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La Gazette de la L1 : 3e journée

Auteur : Alex Lagazette le 22 Août 2017

 

  

Les résultats de la journée


FC Metz 0 - 1 AS Monaco
Olympique Lyonnais 3 - 3 Girondins de Bordeaux
Montpellier Hérault SC 1 - 1 RC Strasbourg Alsace
OGC Nice 2 - 0 EA Guingamp
Stade Rennais FC 2 - 2 Dijon FCO
AS Saint-Étienne 3 - 0 Amiens SC
ESTAC Troyes 0 - 1 FC Nantes
LOSC 0 - 2 SM Caen
Olympique de Marseille 1 - 1 Angers SCO
Paris Saint-Germain 6 - 2 Toulouse FC

 

 

 

Les gestes

Le coup d'œil pour voir l'appel de Falcao puis la superbe passe décisive en cloche du pied gauche, par Rachid Ghezzal, sous les yeux de Sidney Govou, commentateur (sobre?).

 

La pichenette en talonnade de Giovanni Sio qui oblige Bingourou Kamara à un sauvetage près de son poteau et ainsi préserver le nul pour Strasbourg.

 

Firmin Mubele qui lève la tête et ne trouvant personne à qui adresser son centre, décide de le poser directement dans le but.

 

Les Nantais réduits à dix et qui décident quand même, plutôt que de préserver le 0-0, de faire le jeu en deuxième mi-temps et d'aller chercher la victoire à Troyes. Ça fait plaisir de vous revoir par chez nous, Mister Ranieri.

 

La belle reprise de volée d'Emiliano Sala, aux seize mètres, qui offre une victoire méritée aux nantais.

 

La "Dennis Bergkamp" de Clinton Njie.

 

Le double-contact conclu en talonnade de Morgan Sanson pour lancer Lucas Ocampos, qui ne rend pas hommage à l'offrande.

 

La sortie supersonique et fort à propos d'Hervé Koffi, après un antigeste de Thiago Maia qui perd le ballon dans le rond central alors qu'il n'a aucun joueur de champ derrière lui.

 

La longue transversale sereine et élégante de Kader Mangane pour son attaquant Ihsan Sacko, à l'origine de l'ouverture du score.

 

La reprise de volée à l'horizontale de Layvin Kurzawa à la réception d'un corner de Neymar, tiré droit comme une balle de fusil.

 

Le râteau derrière la jambe d'appui de Romain Hamouma qui s'ouvre la place pour frapper au but.

 

La main décisive de Thiago Silva sur la bouche de Marco Verratti lors de l'expulsion de ce dernier, pour éviter une plus longue suspension (et réalisant ainsi le fantasme de certains arbitres...).

 

L'enrhumage collectif de la défense toulousaine par Neymar grâce à une conduite de balle soyeuse – et à un peu de chance.

 

 

 

Les straps Pierre Menès, pour éviter que les bras vous en tombent.

 

 


Les antigestes

La défense toulousaine qui se fait enrhumer par Neymar à cause d’un dégagement complètement manqué – et d’un peu de malchance.

 

Dani Alves qui oublie Max-Alain Gradel, lequel en profite pour rappeler à tout le monde ses redoutables qualités de finisseur (quinze buts sur ses quinze derniers matches du championnat de France. Re-bienvenu en Ligue 1).

Le défenseur lillois pas collé à son poteau sur le but de Caen sur corner.

 

Alexandre Mendy qui essaie tout au marquage sur Kenny Tete, sauf de regarder le ballon.

 

La non-reprise de Giovanni Sio, tout seul au deuxième poteau sur un coup franc.

 

La course d'accompagnement de Doria sur le but angevin, digne d'un chien pour aveugle.

 

L’hommage de Rudi Garcia à Louis Nicollin (ou à un entraîneur de district) lorsque celui-ci pénètre sur le terrain afin de se rendre sur le lieu du carton rouge de Lucas Ocampos.

 

Le contrat immoral entre Rennes et Dijon qui interdisait aux Côte-d'Oriens d'aligner Wesley Saïd.

 

L'hommage de Michel Der Zakarian à Calimero qui réalise la passe de deux jérémiades de suite sur l’arbitrage.

 



 

 

Le match qu'il ne fallait pas rater

Un but exceptionnel qui permet à l’équipe à domicile de se diriger vers une victoire tranquille, un carton rouge qui remet tout en cause, des jolies pralines dans les lucarnes, il y avait un match à ne pas manquer ce week-end! On ne parle pas de PSG-TFC, qui aurait aussi pu correspondre. Petit florilège pour faire parler l’imaginaire avant un résumé vidéo:

 
La démonstration balistique de Nabil Fekir dont la trajectoire du missile ne laisse aucune chance à un Benoit Costil trop avancé.

 

 

Les cinq minutes d'indiscipline lyonnaise qui leur coûtent peut-être le match, avec deux cartons jaunes pour Sergi Darder puis un pour Bertrand Traore qui provoque le coup-franc transformé par Malcom. Parmi celles-ci, on remarquera le premier lyonnais cité et ses deux minutes de nawak.

 
Les coups francs directs de Malcom et de Bertrand Traoré, ainsi que le coup franc indirect de Memphis pour trois buts qui montrent l'importance d'avoir un bon tireur dans son équipe. Malcom qui invente d’ailleurs le "coup franc Arkanoid" avec un premier tir qui détruit le mur, un second sur une brique indestructible (Mariano) pour que le ricochet fasse mouche. Le même Malcom qui égalise à la dernière seconde d'une superbe frappe sous la barre.

 

 

 

 
 

 

 

Les minutes

La minute “bon résumé de la soirée de dimanche”, par Hervé Mathoux:
"Vous vouliez voir Neymar, vous avez vu Neymar." (Canal Plus)

 

La minute Christian Jeanpierre, par Stéphane Guy:
"Les Toulousains arrivent sur le terrain hyper déterminés, ils ne sont même pas venus reconnaître le terrain (...) on peut compter sur ce diable de meneur d'homme qu'est Pascal Dupraz pour remonter ses hommes comme des pendules!" (Canal Plus)

 

La minute Babel, de Paganelli à Neymar:
"Troféo por la cheminée." (Canal Plus)

 

 

 

 

Les observations en vrac

On a pu voir une bonne transmission entre Renaud Quad et Nolan Roue.

 

Nabil Fékir, avec un but marqué à 54 mètres des cages adverses, du mauvais pied, devient le deuxième buteur le plus lointain, derrière Saber Khlifa (64 mètres) et devant Memphis Depay (51 mètres).

 

Pas mal, ce festival de la patate au Parc OL.

 

Le PSG joue-t-il mieux sans Marco Verratti ?

 

Plus fort que Kamil Glik sur les corners, à part peut-être Chuck Norris, on ne voit pas.

 

Ouf, Marcelo Bielsa n'a pas démissionné après une défaite à domicile contre Caen.

 

C'est la première fois depuis la saison 2009/10 qu'on ne dénombre aucun 0-0 après les trois premières journées de championnat. Stéphane Ruffier et ses montants restent d’ailleurs les seuls invaincus après celles-ci.

 

Corentin Jean qui jette Neymar au sol après avoir subi un geste technique digne d’Olive et Tom: le mec qui a floqué son maillot de Toulouse "Jean Neymar" a eu le nez creux.

 

Le Paris Saint-Germain n'ayant passé qu'une petite année en seconde division, il n'y a eut qu'un seul PSG-TFC en L2 (contre vingt-neuf en L1). C'était il y a presque quarante-quatre ans jour pour jour, le 26 août 1973 et il y avait déjà eu huit buts, cinq pour le PSG de Michel Llodra (père de...) entrainé par Just Fontaine et trois pour le Téfécé.

 

Après deux déplacements périlleux à Monaco et Paris, le TFC est troisième meilleure attaque à l'extérieur avec quatre buts marqués (chiffre gracieusement offert par le générateur de statàlacon amplement utilisé par la presse spécialisée).

 

Statàlacon encore: jamais Lyon et Bordeaux ne s'étaient séparés sur un score de trois partout. Ce Lyon-Bordeaux est donc historique… (puisqu’on vous disait que c’était un match à ne pas manquer!)

 

 

 

 

Les neymarobservations

Avec tous ces hommages, personne n'a relevé celui de la coupe de cheveux de Neymar à Jocelyn Angloma.

 

Tout le monde semble avoir oublié que des buts aussi exceptionnels que celui de Neymar, Weah, Ronaldinho et Coridon en ont aussi marqué à Paris.

 

En se relevant indemne après avoir percuté un panneau lumineux qui affichait une pub pour beIN Sports, Neymar nous a privés du comme-un-symbole de la saison.

 

On ne peut que s'incliner devant Neymar, mais peut-être pas aussi bas que la plupart des médias sportifs.

 

Jouer "dans l'ombre de Neymar", cela signifie que ton sublime ciseau sur un corner tendu (de Neymar) va passer quasiment inaperçu.

 

 

 

 

La zone mixte de Pascal Dupraz

"La vie, il faut la vivre au présent."


"On a plus que perdu le match aujourd'hui puisqu'on a moins 4 au goal-average."


"Au foot, quand on marche, on est l'ennemi de ses coéquipiers."


"À défaut d'être touché par la grâce dans mon métier d'entraîneur, je suis un vrai passionné de football."


"Je vais me servir du jeu de Neymar pour mes attaquants."

 

"Cette inspiration-là (le sombrero de Neymar sur Corentin Jean), en tant que modeste joueur, je ne l'aurais pas eue. Si je me départis de mon côté partisan, d'entraîneur du TFC, ça fait du bien au foot de voir ça, cette classe."  

 

 

 

"En rouge? Ne t'inquiète pas, c'est juste les anciens impacts des frappes de Pancrate."

 

 

 

Ligue 1 Neymarama

On ne va jeter la pierre à personne, tant est compréhensible l'engouement que suscite Neymar Junior. On peut juste admirer nous aussi, et peut-être documenter cet engouement. Dans L'Équipe, Vincent Duluc, habilement, prévient: "Pour en avoir ras-le-bol du Brésilien, pour éprouver quelque chose d'une indigestion face au menu unique des deux semaines écoulées, il suffit de ne pas regarder le foot, et de ne pas l'aimer". Et de confirmer que le "festin" ne fait que commencer.

 

La "mania" étant appelée à durer, il sera difficile de ne pas épuiser très vite le stock de superlatifs et de métaphores, à l'image de ceux relevés dans les six pages du quotidien sportif consacrées au match – ou plutôt au joueur du match:

 
"grande classe, festival, magie, poudre d'or, fulgurances, enluminures, inoubliable, coups de génie, nouveau héros, endiablé, lumineux, génial, génie, extraterrestre, baptême de feu, grand spectacle, morceau de génie, phénomène, vertige du maître, irrésistible, magistral, incroyable frisson, soirée majuscule, chef-d'œuvre, délicieusement magnifique, bilan phénoménal, véritable révolution, crack, redoutable, virtuosité, star, étoile brésilienne, nouveau roi, histoire d'amour."

 

 

 
 

Le trophée Xavier Gravelaine

Nantes décide de se joindre au challenge Gravelaine en signant Andrei Giroto qui découvre le huitième club de sa carrière à seulement vingt-cinq ans. Pendant ce temps, Claudio Ranieri, son coach, a connu treize clubs professionnels (et une sélection nationale) en trente ans de carrière d'entraineur.

 

 

 

 

Le Bâton de Bourbotte

On a beaucoup parlé du record de quinze victoires consécutives en Ligue 1 de l'AS Monaco, mais évidemment la vraie statistique importante de cette troisième journée, c'est que les Monégasques conservent le Bâton de Bourbotte pour la vingt-et-unième fois consécutive après leur victoire à Metz. Il parait que Zlatan Ibrahimovic et David Beckham commencent à s'inquiéter sérieusement pour le record de vingt-six matches détenu par le PSG de 2012/13, et on les comprend.

 
 

 

 

Le coin fraîcheur

On ne le relèverait pas dans d'autres sports, mais au foot, l'absence totale de contestation des Amiénois alors qu'ils concèdent deux penalties est à souligner.

 

Bryan Dabo, après un doublé, qui reste respectueux de son ancien coach qui ne le faisait pas jouer: "Je ne suis pas là pour critiquer Christophe Galtier parce qu’on n’oublie pas tout ce qu’il a fait pour le club de l’AS Saint-Étienne, c’est vraiment unique. Maintenant je suis focalisé sur le nouveau coach, et c’est vrai que c’est une forme de renaissance. L’année dernière j’ai passé une saison très très difficile et je me suis remis en question. Je ne vais pas accabler les anciens coaches, ce n’est pas mon éducation. On avait chacun notre part de responsabilité. Mais je veux effacer la saison dernière et je suis focalisé là-dessus."

 

L'imitation de la célébration de Blaise Matuidi, parti à la Juventus par Neymar sur son premier but. Et plus précisément, en écartant tout sujet polémique et en parlant seulement de football, on voit de plus en plus un gosse qui joue au foot (plutôt pas trop mal) et qui aime vraiment ça.

 

Claudio Ranieri après Troyes-Nantes, qui a vu l'expulsion directe de Chidozie Awaziem: "Jamais je ne dirai quelque chose contre l'arbitre. C'est le travail le plus difficile dans le foot."

 

 

 

 

Les mots croisés

 

Horizontalement:
1. Partenaire loin d'être historique.
2. Un cissé sans u / Bourreau moderne.
3. Marco s'emmêle au dernier moment / Associé à Paris.
4. Très Mauvais Entraîneur de Toulouse / Acronyme du Forez.
5. Central de Klopp / La légende de Teddy.
6. Sept ou neuf, c'est pareil.
7. Au Danemark avant en, en Suède avant son / La fin de Bruno Conti.
8. Dernier conseil pour un tireur de penalty.
9. Promu portugais de l'année / Lindsay en désordre.

 

Verticalement:
1. Partenaire d'une équipe cycliste historique.
2. Club argentin du ventre mou / Milieu de rêve.
3. Un club singulier du Gard / À l'école et dans L'Équipe.
4. Le normal, l'américain et l'australien.
5. Dix ans d'amour pour Bixente.
6. Sorcier blanc / Interjection de tout un stade.
7. Arrière droit / On le voit souvent en bonne Kompany .
8. Ballons d'or / Généralement raté en Ligue 1.
9. Pays de viande et de football.

 

La réponse est ici.

 

 

 

L'équipe-type mystère

Qu'est-ce que tous ces joueurs ont en commun? (la réponse est un peu capillotractée).

                                   Thomas Didillon 
Dariusz Dudka            Ron Vlaar          Branislav Ivanovic
Paulo Machado          Gilles Yapi-Yapo  Lucas Silva
                                   Sasa Ilic
Jean-Kévin Augustin  Jackson Martinez Nill de Pauw

 

 

 

 

 

Le championnat à l'envers

Quel retournement de situation! Après le 3-0 contre Nantes, le LOSC a complètement inversé la tendance en enchaînant deux résultats inattendus face à Strasbourg (0-3) puis Caen (0-2), se replaçant au championnat. Après avoir réussi son coup tactique d'aligner deux joueurs de champ différents dans les buts, Marcelo Bielsa est resté cette fois plus sobre, même si la stratégie de ne pas défendre les corners a une nouvelle fois payé. Avec le résultat nul de Rennes contre Dijon (2-2), voilà deux équipes que l'on n'attendait pas à si belle fête, pas si loin que cela des deux leaders: Metz et Amiens. Partis sur un rythme de champions, Lorrains et Picards ont pour l'instant réussi à laisser tous les points en route, confirmant les pronostics très flatteurs de l'avant-saison. À moins d'un recrutement réussi d'ici la fin du mois, les Amiénois semblent d'ailleurs partis pour être difficiles à battre dans la production (in)offensive. 

 

 

 

 

 

Le championnat vu par Twitter

 

 

 

 

 

Merci à betomar, De Gaulle Volant, forezjohn, Gazier, Jean-Huileux de Gluten, JeanLoupGarou, le Bleu, Lucho Gonzealaise, Mama, Rama & Papa Yade, Marius T, Milan de solitude, Moravcik dans les prés, pipige, revlog, r_v_matou, Sens de la dérision, tes fessées, vertigo pour leurs contributions. Les mots croisés sont de Parkduprince, l'équipe-type mystère de Milan de solitude, la compilation de AKK rends tes sets et les lucarnes sont de McManaman et de Rolfes Reus.

 

 

Réactions

  • Cave et Nagui le 22/08/2017 à 08h23
    C'est MALCOM, pas MALCOLM, c'est pas en mettant l'un ou l'autre que ça va pas se voir...

  • M.Meuble le 22/08/2017 à 10h09
    L'équipe type, ça doit être en rapport avec des initiales, non?

  • Françoise Jallet-Maurice le 22/08/2017 à 10h28
    Merci pour la gazette, c'est toujours un plaisir.

    Une petite erreur : le 26 août c'était plutôt il y a 44 ans que 14.

  • Françoise Jallet-Maurice le 22/08/2017 à 10h28
    ...le 26 août 1973...

  • Françoise Jallet-Maurice le 22/08/2017 à 11h00
    Ah oui, et le gardien de Strasbourg c'est Kamara et pas Camara.

  • Maniche Nails le 22/08/2017 à 12h01
    Le #tintavraibalzacien va faire ma journée

  • Save Our Sport le 22/08/2017 à 12h22
    Sans rien enlever à ce but, voir Bergkamp associé à N'djie, ça fait un petit choc.

  • Milan de solitude le 22/08/2017 à 14h14
    M. Meuble
    Ce n'est pas ça pour l'équipe mystère. Mais je peux donner un indice car elle est difficile.

    INDICE équipe mystère
    Comme tu l'as deviné, c'est une question de lettre.

  • AKK, rends tes sets le 22/08/2017 à 14h54
    L'équipe type mystère : les joueurs ont tous 3 associations (ou plus) d'une même mettre dans leur nom et leur prénom ?
    Deux D, deux I, deux L, deux O pour Thomas Didillon par exemple

  • Matu-Verratti-Vieira-Touré-Clément-Cearà le 22/08/2017 à 15h00
    La talonnade de Pastore sur l'action de l'expulsion n'est pas dans les gestes ? Bon.

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