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La Gazette de la L1 : 6e journée

Auteur : Alexandre Lagazette le 19 Sept 2017

 

  

Les résultats de la journée


Toulouse FC 0 - 1 Girondins de Bordeaux
AS Monaco 3 - 0 RC Strasbourg Alsace
Dijon FCO 0 - 1 AS Saint-Étienne
EA Guingamp 1 - 0 LOSC
FC Nantes 1 - 0 SM Caen
ESTAC Troyes 0 - 1 Montpellier Hérault SC
Amiens SC 0 - 2 Olympique de Marseille
Angers SCO 0 - 1 FC Metz
Stade Rennais FC 0 - 1 OGC Nice
Paris Saint-Germain 2 - 0 Olympique Lyonnais

 

 

 

Les gestes

Les parades sur des frappes à bout portant de Stéphane Ruffier et le sauvetage sur la ligne de Kévin Théophile-Catherine, qui ruinent les espoirs et les expected goals dijonnais.

 

La longue remise de Julio Tavares dans l'axe pour Jordan Marié, lequel enchaîne par un une-deux limpide avec Naïm Sliti qui prend à revers toute la défense stéphanoise. Superbe, mais Stéphane Ruffier a dit non.

 

L'ouverture de quarante mètres, classieuse, millimétrée et de son mauvais pied, de Loïc Perrin pour Loïs Diony.

 

Et celle aussi de Rachid Ghezzal pour Radamel Falcao, à l'origine de l'ouverture du score monégasque.

 

Les décrochages, les passes et la vision du jeu de Jimmy Briand, qui illuminent constamment les attaques guingampaises.

 

Benoit Costil qui vient chercher main opposée le tir qu'Andy Delort avait placé dans sa lucarne.

 

Le missile de trente mètres "robertocarlesque" d'Andrei Girotto, pour sa trajectoire improbable qui vient lécher le poteau de Rémy Vercoutre et la reprise d’Étienne Didot, deux éclairs dans une nuit de multiplexe plutôt tristoune.

 

L’équilibre de Mario Balotelli sur son but, tout en relâchement, qui avait quelque chose de Noureev.

 

La remise latérale inspirée de Florian Thauvin pour Clinton Njié, qui marque.

 

Le dribble derrière le pied d'appui de Matthieu Dossevi sur une contre-attaque messine, mettant dans le vent deux Angevins et ouvrant la voie du but à Opa Nguette.

 

Mamadou Samassa qui se jette héroïquement dans les pieds de Vitorino Hilton en se disant qu'il a peut-être quelque chose à corriger

 

 

 

On reconnaît facilement ceux qui ont croisé Mbappé sur le terrain.

 

 


Les antigestes

… Après avoir effectué un arrêt du nez, les bras bien le long du corps, sur une frappe de Junior Sambia: un coup franc de trente-cinq mètres.

 

Les (quelques) sifflets du public dijonnais lors de la sortie de Loïs Diony, qui avait pourtant permis au club de se maintenir la saison précédente.

 

Jonathan Bamba qui se jette au sol pour obtenir un penalty après une micro-faute de Fouad Chafik.

 

Le combo passe en retrait en mousse/tentative de simulation de faute pour se rattraper, de Kader Mangane, qui offre un dernier but à Radamel Falcao, comme si le Colombien avait besoin de ça.

 

Quand Opa Nguette lèvera la tête et arrêtera de s'entêter à dribbler tout seul plutôt que de servir ses camarades, il deviendra un très bon joueur.

 



 

 

Le match qu'il ne fallait pas rater

Des embrouilles de starlettes, deux csc, mais aussi de l’intensité et quelques jolis mouvements, il y avait un match à ne pas manquer ce week-end! Petit florilège pour faire parler l’imaginaire avant un résumé vidéo:

 

Un antigeste déjà: le match de Mariano. On a comme l'impression que ce feuilleton va durer toute la saison.

 

Le plongeon d'Anthony Lopes sur le coup franc de Neymar, qui a tout le mal du monde à écarter ses pieds du ballon pour qu'on ne voit pas que la balle était sur lui afin de réaliser un arrêt photo.

 

Le coup de pied de Neymar sur Nabil Fekir parce que celui-ci lui contestait le ballon.

 

La frappe laser de Tanguy Ndombele qui se fracasse sur la transversale d'un Alphonse Areola pas malheureux, pour une fois. Le reste du match du néo-Lyonnais est d’ailleurs très encourageant.

 

 

La feinte de Giovanni Lo Celso, premier geste décisif de l'Argentin pour Paris, sans doute pas le dernier.

 

 

 

  

 
 

 

 

La minute

La minute « L’école des fans » de papy gâteau Claudio Ranieri:
"Tout le monde a bien joué, ceux que j'ai remplacés et ceux qui sont rentrés." (conférence de presse)

 

 

 

 

Les observations en vrac

Théorie de la relativité: fallait-il siffler le penalty sur Jonathan Bamba pendant DFCO-ASSE sachant qu'il y avait moins faute que sur le penalty pas sifflé sur Bryan Dabo pendant ASSE-OGCN mais aussi plus faute que sur le penalty sifflé sur Edinson Cavani pendant PSG-ASSE?

 

L'ASSE joue en noir à Dijon pour permettre à l'arbitre de mettre son maillot vert.

 

Quand Michel Der Zakarian vous parle de défense à quatre, faites attention il ne compte pas les latéraux.

 

Dommage que l'on n’ait pas eu le droit à un coup franc indirect dans la surface pour la belle entre Neymar et Edinson Cavani.

 

Neuf clubs comptent au moins quatre titres de titres de champions de France. Huit d'entre eux occupent les huit premières places du classement de Ligue 1 après cette journée. Seul le Stade de Reims, excusé cette saison, n'en est pas.

 

Il faudra quand même un jour que quelqu'un demande aux coaches qui se plaignent de subir des penalties inexistants:
1. S'ils sont au courant que les lois du jeu interdisent de tenir un adversaire.
2. S'ils donnent comme consigne à leur joueur de ne pas tenir leur adversaire dans la surface de réparation.

 

Il faudra aussi que quelqu'un leur demande quel besoin compulsif ils ont de vouloir revoir toutes les situations où deux joueurs sont au contact dans la surface de réparation, comme si ça allait changer la décision de l'arbitre.

 

Commentateurs toujours: on note une certaine obsession par rapport à Neymar alors qu'il y a plusieurs problèmes criants dans le jeu parisien. Et on souligne le très chouette: "Kenny Tete gagne encore un duel contre le joueur le plus cher du monde."

 

 

 

"Faut dire qu'il y a Firmin Mubele et Kermit Erasmus à Rennes."

 

 

 
 

Le coin fraîcheur

Entre sa rentrée ponctuée du but de la victoire à la dernière minute sur une frappe sautée de vingt-cinq mètres, sa danse de la gavotte pour le célébrer, ses blagues sur sa famille qui lui porte chance à chaque fois qu'elle ne vient pas le voir jouer, et pour finir sa harangue des supporters guingampais haut-parleur à la main, Étienne Didot a en une soirée suffisamment aspergé à lui tout seul tout le championnat d'eau fraîche pour toute la saison.

 

 

 

 

Le classement regardé de plus près

Figurez-vous Bixente qu'en regardant le classement, on constate une petite incongruité. Bien que notre championnat soit au terme d'une journée paire, tous les clubs n'ont pas joué le même nombre de matches à l'extérieur et à domicile, seuls seize d'entre eux étant dans cette situation. Les quatre autres sont donc en déséquilibre, lequel se compensera évidemment au terme de la saison. Ce déséquilibre est pour l'instant accentué par le fait que nous sommes en début de saison et que certains ont joué deux fois plus de fois chez eux qu'à l'extérieur – ou inversement. On peut donc se demander si tout cela n'a pas un petit effet de trompe-l'oeil sur le classement et si une correction existe.

 

On partira d'un postulat simple (qui ne se vérifie jamais, mais qu'importe, là n'est pas la question): l'équipe qui évolue à domicile dispose d'un avantage qui fait qu'elle doit l'emporter, engrangeant trois points supplémentaires au classement "normal". Tout autre résultat qu'une victoire place donc l'équipe concernée en déficit de points par rapport à son tableau de marche théorique. Deux en cas de nul, trois s'il y a défaite. Dans le camp d'en face, la situation est bien entendu inverse (la Ligue 1, ce n'est pas l'École des fans, tout le monde ne peut pas gagner). On comptabilise ensuite ces fameux points d'avances et de retard pour proposer un classement – qui a certains défauts, toutes les équipes devant théoriquement finir avec le même total de points et la qualité de l'adversaire n'étant pas prise en compte.

   

Ces présentations étant faites, jetons un œil sur cet "autre" classement. Dans la présentation ci-dessous, les équipes sont classées par nombre de points puis, en cas d'égalité, par ordre alphabétique. Entre parenthèses, on trouve d'abord le nombre de matches joués à domicile puis à l'extérieur. Entre crochets enfin, les points d'avance ou de retard sur le total théorique que le club devrait avoir compte tenu du nombre de rencontres à domicile:

 

1. AS Monaco (3-3) [6]
- Girondins de Bordeaux (2-4) [6]
- Paris Saint-Germain (4-2) [6]
4. AS Saint-Étienne (3-3) [4]
5. Olympique Lyonnais (3-3) [2]
6. FC Nantes (3-3) [1]
- Olympique de Marseille (3-3) [1]
8 EA Guingamp (3-3) [0]
- OGC Nice (3-3) [0]
- SM Caen (3-3) [0]
11. Angers SCO (3-3) [-2]
- Montpellier Hérault SC (3-3) [-2]
- RC Strasbourg Alsace (2-4) [-2]
- Toulouse FC (3-3) [-2]
15. Amiens SC (3-3) [-3]
16. LOSC (3-3) [-4]
- Stade Rennais FC (3-3) [-4]
18. Dijon FCO (3-3) [-5]
19. FC Metz (3-3) [-6]
20. ESTAC Troyes (4-2) [-7]

 

Où l'on voit donc que Bordeaux, malgré un apparent léger déficit de points au classement "normal", paie peut-être un peu le fait d'avoir déjà joué quatre fois à l'extérieur et pourrait donc être plus proche du podium qu'il n'y paraît à première vue. À l'autre bout du classement, on peut constater que les cinq points de l'ESTAC au vrai classement, s'ils suffisent pour être au-dessus de la ligne de flottaison, sont en vérité notoirement insuffisants pour une équipe qui a déjà joué quatre fois à domicile. À l'inverse, si les quatre points engrangés par le RC Strasbourg lui valent une ennuyeuse dix-neuvième place au classement normal, on voit que ce classement est peut-être lié, en partie, au fait que les deux tiers des journées ont été disputées loin d'Alsace.

 

 

 

 

Les mots croisés

 

Horizontalement:
1. Un attentat sur sa personne a dégradé les relations franco-allemandes.
2. Avant Mikel / Club de Bucarest auquel manque un A.
3. Le meilleur gardien-buteur.
4. International italien passé par la Chine.
5. Frédéric est tout retourné / Centre de Zinédine / Diminutif de la Belgique.
6. Jacky P. ou Rémi G.
7. Nombre de buts français en Afrique du Sud / À droite pour Unai / Tombé à Gerland.
8. Meilleur buteur des JO de Los Angeles / Nocif d'après l'emballage.

 

Verticalement:
1. Un club qui tâche.
2. Pratique commune du chien et de l’entraîneur face a l'arbitre / Caractéristique d'un joueur se douchant.
3. Comme joueur ou entraîneur, il est champion de France.
4. Initiales d'un prestigieux supporter de l'OM / La fin d'une passe splendide.
5. Joueur s'exportant peu en France sauf à Toulouse (sans n).
6. Attaquant de la dernière Mannschaft.
7. Défenseur Néerlandais introuvable prénomé Cees (à l'envers) / Précède Ficionado.
8. Milieu gauche de coach / Stade légendaire de Glasgow.
9. Match vierge / Prénom d'aléatoire.

 

La réponse est ici.

 

 

 

Le championnat à l'envers

Au moins, les lecteurs de cette rubrique ne pourront pas dire qu'ils n'avaient pas été prévenus puisque les inquiétudes émises au terme de la précédente journée ont été immédiatement confirmées. Par l'OGC Nice tout d'abord, éphémère vedette du début de saison et dont on craignait que le naufrage contre l'AS Monaco, lanterne rouge du dernier championnat, ne laisse des traces profondes. Le déplacement à Rennes est toujours un match piège, tant sont puissants et imprévisibles les effets du cimetière indien sur lequel fut jadis construite une enceinte sportive, désormais appelée Roazhon Park. Malgré une relative emprise dans le jeu, les Niçois ont finalement craqué, la faute à un Mario Balotelli dont le retour dans le groupe coïncide curieusement avec le début de la dégringolade. La bulle niçoise dans ce championnat à l'envers a bel et bien éclaté et on se désintéressera désormais d'un club n'étant pas de taille à lutter.

 

Par Metz ensuite. Auteurs d'un quasi non-match à Angers, les Messins se sont laissés étouffer par leurs adversaire, concédant un taux possession de balle désastreux de 63% alors même qu'ils jouaient à l'extérieur, multipliant centres (trente-huit) et tirs (dix-huit dont six cadrés) et accumulant les passes réussies (90%). Comment s'étonner alors que le pire finisse par arriver? L'erreur d'Emmanuel Rivière la semaine dernière n'avait pas eu de conséquence fâcheuse tant l'adversaire était faible. Cette fois, Nolan Roux n'a pas eu la même chance et son erreur aura finalement coûté à son équipe un premier faux pas. À renouveler ce genre de prestations, les Lorrains risquent fort de voir leurs concurrents venir très vite leur contester une place de leader désormais en danger. C'est bien un joker que le FC Metz a brûlé dimanche à Angers.

 

Derrière, Strasbourg a confirmé face à de bien tendres Monégasques. Le RCSA est sur une série de trois résultats positifs de rang et la réception de Nantais à la dérive est l'occasion de marquer les esprits et de se poser en outsider crédible. Dijon se tient également à un point du leader après sa performance du week-end face à des Stéphanois pas très inspirés. D'aucuns souligneront que les Dijonais doivent beaucoup à l'arbitre et son penalty généreusement accordé. On objectera que la marque des grandes équipes est précisément de savoir préserver l'essentiel lorsqu'un match n'est pas très bien engagé et que sans un mouvement décisif du défenseur dijonnais, nul penalty n'aurait pu être sifflé. Tout le mérite du résultat doit bien revenir aux Bourguignons.

 

Un mot enfin sur le match de la journée, qui opposait deux prétendants au podium: Troyes et Montpellier. Soit un favori naturel et un outsider auteur d'un début de saison enthousiasmant, probablement né de la volonté de rendre hommage à Louis Nicollin en montant sur le podium du championnat à l'envers. Cette nouvelle rencontre à domicile constituait un défi pour les Aubois, soucieux de poursuivre la remontée au classement entamée depuis trois journées, dans la foulée du surprenant faux pas à Nice. Bien que malmenés pendant la majeure partie du match, les Troyens ont poursuivi sur leur lancée en laissant filer les trois points malgré un tir sur le poteau qui aurait pu réduire leurs efforts à néant. Il y a là comme un début de parcours d'un sérieux candidat au titre... D'autant qu'arrive un déplacement chez le leader. Une bonne occasion pour les Troyens et Messins de réaffirmer leurs ambitions.

 

 

 

 

 

Le championnat vu par Twitter

 

 

 

 

Merci à balashov22, forezjohn, Gazier, JeanLoupGarou, Jean-Huileux de Gluten, Lubo, Mama, Rama & Papa Yade, Marius T, Mik Mortsllak, Moravcik dans les prés, Paul de Gascogne, poiuyt, revlog, Robert Murdocq, Tonton Danijel, Yoop2804pour leurs contributions. Les mots croisés sont de Parkduprince, le championnat à l'envers de Portnaouac, la compilation de AKK rends tes sets et les lucarnes sont de Bouderbala et de Milan de solitude.

 

Réactions

  • vertigo le 19/09/2017 à 10h25
    Même après une journée de championnat moyen moins, la Gazette c'est bien.
    Sinon il joue dans quelle équipe ce Noureev?

  • Parkduprince le 19/09/2017 à 10h42
    j'ai l'impression que y a deux antigestes qui ont été inversé ce qui nuit un peu a la compréhension ( diony)

  • luckyluke le 19/09/2017 à 12h16
    En fait le "classement regardé de plus près", c'est ce qu'on appelle depuis quelques siècles la moyenne anglaise non? :-)

  • Portnaouac le 19/09/2017 à 12h27
    Absolument luckyluke ; sauf que certains soutiennent mordicus que la moyenne anglaise, ne se décompte pas comme ça, en particulier pour le décompte des points à l'extérieur (0 en cas de défaite, +1 en cas de match nul, +3 en cas de victoire).

    Donc, plutôt que de tomber dans un débat sur "comment c'est-y qu'on doit compter la moyenne anglaise", j'ai choisi de compter comme je voulais, et de ne pas donner de nom particulier au machin.

  • balashov22 le 19/09/2017 à 12h45
    Il me semblait bien que j'avais déjà entendu parler d'un classement dans ce genre en rapport avec la perfide Albion.

    Note, ma modeste observation concernait les commentateurs plutôt que les entraîneurs, ce qui ne paraît pas évident quand on lit cette Gazette, fort belle au demeurant.

  • Aurélien Kaput le 19/09/2017 à 13h48
    Toujours un plaisir de retrouver les mots-croisés, alors : merci à son auteur

  • Aurélien Kaput le 19/09/2017 à 15h01
    Toujours un plaisir de retrouver les mots-croisés, alors : merci à son auteur

  • Pascal Amateur le 19/09/2017 à 15h03
    Ouais ouais, tout ça pour dire qu'en 1h20 il n'a pas trouvé une seule définition.

  • Tonton Danijel le 19/09/2017 à 17h28
    Portnaouac
    aujourd'hui à 12h27

    La moyenne anglaise raisonne en points gagnés à domicile/perdus à l'extérieur et est pas mal utilisé en rugby où les matchs nuls comme les victoires à l'extérieur sont rares.

    Pour le foot, c'est un peu plus compliqué, mais l'adaptation la plus juste pourrait être la suivante:
    Match à l'extérieur: +3 pour une victoire, +1 pour un nul, 0 pour une défaite (on raisonne en terme de 'points gagnés à l'extérieur').
    Match à domicile: 0 pour une victoire, -2 pour un nul, -3 pour une défaite (on raisonne en terme de 'points perdus à domicile', un match nul fait perdre 2 points par rapport aux 3 de la victoire attendue).

  • Parkduprince le 19/09/2017 à 17h47
    Monsieur Kaput ! merci

    Après 5 gazettes sans commentaire je commençais a me demander si je ne faisais pas ça pour rien !

    Et autrement la définition qui t'préféré ?

La revue des Cahiers du football