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La Gazette de la L1 : 5e journée

Auteur : Alexandre Lagazette le 12 Sept 2017

 

  

Les résultats de la journée


LOSC 0 - 0 Girondins de Bordeaux
FC Metz 1 - 5 Paris Saint-Germain
OGC Nice 4 - 0 AS Monaco
SM Caen 2 - 1 Dijon FCO
Montpellier Hérault SC 0 - 1 FC Nantes
RC Strasbourg Alsace 0 - 1 Amiens SC
ESTAC Troyes 0 - 0 Toulouse FC
AS Saint-Étienne 1 - 1 Angers SCO
Olympique Lyonnais 2 - 1 EA Guingamp
Olympique de Marseille 1 - 3 Stade Rennais FC

 

 

 

Les gestes

Matthieu Dossevi qui plante Neymar et Edinson Cavani puis contourne Thomas Meunier pour déposer le ballon sur la tête d’Emmanuel Rivière.

 

Il y avait les parades non cadrées, le gardien messin Eiji Kawashima invente la parade réflexe sur frappe à bout portant d'un joueur hors-jeu.

 

Les dribbles chaloupés de Kévin Malcuit.

 

La frappe supersonique de Jonathan Bamba, et le réflexe main droite d'Alexandre Letellier pour la sortir au-dessus de sa barre transversale.

 

Nice qui transperce trois fois tout le bloc monégasque pour lui infliger trois contres dévastateurs: seulement deux passes, limpides, à l'origine du premier but, une seule, laser, d'Allan Saint-Maximin sur le deuxième, et une enroulée, dans le dos de la défense, de Pierre Lees-Melou sur le quatrième.

 

La remise de la poitrine de Moussa Konaté, qui transforme un dégagement lointain de Régis Gurtner en passe en retrait ajustée pour Gaël Kakuta.

 

Le jeu à trois de... Troyes, justement: longue ouverture de François Bellugou, centre instantané de Charles Traoré, reprise du talon d’Adama Niane sur le poteau droit de Lafont. Coach Suaudeau a dû apprécier le boulot de l'élève Jean-Louis Garcia.

 

La parade main droite au ras du sol de Rémy Vercoutre sur la frappe placée de Wesley Saïd.

 

La frappe pure et sèche de vingt mètres de Jordan Marié, au ras du poteau du gardien caennais, battu cette fois.

 

Christian Kouakou qui s'arrache sur son aile et lance un centre-missile que Cédric Yambéré ne peut éviter de transformer en contre-son-camp.

 

Le même Kouakou qu’on retrouve à la conclusion d’une jolie action caennaise: deux passes consécutives qui font gagner soixante mètres et permettent à l’attaquant de se placer en position de tir au but.

 

Le lancer d'avions en papier largement remporté depuis le virage nord du Parc OL avec un atterrissage entre le rond central et la surface de réparation. Le meilleur moment du match OL-Guingamp…

 

…À part peut-être la conduite de balle et l'enchaînement ultra-rapide de Nabil Fekir pour offrir à Lyon trois points un peu miraculeux.

 

L'enchaînement sublime sombrero-crochet de Malcom sur une transversale de quarante mètres de Valentin Vada, le tout sans que le ballon ne touche le sol s'il vous plaît! Le défenseur face à lui cherche encore le ballon.

 

Le joli mouvement Malcom-Sankharé-Cafu-Sankharé au cœur de la défense lilloise permettant à ce dernier de se retrouver complètement seul au point de penalty face à Mike Maignan…

 

 

 

"Les mecs, ça vous dit de découvrir le
dernier tweet de Jean-Michel Aulas?
"

 

 


Les antigestes

...Younousse Sankharé qui ouvre trop son pied suite à au beau mouvement décrit plus haut et gâche ainsi l'occasion de donner la victoire à Bordeaux.

 

Enchaînement d’antigestes: La passe en retrait (très) mal assurée de Marquinhos pour Alphonse Areola, suivie d'une tête fantaisiste de ce dernier pensant rattraper le coup, mais qui donne le ballon à Emmanuel Rivière seul face au but vide... ce dernier préférant mettre ce ballon au-dessus.

 

Les trop nombreuses expulsions ce week-end, sept au total:
• Le tacle Irma de Benoit Assou-Ekoto qui emmène tout sur son passage. Il prend son élan, le ballon, le joueur, le rouge, la feuille de match, les efforts messins pour garder le score, le suspense, le sang-froid de Philippe Hinschberger...
• La première demi-heure de match tout en finesse de Thiago Maïa, conclue par une tentative de décapitation sur Malcom un quart d'heure après avoir pris un carton jaune pour un tacle en retard sur le même joueur.
• L'énorme semelle de Giovanni Sio sur la cheville de Diego Carlos, laquelle ne reste entière que par miracle.
• Le vilain coup de pied par derrière de Kenny Lala sur Moussa Konaté, deux minutes après avoir déjà été averti.
• L'essuyage de crampons d'Adama Mbengue sur l'entrejambe de Foued Chafik, certes sans doute involontaire.
• La charge pied en avant de Vincent Pajot sur Alexandre Letellier.
• L'agression par derrière d'Enzo Crivelli sur Bryan Dabo.

 

Djibril Sidibé qui regarde tranquillement Mario Balotelli lui passer devant et conclure tout seul en trottinant.

 

Adama Niane qui gâche assez laidement à la finition d'une très belle action collective troyenne en fin de match.

 

Les vingt joueurs de champ qui s'agglutinent autour de l'arbitre de Saint-Étienne - Angers qui leur demande pourtant pendant plus d'une minute de reculer pour le laisser aller consulter son assistant qui avait vu la main.

 

La jérémiade 2.0 de Michel Der Zakarian. Après l'arbitrage à Toulouse et contre Strasbourg, place à la pelouse de la Mosson. Bientôt les combos pelouse-arbitre-gonflage du ballon?

 



 

 

Le match qu'il ne fallait pas rater

Un match entre deux équipes transformées au mercato, avec quelques doutes, de jolis gestes, d’autres moins, il y avait un match à ne pas manquer ce week-end! Petit florilège pour faire parler l’imaginaire avant un résumé vidéo:

La talonnade de Wahbi Khazri, sublime, imparable ET en clair sur Canal+.

 

Patrice Evra qui se rue hors du mur sur un coup franc direct, comme un poussin qui ne connait pas très bien les règles.

 

Patrice Evra, tout simplement. Encore qu'on ne sait plus si on peut parler d'antigeste à ce niveau-là, tant chez lui on est plus dans une forme de nihilisme.

 

Lorsque Aymen Abdennour commet une seconde faute consécutive qu'Antony Gautier ne sanctionnera pas d'un jaune, le commentateur du match a le courage de dénoncer le complot international des chauves en indiquant que l'arbitre fait montre de solidarité envers le défenseur. Mais nous pouvons faire fausse route, cette solidarité vient peut-être du fait qu'Abdennour est aussi maître de conférences en mathématiques.

 

 

 

 

  

 
 

 

 

Les minutes

La minute "C'est mon Choix" de Nicolas De Préville:
"Mon départ, c’était un choix du club et c’était le mien par la suite." (Canal+ Sport)

 

La minute Calimero de Philippe Hinschberger:
"Et il y a aussi leur quatrième but entaché d'une main. Elle est certes involontaire mais, dans le contexte, le but doit être annulé selon moi, on a déjà payé assez cher." (L'Équipe) Les supporters messins aimeraient surtout savoir dans quel contexte a été recruté Hinschberger et si on peut annuler son contrat.

 

La minute "Je crois en mes joueurs" de Rudi Garcia:
"J'aurais pu sortir tout le monde." (conférence de presse)

 

La minute "Je n'ai pas digéré l'absence de petits fours lors de mon pot de départ" de Kylian Mbappé:
"Encore plus maintenant, je joue dans une grande équipe donc ça va être encore plus de plaisir, jouer avec de grands joueurs, gagner des titres, ça va être vraiment exceptionnel." (Canal Football Club)

 

 

 

 

Les observations en vrac

Nouvelle expulsion au bout d'une demi-heure... Lille est parti pour être le Bastia de la Ligue 1 2017/18 qui n'aura de Conforama que le nom pour les adversaires du LOSC.

 

Lille-Bordeaux aura marqué le retour d'un geste technique mésestimé en L1: le gros coup d'épaule bien viril qui met l'adversaire à terre.

 

Finalement, Emmanuel Rivière a encore marqué un but inutile... (Mais au moins l'attaquant est utile. N'est-ce pas Nolan?)

 

Il a d’ailleurs coulé beaucoup d’eau sous les ponts depuis le dernier but d’Emmanuel Rivière en Ligue 1. C'était en 2014 avec Monaco.

 

Les matches du niveau technique de Montpellier-Nantes mériteraient d'être rangés dans un autre championnat, la Ligue 1,5 aussi appelée Ligue Confomino's.

 

Benjamin Nivet s'est blessé: bon, pas d'inquiétude, il reviendra, il est encore jeune.

 

En Allemand, OGC Nice se dit TSG Hoffenheim.

 

Quand Bryan Dabo, lors de l'interview à la mi-temps, enchaîne critique de l'arbitre, banalités sur le jeu et espoirs bateaux pour une meilleure seconde période, il provoque le fou rire des commentateurs, qui réalisent que leurs chroniqueurs n'ont plus rien à dire.

 

Lorsque Stéphane Ruffier regarde sa barre transversale, elle est comme tout le monde: elle a peur et elle obéit.

 

Monaco vient de s'offrir une remontada inversée: l'emporter 6-1, puis perdre 4-0!

 

Ce Strasbourg-Amiens est la première rencontre entre les deux clubs au plus haut niveau du foot français. Le reste s'était surtout déroulé en D2/L2, hormis un match de Coupe de la Ligue en 2007, la seule confrontation remportée par Amiens (ce qui fait donc deux maintenant deux). Il faut dire que c'est la première apparition en L1 des Amiénois, qui ont cumulé trente-sept saisons au second étage.

 

Ce qui est bien avec cette Ligue 1, c'est que chaque week-end, l'équipe "qui a le potentiel pour finir troisième" est différente.

 

 

 

"Entrée en jeu de la Rasta Rocket de Wiltz, du tueur d'Esch-sur-Alzette,
du Eder du Grand-Duché... Gerson Rodriiiiiiigues!
"

 

 

 
 

 

Le Bâton de Bourbotte

Vingt-trois matches consécutifs de l'AS Monaco en tant que détenteur du Bâton de Bourbotte, et la série s'arrête là. Quelle idée d'aller jouer à Nice, aussi... Le record du PSG 2012/13 (vingt-six) tient donc toujours, et c'est l'OGC Nice qui récupère le précieux et ira le défendre chèrement à Rennes.

 
 

 

 

Le coin fraîcheur

La discussion amicale entre Stéphane Moulin et Vincent Pajot après l'expulsion de ce dernier, assortie des excuses de Pajot à l'entraîneur angevin.

 

Benjamin Lecomte qui assume la responsabilité du but encaissé par Montpellier.

 

Un peu de National 1 avec le sommet particulier entre le GF38 et le Red Star, deux clubs jouant les premiers rôles et dont les ultras sont très proches depuis un jumelage opéré en 2004. En tribune, cela se traduit par un apéro d'avant-match, des groupes côte à côte, et des revendications communes sur les banderoles, les deux clubs connaissant les mêmes déboires, entre soucis financiers et occupation des stades.

 

 

 

 

Les mots croisés (spécial champion)

 

Horizontalement:
1. Famille Régnante.
2. Grand Argentier.
3. Numéro de sécurité sociale local / Nancéien qui n'a jamais voulu venir.
4. Associé au Bayern pour les Italiens.
5. / Attire certains joueurs.
6. On y a envoyé l'un de nos plus grand entraîneurs.
7. Le Grand Marcel / Parti absent des élections locales.
8. Le seul champion d'Iran titré en France.

 

Verticalement:
1. Gilles.
2. Milliardaire russe / Qui se souvient de la fin de Moussa Saïb.
3. Rarement floqué par les joueurs / Nationalité pas recrutée au club depuis le titre de 88.
4. Club de football français.
5. Cochon d'inde.
6. Prénom d'un finaliste malheureux / Prénom d'un joueur recruté à Martigues.
7. Club qui joue deux fois a domicile tous les ans.
8. La main de Dieu version monégasque.

 

La réponse est ici.

 

 

 

Le championnat à l'envers

À l'issue de la journée précédente, l'excellent début de championnat de l'OGC Nice avait été souligné, dans la foulée des performances remarquées contre deux favoris de cette édition. Malgré tout, les saisons écoulées et la propension de cette équipe à régulièrement terminer au pied du podium à l'envers avaient conduit à s'interroger sur sa capacité à être autre chose qu'un feu de paille de début de saison.

 

La déception ne se sera finalement pas fait attendre longtemps, puisque dès la journée suivante, Nice a renoué avec ses vieux démons et a très lourdement rechuté, concédant une lourde victoire 4-0, qui plus est face à un Petit Poucet qu'on n'attendait pas à si belle fête au vu des prestations des précédentes journées. Il y a fort à parier qu'un tel résultat laissera des traces dans les esprits et le vestiaire niçois et il faudra probablement à l'encadrement du club azuréen développer des trésors de savoir-faire pour lui éviter de sombrer rapidement dans les profondeurs du classement à l'envers lors des prochaines journées. Et peut-être aussi se demander si Lucien Favre dispose des compétences pour permettre à l'OGC Nice de renouer avec la gloire passée de ses dix-septièmes places, voire de viser plus haut encore.

 

De son côté, le FC Metz poursuit sur sa lancée et reste solide leader, au terme d'un match long à se dessiner, face pourtant à un adversaire particulièrement fragile et toujours prompt à se mettre à la faute. Croyant avoir fait le plus difficile après l'ouverture du score, les Messins se sont pourtant laissés aller à un relâchement coupable, Emmanuel Rivière se mettant à la faute et anéantissant l'avantage si chèrement acquis. Heureusement, Benoît Assou-Ekoto réussissait à remettre ses partenaires dans le sens de la marche, et les protégés du Graouly poussaient finalement le PSG à la faute quatre fois supplémentaires. Une performance solide donc, mais des hésitations parfois inquiétantes dans le jeu et qui peuvent interroger sur la solidité réelle de la place de leader des Grenats.

 

 

 

 

 

Le championnat vu par Twitter

 

La présentation du match Metz-PSG par Whoscored.

 

 

 

 

 

Merci à De Gaulle Volant, Gazier, Gouffran direct, gurney, Jean-Huileux de Gluten, JeanLoupGarou, le Bleu, Mama, Rama & Papa Yade, Mik Mortsllak, Moravcik dans les prés, morfal, tes fessées, Tetsuo Shima, Sens de la dérision, Tonton Danijel, vertigo, Yul rit cramé pour leurs contributions. Les mots croisés sont de Parkduprince, la compilation de AKK rends tes sets et les lucarnes sont de Mama, Rama & Papa Yade et de Tonton Danijel.

 

 

Réactions

  • Elmander mon cher Larsson le 12/09/2017 à 00h27
    J'avais raté les premiers numéros et c'est un vrai plaisir de retrouver la Gazette !
    Juste un truc sur Strasbourg/Amiens, il me semble que les deux clubs se sont également affrontés en finale de la Coupe de France en 2001.

  • balashov22 le 12/09/2017 à 08h59
    Ah, perso concernant Strasbourg-Amiens, j'ai relevé un autre truc, à savoir que "des Amiénois, qui ont cupulé trente-sept saisons au second étage". Je veux bien la définition du verbe "cupuler", pour mieux saisir cette saillie.
    (Ou rectifier le 'p' en 'm', sinon.)

  • Pascal Amateur le 12/09/2017 à 09h49
    Cupuler, c'est comme encoler, mais presque.

  • Isaias le 12/09/2017 à 10h57
    C'est quoi un Graouly ?

  • Tonton Danijel le 12/09/2017 à 10h59
    Elmander mon cher Larsson
    aujourd'hui à 00h27

    Ah oui, le fameux match gagné aux tirs au but qui a fait que Chilavert a encore pris du poids, au niveau des chevilles.

  • Tonton Danijel le 12/09/2017 à 11h02
    Et sinon, comme repéré par poiuyt, le responsable du compte twitter d'Amiens ne manque pas d'humour.

  • Portnaouac le 12/09/2017 à 11h10
    Isaias
    aujourd'hui à 10h57

    C'est quoi un Graouly ?

    ---------------

    C'est un genre de dragon légendaire qui a la particularité de voler en rond, parce qu'il n'a qu'une seule aile.

  • arnaldo01 le 12/09/2017 à 11h39
    Est-ce qu'il serait possible d'ajouter le classement?
    Merci et merci pour le boulot!

  • blafafoire le 12/09/2017 à 11h44
    Merci, beaucoup, pour la gazette (notamment parce qu'elle nous parle de la L1 et pas juste du PSG, mais on va dire que je trolle).

    En revanche, les dribbles chaloupés de Kevin Malcuit, c'est non.
    Les dribbles loupés, oui. La technique de Kevin, consiste à bourriner en espérant un contre favorable. Il ne lui restera qu'à hurler "SPARTA !!!" pour que l'imitation soit vraisemblable.
    D'ailleurs whoscored indique 1,3 dribbles par match cette saison, ce qui correspond assez bien à l'idée que je m'en faisais. Sur whoscored toujours, Sabaly (celui qui a bouffé Luis Araujo à l'apéro) est crédité de 1,4 dribbles par match.

    Cela dit, Malcuit, du fait de son activité, bénéficie d'une mansuétude assez grande, et ça s'est notamment vu sur ce match.

    Et sinon pour le défenseur mis dans le vent par Malcom, c'est notre inénarrable ami (balli) Ballo-Touré. Mais je ne lui en veut pas pour ça parce que le contrôle bergkampien de Malcom était superbe. A bien y réfléchir et en regard de son talent, j'en veux d'ailleurs un peu moins à Maia d'avoir manifesté son impuissance. Il aurait pu éviter la décapitation, cependant, qui fait mauvais genre en ces temps troublés.

  • MarcoVanPasteque le 12/09/2017 à 13h45
    Ah, cupule ! Quel grand moment !
    "Azur ! nos bêtes sont bondées d’un cri !
    Je m’éveille, songeant au fruit noir de l’Anibe dans sa cupule verruqueuse et tronquée…"

La revue des Cahiers du football