuis le STV vers Marseille (Les Baumettes).


toulon_pelouse.jpg
La ligne TGV par Toulon ? Bernard Pardo a déjà tiré les premiers rails.

Q comme "Qui s’y frotte s’y pique"

Devise du Sporting Club de Toulon depuis sa fondation (1944, par fusion du Sporting Club du Temple et de la Jeunesse Sportive Toulonnaise), elle est restée celle du STV (1999). Elle fait référence à son emblème, la Rascasse, qui aime nager dans les eaux troubles des classements des championnats de France amateurs et régionaux.

 
toulon_rascasse.jpg
La Rascasse se fond sans problème dans les eaux troubles du classement.

R comme Rodriguez, Leonardo
L’international argentin avait trouvé la clé de l’Europe en quittant San Lorenzo pour l’OM en 1991. Il ne connaît pas encore sa chance: sans même avoir porté le maillot olympien, il est immédiatement prêté au STV, dont il sera le meilleur buteur pour la saison 1991/92, insufflant (presque) au club la classe et l’expérience internationale acquise en sélection aux côtés des Redondo, Simeone, Caniggia et Batistuta.


S comme Stades

Club itinérant, de par son passage aléatoire d’une division à l’autre sans passer par les intermédiaires, le STV, bien que n’étant pas breton, l’est aussi par son expérience des déménagements. D’abord, en 1945, il est hébergé par la Marine Nationale, qui lui prête son stade Jauréguiberry, à l’intérieur de l’arsenal militaire.
En 1955 est construit le stade de Bon Rencontre. Si les spectateurs verront peu de bonnes rencontres, c’est moins en raison de cette pirouette grammaticale que du fait que la construction des gradins n’a pas laissé de budget pour l’installation d’une pelouse: le STV s’entraînera et jouera deux saisons (1955-1957) sur le terrain de l’ancienne décharge publique sur laquelle a été construit le stade.
Une brève saison (1959/60) au stade Jauréguiberry permettra au stade Bon Rencontre d’être agrandi pour faire honneur à l’accession en Division Nationale (D1). Mais le STV redescendit immédiatement.
En 1965/66, le STV découvre le stade Mayol pour une unique saison, avant de s’y installer à partir de la saison 1983/84, et d’y connaître la fantastique saison 1987/88 (5ème de D1, record du club).
Le STV va ensuite alterner les saisons (et même les matchs) au stade Bon Rencontre et au stade Mayol. Après y avoir chanté, c’est à Mayol que le club plonge en 1993, puis à nouveau en 1998 (foutus homonymes!). Depuis 2001, le STV n’a plus quitté le stade Bon Rencontre, un pied sur la bretelle d’autoroute, un pied dans la cité.

 
toulon_bonrencontre.jpg
Entre la bretelle d’autoroute et la cité, les espoirs de bonne rencontre sont rares.

T comme Théorie subjective de la valeur
STV (Subjective theory of value) en anglais, cette conception soutient que "pour avoir de la valeur, un objet doit être à la fois utile et rare". Les victoires du Sporting ont très grande valeur.


U comme Ultras "Irréductibles Toulon 1993"
Beaucoup de bruit pour rien diront les mauvaises langues, mais les sympathiques ultras toulonnais sont aujourd’hui reconnus pour leur fair play. Marseille et Nice, si proches mais déjà si loin…

Dans le stade et dans la ville
On entendra les chansons
De tous les Irréductibles
Du Sporting de Toulon
 
toulon_irreductibles.jpg
En même temps, vous ne pouvez pas être beaucoup moins.


V comme Vissés (crampons)
Légendaire est la séance d’intimidation à la sortie des vestiaires, lors de la cérémonie des crampons précédant l’entrée sur la pelouse toulonnaise.


 toulon_crampons.jpg
Crampons modèle « Marcel Dib 84-85 »


W comme Witschge, Richard
(Voir Zidane, Zinedine)


X comme Xuereb, Daniel
Oui, il y a des joueurs qui ont joué au STV (1992/93) après avoir réussi en équipe de France de football (médaillé d’or olympique en 1984, avec un but en finale). Mais il y a un X: il entraîne aujourd’hui l’AS Aix-en-Provence.


Y comme Yo-yo
Sport messin dont le STV détient le record d’amplitude.
Il s’agirait aujourd’hui d’apprendre à le rembobiner.


Z comme Zidane, Zinedine
Si un complot international tout fait pour que le club ne retrouve pas les sommets, c’est parce que le meilleur joueur du monde de tous les temps a répandu sur toute la planète sa crainte du STV. Il a raconté ce soir de février 1996 au cours duquel lui et ses petits copains se font rejoindre deux fois au score (Arthur Moses répond à Richard Witschge, puis Michael Rebecq répond à Didier Tholot), avant de se faire éliminer des seizièmes de finale de la Coupe de France par un but de Jean-Noël Cabezas durant les prolongations.


toulon_zidane.jpg
Ça y’est Liza, on a réussi, on a eu notre revanche, on a enfin battu les Azur et Or !

Retrouvez aussi
L'Abécédaire de la Berrichonne de Châteauroux
L'Abécédaire du RC Strasbourg
L'Abécédaire du Toulouse FC

Réactions

  • Mèfi le 26/06/2009 à 03h11
    Monsieur Troglo, à la fois merci et honte à vous. Merci pour cet exercice difficile (passer du temps à rendre hommage au Sporting, faut avoir du courage).
    Et honte à vous de ne pas faire figurer Michel Pineda, Miguel comme il aimait à se faire appeler: l'homme qui a à son actif le plus grand nombre de buts improbables du dos, de la joue, du mollet, allant jusqu'à marquer de l'arrière du crâne après avoir été fauché dans la surface, et réclamer (quand même) un pénalty.
    Honte à vous de n'avoir pas mentionné Jean-Louis Bérenguier qui (si mes souvenirs sont exacts) parvient à se faire un claquage à la cuisse directement sur son entrée en jeu, et demande aussitôt à ressortir.

    Enfin, et surtout, merci de m'avoir rappelé les bons souvenirs de la crinière argentine de Léo Rodriguez, et des vacarmes assourdissants de Mayol accompagnant tous ses buts !

    Bel exercice de style pour ce Sporting Club du Gros N'importe Quoi de Toulon et du Var

  • mr.suaudeau le 26/06/2009 à 05h18
    Un abécédaire du même tonneau que les précédents du site, du haut niveau.

    Ah purée, Patrick Revelles quoi. Revelles-Agali, ce duo a accompagné ma première saison de fan hardcore de la D2.

    Et hop, un autre Marseillais passé à Toulon: Cyril Revillet. Revelles, Revillet, et Revelli dans tout ça? Y'aurait pas un des deux frères ou un homonyme qui aurait posé ses crampons dans le Var?

  • Marius T le 26/06/2009 à 08h17
    Les Varois en force !!!

    C'est le stade de l'USAM à l'arsenal.

    Saison 85/86 ou 86/07, je fais le match d'ouverture de SCT Rennes,
    et là sur la touche les pros s'échauffent et je vois Didier Christophe le bûcheron aux pieds plats, ses bras sont gros comme mes jambes, je prends peur et sort de mon match ;-)

  • Marius T le 26/06/2009 à 08h23
    lien
    vendredi 26 juin 2009 - 05h18

    Oui Hervé a posé ses valises dans le Var à Draguignan entraineur joueur 83/84, on rate la monté en D4 d'un point.

    Il avait la spécialité de faire des allers retours avec Sainté les veilles de gros matchs pour s'approvisionner en ....

  • gimlifilsdegloin le 26/06/2009 à 08h25
    F comme Ferreri, Jean-Marc
    Vainqueur de la Ligue des Champions en 1993 avec l’OM, il vint ensuite à Toulon (1994-1996) apporter son expérience et permettre au club de monter de National en D2 en 1996.
    -----------
    Ferreri jouait à l'OM en 94-96. Il a dû rejoindre Toulon lors du retour du club en D1.

  • mr.suaudeau le 26/06/2009 à 08h36
    Marius T
    vendredi 26 juin 2009 - 08h23

    "Il avait la spécialité de faire des allers retours avec Sainté les veilles de gros matchs pour s'approvisionner en ...."

    Ah oui, la fameuse tisane au chocolat de Sainté, on la trouve pas facilement en PACA ;)

  • Troglodyt le 26/06/2009 à 09h00
    Mèfi
    vendredi 26 juin 2009 - 03h11

    Oui, je sais, difficile fut le choix parfois!
    Sont également oubliés le Néerlandais Peter Bosz, qui fait une demi finale d'Euro 1992 un an après avoir quitté Toulon.
    Christian Daleger et André Guy auraient mérité de plus longs développements.
    La fibre des gardiens du Cameroun: Jacques Songo'o et Joseph-Antoine Bell.
    Et Patrick Vervoort, qui vint quelques années après être allé en demi-finale du Mondial mexicain avec Gerets.
    Et les historiques ZZ: Zemzemi et Zingaro.


    Marius T
    vendredi 26 juin 2009 - 08h17
    Les Varois en force !!!

    C'est le stade de l'USAM à l'arsenal.
    - - - - - - -
    J'ai fait mon école de foot à l'USAM, puis longtemps après un début de saison avec les vétérans. J'ai arrêté: nous jouions avec une grande boucherie toulonnaise pour sponsor maillot qui n'avait rien trouvé de mieux que de nous mettre une tête de cochon (rose) sur le plastron du maillot (blanc rayé marine, forcément, pour le club de la Marine Nationale)!


    gimlifilsdegloin
    vendredi 26 juin 2009 - 08h25

    Exact, honte à moi: Ferreri n'est arrivé qu'en 1996-1997 (D2), où il finit d'ailleurs meilleur buteur du club. Il s'en va à l'inter-saison, se perd un peu, puis revient au STV finir la saison 1997-1998 où le club finit 20ème, et est de toute façon relégué en DH.


    Et mes excuses pour la faute d'orthographe à "Borrelli" dans le texte et sous la vignette (que je ne fais pas dans le titre): je suis induit en erreur par la faute sur la carte-photo!


    Bon, c'est bon, on peut créer un fil de la Rascasse?

  • tholotforever le 26/06/2009 à 09h02
    Bravo Troglo, tu as réussi à m'intéresser un tant soit peu au Foot Toulonnais. Et je vois que toi et moi ne sommes pas les seuls varois (enfin d'adoption pour moi) à errer sur les forums des CDF...

    Sinon, pour le match de février 1996 où les Girondins se sont fait sortir par Toulon, ça nous a permis d'apprendre comment un petit pouvait battre un gros et ça nous a servi un mois plus tard, le 19 mars 1996, contre Milan AC... Pour ça, merci à Toulon.

  • Troglodyt le 26/06/2009 à 09h14
    Toujours un plaisir de taper (sur) les Bordelais!
    Je ne désespère pas, lors d'un retour à Toulon, de te traîner jusqu'à Bon Rencontre!

    Sinon, quelques précisions de bas de page, pour certaines références obscures:
    - L. la référence "ou l'inverse" sur Boubacar Saar: À la suite d’une erreur des journalistes lors de son arrivée en France depuis le Sénégal, inversant son prénom « Saar » et son patronyme « Boubacar », la confusion perdura toujours à Toulon. L’OM puis le PSG sauront lui rendre son état civil.
    - M. la référence à "Chicago": Quartier commerçant de Toulon, spécialisé dans la prestation de services. Surtout la nuit.
    - T. "Subjective theory of value": cf. John Moser, « The Origins of the Austrian School of Economics », Humane Studies Review, printemps 1997, vol. 11, n°1.

    Merci, Dame Rédac, de m'avoir fait l'honneur.

    En bonus: le Duo qui tue - lien

  • FPZ le 26/06/2009 à 09h22
    Vous voyez, sur la photo de BR, le terrain vague derrière les buts (bas d'image), du côté de l'autoroute : eh bien c'est le "parcage" visiteurs.
    Idéal pour se prendre des trucs sur la tronche depuis la tribunes des Irréductibles !
    Par contre, pour voir le match...

    Autre chose : plus récemment, c'est plus vers l'ouest que l'OM s'est tournée pour refourguer ses rebuts ou ses jeunes.
    Moses aussi, cantareil et même Dahou à Nîmes.
    Cette saison, les Bocaly et Deruda chez les pailladins.

La revue des Cahiers du football