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L1 :: la gazette :: journée 10

Auteur : Le Feuilleton de la Ligue 1 le 28 Oct 2008

 


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Les résultats de la journée

Lorient-Nantes : 3-0
Le Havre-Valenciennes : 2-1
Lille-Caen : 2-2
Nice-Bordeaux : 2-2
Rennes-Le Mans : 2-2
Nancy-Sochaux : 1-1
Toulouse-Monaco : 0-0
Auxerre-Lyon : 0-0
Saint-Étienne-Grenoble : 0-2
Marseille-Paris SG : 2-4



Les 5 gestes de la journée
 
• Le ciseau retourné de Pieroni, qui plante les crampons de Revault à l'opposé du ballon, et lui rappelle qu'il a failli être le coéquipier d'un certain Amara Simba.
• La parabole millimétrée du ballon de Wiltord, que Pagis réceptionne amoureusement sur son fier poitrail avant de le botter dans les filets comme s'il s'agissait du cul de Guy Lacombe.
• L'enchaînement interception, dribble et frappe lobée de trente mètres de Keita, qui laisse à Riou le temps de se ronger les gants, les ongles et la première phalange avant de s'écraser sur la transversale.
• L'amour fait par Abriel à Graavdard sur le troisième but nantais, avant l'offrande à Gameiro. Si fort que les draps s'en souviennent.
• Le slalom géant de Briand à droite de la surface mancelle, un coup dans le zig, un coup dans le zag, qui met son défenseur sur les fesses avant d'offrir offrir un caviar à Bocanegra qui s'empresse de le transformer en tartine aux œufs de lump.


Les 5 antigestes de la journée

• La reprise queutée de Danic, qui n'arrive pas à lever la jambe assez haut pour rabattre le ballon devant le but grand ouvert. Sûrement l'arthrite.
• La relance estampillée "Classement à l'envers" de Graavgard qui, au lieu de dégager loin devant, envoie le ballon près derrière... dans les tibias d'un coéquipier dont la passe décisive pour Morel ne sera pas comptabilisée par la Ligue.
• Le croisement génétique entre l'Arconada 84 et la Zubizarreta 98 de Penneteau, qui s'allonge pour laisser le ballon lui filer entre les coudes et donner à l'impression à Lesage qu'il sait frapper de loin.
• La feinte "à la Pelé" de Cédric Kanté, qui laisse filer le ballon plutôt que de le dégager, mais qui oublie qu'en position défensive, c'est le genre de geste qui ouvre un boulevard à l'attaquant. Heureusement, ce n'était qu'Obertan.
• La sortie kamikaze du gardien lyonnais dans les genoux d'Oliech parti seul au but, et qui signe son retour à vitesse grand V qui veut dire Vercoutre.


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"Cyril Rool s'élança dans un vacarme assourdissant, dans-un-vacarme-assourdissant, et découpa par derrière son impétueux adversaire. Im-pé-tu-eux ad-ver-saire".


La bannette

Le mec qui ferait mieux d'arrêter de parler s'il ne veut pas ruiner sa légende
Zinédine Zidane (Canal+) : "Hoarau, je pense qu'il va marquer des buts. Je sais pas pourquoi mais je pense qu'il va marquer des buts. C'est un peu comme Pauleta […] sauf qu'il a dix ans de moins".

La théorie du complot
Jean-Alain Boumsong (L'Equipe) : "On a concédé pas mal d'occasions.  Mais pas seulement à cause des défenseurs, car j'observe qu'on a souvent couru en direction de notre but.  Ce qui laisse deviner que des choses s'étaient passées avant".

La devise républicaine à la nantaise
Alonzo (L'Equipe) : "Cette défaite montre que relâchement, facilité et manque de rigueur, c'est interdit".

L'équipe échangée ou remboursée
Franck Dumas (L'Equipe) : "En première mi-temps, j'ai eu l'impression que les joueurs avaient la trouille.  Après, j'ai cru en avoir dix nouveaux".

Les objectifs qui manquent un peu de clarté
Antoine Kombouaré (lfp.fr) : "Je crois que ce soir, on n'a pas eu assez faim de victoire. Quand on n'est pas capable de gagner, il faut s'arranger pour ne pas perdre".

L'entraîneur qui regarde un peu trop sa montre
Guy Lacombe (lfp.fr) : "Je suis un peu surpris sur les deux buts".

L'interventionnisme d'état
Geraldo Wendel (L'Equipe) : "Ce but va me libérer". Devant les caméras, pense à préciser que Nicolas Sarkozy a joué un rôle.

Le sacre des 24 printemps
Paul Le Guen (L'Équipe) : "[Hoarau] prend de l'ampleur". Vive l'ampleur!

L'amer catho
Paul Le Guen (L'Équipe) : "Nous devons communier avec le public".

L'Equipe TV
Jérôme Alonzo (L'Equipe) : "Le deuxième but, c'est Vidéo gag". Le premier c'était Perdu de vue, et le troisième Combien ça coûte?



La minute pathologique de L’Équipe

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Le bal des sapeurs

On ne sait pas bien si c'est Sun-Tzu ou Roger Federer qui l'a dit, mais pour détruire durablement un adversaire, il faut savoir varier les attaques. Après les assauts frontaux de la saison passée, il est temps de passer au travail de sape.
Dans L'Équipe de ce dimanche, on dénombre 19 occurrences du mot "arbitre" et ses dérivés dans les articles consacrés à la L1 (pp. 2 à 8). Pour des raisons allant des plus fumeuses aux plus hasardeuses. L'arbitre de Nice Bordeaux en prend bien sûr plein la figure. Le quotidien tance également celui d'Auxerre-Lyon pour n'avoir pas sanctionné la sortie de Vercoutre, ainsi que celui de Rennes pour n'avoir pas accordé de penalty à Mangane qui s'était écroulé dans la surface mancelle. Le penalty accordé au Mans est d'ailleurs considéré comme "très généreux", le journal stigmatisant "Le festival de M. Kalt".

Critique à Lannoy
L'acharnement se confirme lorsque l'arbitre de Toulouse-Monaco est jugé "Trop strict: les sifflets intempestifs de M. Ledentu après la pause qui coupèrent le rythme d'une rencontre qui en manquait déjà cruellement". Comme si les sifflets lors d'un match impliquant Monaco pouvaient être intempestifs. L'arbitre de Lille-Caen aurait, quant à lui, oublié un penalty, celui de Lorient-Nantes était "tatillon" et aurait "haché le jeu et réprimandé Christian Gourcuff alors que les dés étaient jetés". C'est bien connu, à partir de 3-0, les règles ne s'appliquent plus. Un tel acharnement est d'autant moins compréhensible que Bruno Lannoy a été présélectionné pour la Coupe du monde 2010. L'absence d'arbitre au haut niveau n'était-elle pas la preuve ultime de l'incompétence de nos hommes en jaune?
Au total, le seul match de la soirée à avoir bénéficié d'un arbitrage correct aurait été Le Havre-Valenciennes. À moins que ce soit parce que L'Équipe n'y a consacré qu'un quart de page.



Des cliques et déclas

Après plusieurs saisons passées à s'arracher les cheveux devant Jour de foot, il faut admettre que malgré l'inaptitude presque amusante de Christophe Josse à la présentation en plateau, l'émission du samedi soir est devenue tout à fait regardable. Progrès principal: l'augmentation de la proportion du programme consacrée au football, en comparaison avec les interminables interviews d'après-match. Finies les questions insignifiantes dans des vestiaires désertés, les longs tunnels de langue de bois filmés en zone mixte. On dirait qu'après des années à avoir subi la pudeur des acteurs du foot, les journalistes s'étaient gavés de déclarations, croyant ainsi combler un manque en réalité artificiel.
Il aura fallu une bonne dizaine d'années avant qu'ils se rendent compte que l'immense majorité des joueurs, entraîneurs et présidents n'avaient rien d'intéressant à répondre à des questions aussi banales. Une seule conclusion s'impose: ouf!


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Soit un terrain roumain patatoïdal
Soit un attaquant X posté aux 6 mètres 50.
Soit un corner tiré de manière anodine par un milieu Y.
Soit un défenseur Jean-Alain B. au marquage de l'attaquant X.
Calculez la probabilité que Lyon dépasse les quarts de finale en Ligue des champions.




Bordeaux contre Bordeaux

La perception d'un début de saison tient décidemment à peu de choses. Prenez Bordeaux, qui fait une entame de championnat absolument identique à la saison dernière, qui l'avait amené à la seconde place et tout proche du titre. Inaperçu, à peine digne d'être mentionné une fois qu'on a parlé du grand début de saison du Mans.

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Pourtant, comme en témoigne le temps de passage de 2006, les Girondins n'ont jamais terminé plus loin que la seconde place lors qu'ils avaient 18 points ou plus au bout de la dixième journée. Le début de saison en boulet de canon de l'OL, suivi quelques journées par Marseille a éclipsé les performances plus qu'honorables du club, dont on sait pouvoir compter sur la régularité. Gageons d'ailleurs que si Gourcuff avait ressemblé à Coutadeur, on aurait encore moins parlé des prouesses girondines.

Il faut d'ailleurs noter l'exceptionnelle constance des Bordelais sur une période aussi longue. Toutes les équipes dirigées successivement par Elie Baup, Michel Pavon, Eric Bedouet, Ricardo et Laurent Blanc se tiennent en huit points (13 pour Lyon sur la même période): Bordeaux est aussi régulier qu'effacé dans la performance.



Le supplice du Leroy

Après avoir donné une orientation moins SM au supplice en s’occupant du cas Gourcuff (lire la Gazette 9), nous avons pris tous les risques en marquant à la culotte l’un des plus tumultueux élèves de L1, devenu maître dans l’art de fabriquer du jeu: Jérôme Leroy. Avec un tel phénomène, tout peut se produire. Vraiment tout. Mais comme il devait sentir notre calepin au-dessus de son épaule, il s’est contenté de jouer au football. Très bien comme souvent. Orientation du jeu, distance de transmission et destinataire, ou perte de la possession du ballon, tout est scrupuleusement consigné.

• ballons disputés : 42
• passes vers l’avant : 27 (dont 20 réussies)
• terrain gagné : 153 mètres
• passes latérales : 11 (dont 7 réussies)
• passes en retrait : 4 (dont 4 réussies)
• terrain perdu : 37 mètres
• synthèse terrain gagné / terrain perdu : +116 mètres
• zidaneries balle au pied : 6
• platinisteries yeux au loin : 4
• zidaneries tête dans le front d’un copain : 0
• transferts signés en cours de rencontre : 0
• distance avec Luis Fernandez : 348 km
• femmes de rédacteurs des Cahiers menaçant de faire leurs valises pour Rennes dans la soirée: 0

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"Mamadou, quand Bourillon va pour couper un centre, fous-toi au deuxième poteau et attends tranquillement que la balle arrive. C'est du 100% garanti. Tu me remercieras quand j'entrerai en jeu pour le remplacer".



Rennes-Le Mans contre les a priori

Entre deux crises onanistes devant les compilations de crochets de Messi, les théoriciens du déclin infini du championnat de France pourraient avoir l’honnêteté d’enchaîner les Getafe-Valladolid, Cagliari-Chievo ou autres Blackburn-Middlesbrough qui hantent les pelouses censément plus vertes de l’étranger. Il faut vraiment s’infliger sans relâche les prestations insipides des Monégasques depuis le début de la saison pour continuer à dénigrer la L1. Lors des rencontres entre équipes au faible indice de glamour, la qualité de jeu n’apparaît pas en retrait de celle observée en Europe – hors top teams européennes. Des Lyonnais pas au niveau (sauf Benzema), en passant par les "nuls" de Marseille ou Paris, il n’est pas une semaine sans que des Caennais ou des Bordelais enchantent les tribunes. Avec un peu de curiosité bien placée, on n’est jamais à l’abri d’assister à un Rennes-Le Mans.

Des graines de champions dans du bon vieux terreau
Des buts, du suspense, des enchaînements et des gestes à foison. Le tout dans une opposition de style entre la fluidité rennaise et les percussions ultra-réalistes des Manceaux. Que demande le peuple? Les carences de Ronaldo et Fabregas ne doivent pas oculter l’enthousiasme provoqué par les nombreuses et perpétuelles révélations de la L1. L’enchaînement poitrine, tête, tête, extérieur du gauche en profondeur réussi par Maïga (1) sera t-il réellement plus prodigieux quand il le répètera sous le maillot de Séville? Les ouvertures de Stromstad ne seront pas plus lumineuses quand il les mettra dans le dos des défenses anglaises, mais on peut prendre les paris: on fustigera alors les clubs hexagonaux qui ont laissé partir ces talents, plutôt que d’encourager l’épanouissement de leurs successeurs.
Quant aux vieilles gâchettes sensées flétrir progressivement dans un championnat aride en qualité, qu’on essaye avant tout de profiter de leurs illuminations: Leroy, Pagis ou Wiltord (non, pas Bruno Cheyrou: il n’est pas vieux, Bruno Cheyrou) sont des gars bien de chez nous. Qu’on se le dise: There’s only one Mathieu Coutadeur!

(1) Il est probable que ce geste, non retenu par Jour de Foot pour le résumé de Rennes-Le Mans, aurait fait l’objet des multiralentis esthétisants dans L’Équipe du dimanche si Maïga portait un maillot plus exotique que celui du Mans.


La stat futile de la journée

La répartition des buts de la dixième journée de Ligue 1 s'est retrouvée proprement lissée sur le samedi et le dimanche: 18 buts pour les 7 matches du samedi et 10 buts pour les 3 matches du dimanche. Scrutons ensemble l'impact du jour de la semaine sur les matchs de Ligue 1.

• Depuis 1984, et donc depuis l'arrivée progressive de la notion de match décalé par Canal, la Ligue 1 a organisé 8850 matche s ainsi répartis:
> lundi : 0,3%
> mardi : 4,7%
> mercredi : 10%
> jeudi : 1,4%
> vendredi : 14%
> samedi : 59.7%
> dimanche : 9.9%

• Même si le jeudi et le lundi obtiennent de meilleures moyennes de buts par match, les écarts sont minimes et ne présument pas d'une efficacité améliorée des attaquants lorsqu'ils jouent ces jours-là.
• Par contre, si vous recevez, mieux vaut jouer un lundi ou un mercredi (respectivement 52% et 51% de victoires à domicile) qu'un jeudi (47% de victoires à domicile).
• À l’inverse, mieux vaut se déplacer un jeudi (24% de victoires à l'extérieur) qu'un vendredi (19% de victoires à l'extérieur). Quand on vous dit de ne pas repousser au lendemain ce que vous pouvez faire le jour même.
• Si vous tenez la buvette de votre club, préparez davantage de hot-dogs le dimanche (20.830 spectateurs en moyenne par match) que le mardi ou vendredi (respectivement 13.998 et 13.750 spectateurs par match).
• Strasbourg a perdu ses 4 matches de Ligue 1 du lundi. En Ligue 2 cette saison, ils se sont rattrapés grâce à 2 nuls et 2 victoires.
• Sedan est l'équipe la plus efficace du mardi avec 75% de victoires pour 4 matches joués.
• Le Mans a remporté son seul match joué un jeudi. Derrière, Metz et le PSG suivent avec 56% de victoires ce jour-là.

La prochaine fois, nous regarderons si l'OL réussit mieux ses demi-finales de Ligue des champions lorsqu'ils les jouent le mercredi ou le jeudi.

>> Texte motorisé par Poteau rentrant, site de stats inédites et décalées sur la Ligue 1




Les observations en vrac

• Un grand bravo à Patrick Bruel pour son assurance tandis qu’il annonçait la victoire de l’OM lors de l’avant-match, et au consultant vedette de Larqué foot, un certain Jean-Michel, qui répondait un rien condescendant à un de ses auditeurs que Grenoble ne poserait pas le moindre problème à l’ASSE.
• Nouvelle corde à l'arc des footballeurs: Diego Placente crée le plongeon sans conviction, pour obtenir un penalty aussi généreux que soeur Emmanuelle.
• Nouvelle corde à l'arc des commentateurs: Grégoire Margotton invente "le relâchement dans le bon sens du terme", lors d'une interview de Sammy Traoré. C'est vrai qu'avec lui, il valait mieux préciser.
Monaco, c'est pas vraiment la France, et c'est pas vraiment du football non plus.



Les questions de la journée

• Le but magique inscrit en match officiel ce week-end par Wilson Oruma aurait-il désaligné les planètes pour qu’on ait une journée de L1 aussi rocambolesque?
• 56 buts en deux journées, quelqu'un va-t-il faire remarquer que la L1 est spectaculaire ou va-t-on attendre la prochaine journée à 16 buts pour dire qu'on ne marque pas assez en France?
Eugène Saccomano qui se scandalise de l'amendement à la loin Evin qui autorise la pub pour l'alcool dans les stades, ce serait pas un peu le munster qui dit "tu pues" au camembert?
• Quand Vincent Machenaud affirme que Steve Savidan n'est pas à Bordeaux ou Marseille parce "qu'on réussit à Caen, on réussi à Valenciennes, mais c'est pas le même niveau", il insinue que Caen et Valenciennes ne jouent pas contre les mêmes équipes que Bordeaux et Marseille?
• Pourquoi diable Olivier Rouyer et Grégoire Margotton n’ont-ils pas continué après la dixième minute de jeu à dire que la fébrilité d’Hoarau était due à son inexpérience dans les OM-PSG?
• Bon, mettez-vous d’accord: il est relancé ce championnat alors, ou il n’est pas relancé?



Les petites annonces

• Championnat national d'Aïkido Shodokan sollicite médecins et guérisseurs en tout genre pour accélérer le retour du gardien titulaire lyonnais, cause baisse drastique du niveau général suite à la sollicitation de Rémi Vercoutre sous d'autres cieux.

• Directeur sportif de club méditerranéen déstocke tous traitements aidant à la descente testiculaire pour prescription grosse thérapie de groupe.

Réactions

  • sansai le 28/10/2008 à 02h52
    Oh ça suffit avec Savidan hein. Même nous on en voulait pas. Notre président voulait un attaquant d'un autre calibre.
    Alors on a pris Klasnic.
    C'est un autre standing Klasnic. Peut aller se rhabiller le petit éboueur là.

    *pleure en silence*

  • Qui me crame ce troll? le 28/10/2008 à 07h43
    Je trouve qu'on parle beaucoup trop de Bordeaux dans cette gazette. Monaco en prend pour son grade j'ai l'impression.

  • frenchwill le 28/10/2008 à 08h54
    sur rennes/ le mans, le reprcihe fait à Mr Kalt est plutot d'avoir accordé un pénalty au Mans pour une main de Mangane en dehors de la surface... peut être aussi pour un arbitrage pas à la hauteur du reste de la rencontre.

  • Et Micoud, c'est du poulet ? le 28/10/2008 à 09h09
    L'Equipe en fait trop contre les arbitres, mais c'est un peu too much de vouloir à tout prix rééquilibrer la balance arbitrale des médias via la seule gazette.

    Ainsi, le paradoxe de la gazette est c'est fois ci de remettre en cause les "prétendues" erreur d'arbitrage de M. Chapron lorsqu'elles sont pourtant avérée (de façon trés objectives), et de pousser le sens de la contradiction encore plus loin en laissant planer le doute sur le penaltie accordé sur Placente, ce qui semble pourtant être la décision la moins contestée.

    La Gazette ne se comporterait-elle pas comme un petit garçon qui dit tout le temps l'inverse de papa, juste pour l'emmerder ?

    Pointer du doigt la lourdeur de l'Equipe contre le corps arbitral c'est bien.
    N'en perdez pour autant pas toute objectivité.

  • MarcoVanPasteque le 28/10/2008 à 09h24
    Cool, pas un seul mot sur le FCSM, vous savez ce que ça veut dire les copains ? Ça veut dire qu'on va avoir un article en une rien que pour nous. 20 ans que j'attends ça, je vais p'têt verser une larme pour le coup.

  • San-Antonio le 28/10/2008 à 09h31
    Très bonne Gazette (puisqu'on y parle de Bordeaux) mais la défense des arbitres en toutes circonstances me pose un léger problème.
    Est-ce une volonté délibérée des Cdf de tout faire à l'inverse de L'Equipe ? Je serais tenté de répondre que oui.
    Quand un joueur rate son match, on le dit. Quand Monaco tente d'assassiner le football français, on le dit. Quand un arbitre prend de mauvaises décisions, L'Equipe dit que les arbitres sont nuls et les Cdf critiquent L'Equipe qui critique les arbitres.
    Tony Chapron et Corinne Lagrange ont commis des erreurs lors de Nice-Bordeaux, on le dit, on essaie de faire avancer le débat sur l'arbitrage (5 arbitres ? vidéo ?) et on passe à autre chose.
    Mais on passe certainement pas les problèmes d'arbitrage (pas seulement du fait des arbitres, évidemment) que la L1 rencontre.

    Dernière chose : bravo pour la mise au point sur le niveau de notre championnat !

  • manuFoU le 28/10/2008 à 09h32
    "La Gazette ne se comporterait-elle pas comme un petit garçon qui dit tout le temps l'inverse de papa, juste pour l'emmerder ?"


    tiens, c'est joliment dit, et ça reflète parfaitement mon sentiment à la lecture de plusieurs passages de cette gazette.

    sinon, loin de moi l'idée que savidan n'aurait pas réussi à l'OM (quand je pense au clown qu'on a recruté à sa place), mais il est difficile de nier que flamber dans un club comme VA ou Caen ne suffit pas à garantir le même succès dans un club disons plus médiatique (je vois d'ici les réactions si j'avais écris "plus grand"...). les exemples sont légion, n'est-ce pas benoît ?

  • San-Antonio le 28/10/2008 à 09h33
    "Mais on passe certainement pas *sous silence* les problèmes d'arbitrage..."


    MVP et Kim Chelstreum => bouh les pleureuses !

  • Gone n' Rosette le 28/10/2008 à 09h57
    Communiqué OLWEB :

    La holding Ol groupe, par l'intermédiaire de son grand guide spirituel Jean Michel "Bien fait pour vous les marseillais, fallait pas l'acheter Hatem" Aulas, s'étonne de la cabale antilyonnaise qui trouve un terreau adéquate à son épanouissement au coeur même de la gazette, en retirant allègrement 1 point pourtant durement arraché aux Auxerrois.
    Encore une fois Jean Michel "Hahahaha Ben Arfa " Aulas regrette de ne pouvoir écrire lui même les gazettes, qui reflèteraient mieux la domination du club préféré de Jean Pierre Gaillard.

  • Diablesse Rouge le 28/10/2008 à 10h15
    Qu'un journal, quel qu'il soit, relève les erreurs d'arbitrage avérées soit. Mais des trucs comme "l'arbitre a trop sifflé et a donc nui au rythme du match" ou "l'arbitre a adressé une remontrance à l'entraîneur, alors que c'était 3-0 et que les dés étaient jetés", vous trouvez ça normal vous? Si l'arbitre siffle c'est ptete qu'il y a des fautes à sanctionner, à moins qu'il ne soit particulièrement fan du "je souffle dans le sifflet et y a du bruit qui en sort"? Si l'arbitre gronde un entraîneur, c'est ptete parce que le dit-entraîneur dit ou fait quelque chose de répréhensible et qu'on s'en fout un peu que le score soit de 0-0 ou de 10-0 en faveur de cette équipe?

La revue des Cahiers du football