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Top 10 : J'aurais aimé avoir la carrière de mon père

On ne sait pas encore quelle carrière effectueront Enzo Zidane (15 ans), Christian Maldini (14 ans), Grégoire Puel (18 ans) ou Filippo Mancini (20 ans), mais ils peuvent craindre de rejoindre ce Top 10 dans quelques années...
Auteur : Ligue Huns le 11 Fev 2011

 

1. Diego Sinagra, le plagiste

top_10_fils_02_sinagra.jpgLe fils illégitime du Pibe de Oro marquera surement moins le football que son père, du moins pas sur herbe. Son truc à lui, c’est plutôt le sable. Il a en effet rejoint l’équipe d’Italie de beach soccer en 2008. Seules les pelouses de jeunes et de 4e ou 5e division italienne l’auront vu officier.

Après avoir côtoyé le centre de formation du Napoli (1997-2004) et celui du Genoa (2004-2005), sa carrière senior stagnera dans les divisons semi-professionnelles jusqu’en 2008 à Cervia Vodafone, Internapoli, Quarto et Venafro. Le point culminant en sera une sélection en équipe d’Italie des moins de 17 ans en 2001, qui incitera les médias à croire en un futur digne de son géniteur. À vingt-quatre ans, cet ex-milieu offensif est destiné à se dorer la pilule sur les plages tyrrhéniennes.



2. Thibault Giresse, le descendant

top_10_fils_01_giresse.jpgParmi les français cités dans ce top 10, il est sans doute celui qui a réalisé la meilleure carrière… Mais celle-ci est bien loin de celle de son père. Membre du « carré magique » aux côtés de Tigana, Fernandez et Platini dans les 1980, Alain est à ce jour le joueur de champs qui compte le plus de matches en première division (586). Thibault, milieu offensif gauche, entame sa carrière professionnelle lorsque Toulouse est rétrogradé en National en 2001. Il participe grandement à la double montée qui ramène le TéFéCé dans l’élite. Arrivé en Ligue 1, il est abonné au banc de touche et disputera que cinq matches d’août à décembre. En Janvier il est prêté en Ligue 2 au Havre où il marque 4 buts en 16 matches.

La saison suivante, en 2004-2005, il retrouve une place de titulaire à Toulouse (28 matches, 1 but). L’arrivée de Fodé Mansaré lui barre le flanc gauche en 2005-2006. À l’été 2006 il rejoint Amiens, puis Guingamp en 2009. Il jouera 145 matches et marquera 27 buts en 4 ans en Ligue 2. Il échappe au National en quittant Amiens après avoir participé à la descente en 2009, mais réalise la même performance avec Guingamp l’année suivante. Cette fois-ci, il rejoint (finalement) le National en restant chez les Bretons.



3. Peter Bozsik, l'homme du banc

top_10_fils_03_bozsik.jpgBozsik n’est pas un nom très répandu dans le monde footballistique occidental. Il n’en reste pas moins que Jozsef Bozsik est à ce jour le recordman de capes avec la sélection hongroise (101 matches), finaliste de la Coupe du monde 1954 aux côtés des Grosics, Kocsis et Puskas. Au contraire de ce fameux dernier, il restera durant l’ensemble de sa carrière en Hongrie, notamment au Budapest Honved. Il s’éteindra à cinquante-deux ans en 1978.

Son fils, Peter, n’aura pas la même aura dans le pays magyar. Après une carrière professionnelle dans le modeste club de Penzügyör, il entame ensuite un parcours d’entraîneur plus fructueux. Il remportera le championnat national en 2002 avec Zalaegerszegi et sera propulsé à la tête de la sélection en mai 2006 – pour la quitter cinq mois plus tard, après une défaite contre Malte. Depuis, silence radio.



4. Jordi Cruyff, l'ombre du père

top_10_fils_04_cruyff.jpgJordi Cruyff a toujours suivi son illustre père durant sa jeunesse. Inscrit dès l’âge de sept ans à l’Ajax Amsterdam, il rejoint La Masia quand son père prit les rênes du FC Barcelone en 1988. Jordi a alors quatorze ans. Son père le lance en équipe première en 1994. Sa première saison est une réussite avec 9 buts en 28 matches. Sa deuxième saison est moins resplendissante, avec 2 buts en 13 matches. Mais Guus Hiddink le sélectionne tout de même pour l’Euro 1996. Jordi quitte Barcelone lorsque son père est viré du poste d’entraîneur à l’été 1996. Il signe alors pour Manchester United. Chez les Red Devils, il souffrira de nombreuses blessures et de la concurrence de Ryan Giggs sur le flanc gauche de l’attaque. En trois ans et demi, il marque 8 buts en 34 matches. Il passe six mois en prêt au Celta Vigo en 1999 sans grand succès et ne sera plus rappelé chez les Oranje.

En 2000, il retourne en Liga et intègre le Alavès Vitoria. La première saison est un franc succès pour son club: outre une anecdotique dixième place en championnat, le Vitoria échoue lors de la mythique finale de la Coupe UEFA 2001 face à Liverpool (5-4, Jordi marque un but à la 89e minute qui permet aux Espagnols d’aller en prolongation). Il quitte Alavès en 2003 alors que le club est relégué et rejoint l’Espanyol Barcelone. Cette saison 2003-2004 correcte (30 matches, 3 buts) sera sa dernière au haut niveau. De 2004 à 2007, les blessures l’éloignent du terrain et il ne joue que quelques matches avec la réserve du FC Barcelone. En 2007, Il s’exile chez les Ukrainiens du Metalurg Donetsk (avec lequel il dispute dix matches en tant que défenseur central), avant de rejoindre La Vallette FC la saison suivante comme entraîneur-joueur. Le fils du triple Ballon d’Or est maintenant directeur sportif de l’AEK Larnaca, club chypriote.



5. Kasper Schmeichel, le petit fantôme

top_10_fils_05_schmeichel.jpgMême patronyme, même poste, même bouille, Kasper et son père Peter ont beaucoup de ressemblances. Mais si le second a brillé comme l’un des meilleurs gardiens des années 90 avec notamment l’Euro 92 et la Ligue des champions 1999 à son palmarès, le fils peine à incarner un digne successeur pour l’instant. Tandis que Peter termine tranquillement sa carrière à Manchester City, Kasper progresse dans la réserve du même club. De 2002 à janvier 2006, il n’occupe que le quatrième ou cinquième rang dans la hiérarchie des gardiens. Dès lors, il va effectuer une succession d’allers-retours depuis Manchester vers des clubs moins huppés, via des prêts. Il va d’abord à Darlington en League Two (4e division), puis Bury (4e division), Falkrik (1ere division écossaise), Cardiff City (2e division anglaise) et enfin Coventry (2e division anglaise). Ces prêts lui offrent du temps de jeu mais ne l'autorisent pas à prétendre à la première place dans les buts de City.

La blessure d’Isaksson lui offre pourtant l'occasion d’effectuer un bon début de saison en 2007 et de disputer sept matches en arrêtant notamment un penalty de Van Persie. Mais Sven Göran Eriksson va vite le remplacer par Joe Hart, qui est pourtant plus jeune que lui. Après un passage Notts County en 4e division en 2009-2010, il revient cette année en 2e division à Leeds United. Le papa a coupé court aux rumeurs faisant état de l’intérêt de l’équipe d’Angleterre. Kasper a donc dû se contenter des équipes de jeunes danoises jusqu’à aujourd’hui. À vingt-quatre ans, son début de carrière est loin d’être flamboyant, mais rappelons qu’à son âge, Peter arrivait tout juste à Bröndby, et connaissait ses premières sélections.



6. Benjamin Genghini, les cinq minutes de gloire

top_10_fils_06_genghini.jpgTout commence sur les chapeaux de roues pour Benjamin Genghini, fils de Bernard, ancien milieu de terrain de l’équipe de France des épopées mondiales de 1982 et 1986, champion d’Europe 1984. Le fiston du célèbre moustachu marque dans les arrêts de jeu, quatre minutes après son entrée sur le terrain, pour son premier match de Ligue 1 face au Stade rennais le 26 novembre 2005, il n’a pas encore vingt ans. Ce but offre la victoire aux Sochaliens. Malheureusement, ces cinq minutes de jeu seront certainement les plus glorieuses de sa carrière. Lors ce cette saison, il joue 31 minutes lors d’une entrée à Troyes (défaite 2-1) et sera titulaire lors du déplacement à Nantes (défaite 3-1).

Il ne refoulera plus les pelouses de l’élite française. Il effectue l’année suivante une bonne saison en National, prêté à Raon-l’Etape (30 matches, 8 buts). Elle ne lui permet pourtant pas de réintégrer l’équipe première et il doit se contenter de la CFA pendant deux ans. En janvier 2009, il retrouve le National en signant au FC Gueugnon. En un an et demi, il participe à 49 matches et marque 5 buts pour les Forgerons. À l’été 2010, le fils de l’ancien Monégasque rejoint le RC Strasbourg qui vient de descendre en National. À bientôt vingt-cinq ans, il reste donc abonné aux terrains de la troisième division française, quand son père brillait à Sochaux, à Saint-Étienne et aux côtés de Platini en sélection.



7. Gavin Strachan, le piston à l'envers

top_10_fils_07_strachan.jpgCoventry City aura connu deux Strachan en même temps. Pendant que Gordon finissait tranquillement sa carrière de joueur (Aberdeen, MU, Leeds, 50 sélections pour l’Ecosse) et débutait celle d’entraîneur (Coventry, Southampton, Celtic, Middlesbrough), Gavin entamait la sienne. Sa première saison dans l’élite commence plutôt bien pour un jeune de dix-neuf ans. Il participe à 8 matches de Premier League lors de la saison 1997-1998. Parallèlement, il est sélectionné à 8 reprises chez les Espoirs écossais.

En janvier 1999, il rejoint Dundee FC en première division afin d’acquérir du temps de jeu. Malgré la présence de papa à la tête de l’équipe, Gavin ne parvient pas à s’imposer. Il cire le banc pendant quatre ans. Le club descend à l’issu de la saison 2001-2002. Gordon quitte le club après un mauvais départ en 2e division. Gavin, lui, reste un an et demi de plus, mais ne parvient toujours pas à s’imposer dans l’équipe. La deuxième division est encore trop relevée pour lui. Sans beaucoup jouer, il se maintient dans les divisions semi-professionnelles (3e et 4e divisions) à Hartlepool, Peterborough ou Notts County. Il joue aujourd’hui à Hinckley United, en Conference North (6e division) et tient un blog sur le site de BBC News.



8. Matthieu Tota, la voix de garage

top_10_fils_08_tota.jpgAndré Tota eut une carrière footballistique relativement modeste. Entre 1971 et 1979, il a participé à 173 rencontres de première division et marqué 40 buts pour Metz, Troyes et Bordeaux. Une fois n’est pas coutume dans ce top 10, son fils marquera certainement plus les jeunes ados que lui, mais certainement pas dans le même domaine.
En effet, Matthieu Tota, 25 ans, ne laissera pas une grande trace dans le football: il a joué en 15 ans Nationaux avec Schiltigheim et a participé à un essai au CS Sedan-Ardennes en 2001 qui n’a pas donné suite. C’est dans la musique que Matthieu va percer, et ce via le télé-crochet Popstar en 2003. Il devient alors connu sous le pseudonyme Matt Pokora puis M. Pokora. Ce chanteur de RnB est une idole pour beaucoup d’ados. Malheureusement pour nos oreilles, il aurait mieux fait de persévérer dans le football.



9. Kevin Vandenbergh, le vrai footballeur

top_10_fils_09_vandenbergh.jpgNos amis lillois doivent se souvenir de Vandenbergh, Erwin de son prénom. Cet attaquant belge a inscrit 38 buts en 114 matches entre 1986 et 1990 pour les Dogues. En Belgique, il a notamment évolué à Lierse, Anderlecht et La Gantoise, a joué 48 fois pour les Diables Rouges et marqué à 20 reprises. Kevin a seize ans en 1999 lorsqu’il débute en Jupiler League (1ere division belge) à Westerlo. Ses 14 buts en en 43 matches de 1999 à 2002 tapent dans l’œil du Racing Genk. Il passera ses meilleures années dans ce club huppé du championnat belge. Il participe à la Ligue des champions en 2002 et contribue grandement à la deuxième place du club en championnat en 2006-2007.

En 138 matches, il marque 66 buts pour Genk et jouera 13 fois avec l’équipe nationale (3 buts). Mais ses mauvaises relations avec Hugo Broos, l’entraîneur, le poussent vers la sortie. Il rejoint le FC Utrecht aux Pays-Bas, mais n’arrive pas à s’imposer. Il réalise une bonne saison au Germinal Beershot en prêt avec 6 buts en 24 matches, mais il est toujours laissé de côté à son retour à Utrecht. En deux saisons aux Pays-Bas, il ne jouera que 22 matches, dont 6 comme titulaire. En 2010, il signe chez le FC Eupen, promu en Jupiler League.



10. Damien Dropsy, le figurant

top_10_fils_10_dropsy.jpgLes gants se transmettent aussi de père de en fils chez les Dropsy. Le papa, Dominique, est triple champion de France avec Strasbourg et Bordeaux, demi-finaliste de la Coupe des Champions en 1985 et de la Coupe des Coupes en 1987, et compte 17 sélections en équipe de France. En 1983 naît son fils Damien, qui garde lui aussi les buts… mais au niveau amateur.

L’ensemble de sa carrière se déroule dans des clubs autour de Bordeaux, en division d’honneur ou en CFA 2. Le sommet de sa carrière sera à l’hiver 2006, quand Ricardo lui fait signer un contrat pro aux Girondins pour occuper le quatrième rang dans la hiérarchie des gardiens. Six mois plus tard, il repart dans les clubs amateurs. Il effectuera son retour dans la réserve de Bordeaux en 2009, profitant de blessures et de départs. Il est aujourd’hui sixième gardien de l’équipe au scapulaire.

Réactions

  • Sue Oddo le 11/02/2011 à 01h48
    Sans vouloir remettre en cause la qualite de ces top 10 (Meme si celui la me passe en grande partie au dessus de la tete, n'ayant aucune idee de qui sont les 2/3 des mecs et de qui etait leur pere), je trouve que la proliferation des Top 10 tue un peu le top 10. J'ai l'impression d'en voir tomber un par semaine, ca nuit un peu au plaisir que j'y trouvais auparavant.

    A quand le top 10 des tops 10?

  • nominoe le 11/02/2011 à 02h16
    Certes, le fiston Vandenbergh ne marquera peut-être pas deux sextuplés en D1 belge ni ne remportera de C3 comme son paternel, mais il est quand même, à 27 ans seulement, le troisième meilleur buteur en activité du championnat belge (95 buts, derrière Sonck et Radzinski) et le 7ème buteur de la saison en cours.

  • Raspou le 11/02/2011 à 03h27
    A moins que j'ai raté un jeu de mots, ce qui est fort possible, il s'agit du "Pibe de Oro" et non du "Bibe".

    Et merci de m'avoir fait me souvenir du fils Genghini, dont on avait effectivement beaucoup parlé lors de son premier match...

  • Miklos Lendvai le 11/02/2011 à 07h34
    Sue Oddo, ton impression est bonne. Il tombe un top 10 par semaine depuis quelques mois.

  • Brian Cohen le 11/02/2011 à 08h07
    rectification pour le fils Genghini, c'est contre Rennes et pas contre Metz qu'il marque son nique but en L1.

  • Jean-Luc Skywalker le 11/02/2011 à 08h35
    Ça m'étonnerait que M. Pokora aurait préféré avoir la carrière de son père dont je n'ai jamais entendu parler. Il est quand même pote avec Gaël Monfils !

    Je trouve que le Top 10 hebdomadaire est une bonne idée, même si je ne les lit pas tous. "Trop de Top 10 tue le Top 10", j'ai vraiment lu ça ?

  • Gouffran_du_collier le 11/02/2011 à 08h48
    Puisqu'on aime la précision ici : à Larnaca, il serait pas directeur sportif plutôt que coach le fils Cruyff?

  • peter panderlecht le 11/02/2011 à 10h20
    Au niveau des fils de diables rouges des années 80, y a aussi koen Daerden actuellement au Standard,et le fils de Gerets qui a joué en Dender en D1 et D2.

  • Tonton Danijel le 11/02/2011 à 10h32
    Ben, les top 10 étaient tombés en désuétude, mais Miklos a accéléré la cadence et le forum est désormais riche en bon top 10 à écouler...

    Celui-ci est quand même un peu déséquilibré: certains joueurs n'ont pas percés en professionnel, d'autres (Jordi Cruyff notamment) ont eu une carrière correcte... Et il manque quelques noms dans cette liste non exhaustive (le fils Pelé a été plus célèbre pour ses démêlés avec la justice que pour ses performances sportives, le fils Platini n'a jamais convaincu au plus haut niveau)

  • Sens de la dérision le 11/02/2011 à 11h51
    Remarque 1 : j'ai reconnu M. Pokora dès la première photo. Avant d'avoir lu le petit texte, j'ai failli dire que l'auteur s'était trompé de photo... hum
    Remarque 2 : la plupart de ces joueurs ont commencé dans des clubs assez huppés avant de descendre petit à petit dans la hiérarchie. Comme quoi, même en football, un nom ça compte. Mais la réalité reprend vite la main.
    Remarque 3 : je ne fais pas souvent ce genre de remarques, mais le "Jordi Cruyff a toujours suivi son illustre père durant ça jeunesse. " m'a fortement piqué les yeux. En plus, il y a d'autres fautes...

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