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Top 10 : les stars de l'ESTAC

Gomis, Matuidi, Niang ou Loko, mais aussi Rothen, Benachour, Ziani ou Fiorèse: tous sont passés à Troyes, avec plus ou moins de bonheur pour la suite de leur carrière.

Auteur : Roy compte tout et Alain Paie rien le 2 Fev 2015

 

 

L'Espérance sportive de Troyes Aube Champagne, c'est ce petit club passé par tous les états depuis quinze ans: de promu en D1 à relégué en National en passant par vainqueur de l'Intertoto (si si). En dépit de ce parcours cahoteux et d'un prestige limité, quelques joueurs ô combien notables ont foulé la pelouse du Stade de l’Aube. Revue de cet affectif.

 


10. Nicolas Dehon

Il est peu de dire que Nicolas Dehon est plus connu pour son rôle dans le foot après sa carrière de joueur que pour sa carrière elle-même. En effet, si les amateurs de foot éclairés savent que Dehon fut entraîneur des gardiens à l'OM sous l'ère Deschamps et auparavant au sein du Paris-SG (en 2009-2010), plus rares sont ceux qui savent qu'il a effectué l'ensemble de sa carrière de gardien dans les cages de l'ATAC. De 1986 à 2000, Dehon est une vraie figure du club avec lequel il connaît six montées, de la Division d'honneur à la D1 à la fin de la saison 1998/1999.

 

Régulièrement en concurrence avec d'autres gardiens, (Olivier Tingry, Laurent Weber et Tony Heurtebis) il joue relativement peu en pro et sa saison 1999/00 sera sa dernière en tant que joueur. Alain Perrin l'incite alors à devenir l'entraîneur des gardiens de l'ESTAC. Après la descente du club en 2003 et ses ennuis avec la DNCG en 2004, Dehon part au Havre où il formera Steve Mandanda aux rigueurs du professionnalisme. Recruté par le PSG en 2009, il quitte le club après une seule saison pour rejoindre l'OM où Steve Mandanda le réclame à cor et à cris. Avec Dehon, Mandanda devient le deuxième gardien international français juste derrière Hugo Lloris et loin devant les autres. Quand la direction de l'OM se sépare de Deschamps, elle veut garder Dehon mais lui préfère quitter le club en même temps que le staff précédent. Un an plus tard, il retourne entraîner les portiers parisiens, poste qu’il occupe toujours aujourd’hui.

 

 

 

9 et 8. Selim Benachour et Laurent Leroy

Au mercato d'hiver 2003, l'ESTAC est bonne dernière de L1 avec seulement trois victoires lors de la phase aller. Jacky Bonnevay est licencié et le club part à la recherche de solutions pour ranimer une attaque à la peine. Baticle, Akrour et Goussé manquent cruellement d'efficacité et l'animation offensive générale est proche du néant. Au même moment, le Paris-SG de Luis cherche à donner du temps de jeu à Laurent Leroy qui revient de blessure ainsi qu'au jeune Selim Benachour, prometteur milieu de terrain offensif: les deux joueurs sont prêtés six mois. Mais leur arrivée, qui coïncide à peu près avec celle de Faruk Hadzibegic au poste d'entraîneur, n'aura pas l'effet escompté puisque les Aubois ne marquent que 16 points sur la phase retour, Benachour et Leroy ne jouant chacun qu'une dizaine de matches (2 buts pour Benachour).

 

Le club est relégué en L2 et les deux joueurs retournent au PSG où Luis s'est fait virer et est remplacé par Vahid Halilhodzic. Leroy en fait les frais et sa carrière en pro se termine quasiment là. Benachour reste deux saisons de plus et rend quelques services en coupes, notamment lors de la difficile saison 2004/05 qui s'achèvera par son départ. Il jouera ensuite au Portugal, en Russie, au Qatar et même à l'APOEL Nicosie, équivalent chypriote du Maribor Branik. Aujourd’hui, c’est en Iran qu’il monnaye ses talents.

 

 

 

7. Karim Ziani

Originaire de la région parisienne, Karim Ziani débute au Racing et échappe lui aussi aux recruteurs du Paris-SG. C'est à Troyes qu'il effectue sa formation à partir de 1998, avant d'intégrer l'équipe A d'Alain Perrin lors de la saison 2001/02. Après le départ de Perrin et de plusieurs cadres du milieu de terrain (dont Jérôme Rothen), Ziani commence à jouer plus régulièrement avec les pros. Réputé excellent technicien dans l'entrejeu, il ne surnage pas vraiment lors de la saison 2002/03 qui s'achève par la relégation. Il a un rôle-clef dans l'équipe, la saison suivante en L2, dispute 28 matches, mais l'ESTAC finit dans le ventre mou du classement. Jean-Marc Furlan nommé entraîneur, il l'envoie en prêt à Lorient.

 

Avec Christian Gourcuff, son profil technique est parfaitement exploité et il réalise une bonne saison qui lui vaut d'être définitivement transféré. Il est l'un des principaux artisans de la remontée des Merlus en L1 et auréolé du titre de meilleur joueur de L2, il file à Sochaux retrouver Alain Perrin, l'entraîneur de ses débuts. Une saison particulièrement pleine lui vaudra de signer à l'OM pour 8 millions d'euros. Au bout de deux saisons où les éclairs de génies ponctuent trop rarement les prestations anonymes, Ziani part à Wolfsburg (pour 7 millions d'euros) où il restera plus célèbre pour s'être battu à l'entraînement avec Edin Dzeko que pour ses performances sur le terrain. Après un bref passage en Turquie, il signe au Qatar en 2011, séduit par le challenge sportif.

 

 

 

6. Éric Roy

Le maintien en L1 obtenu de haute lutte en 1999/00, l'ESTAC se lance dans sa seconde saison au plus haut échelon national, dont la première partie sera d'une bien meilleure facture avec des prestations probantes contre les grosses équipes du moment: le PSG de Nico & Luis (un légendaire 5-3), Bordeaux, Auxerre et Monaco. À la pause hivernale, Alain Perrin émet le souhait de renforcer son équipe d'un milieu d'expérience. Éric Roy (trente-trois ans) est alors en difficulté à Sunderland après avoir fait les beaux jours de l'Olympique lyonnais et de l'Olympique de Marseille, club avec lequel il était allé en finale de la coupe de l'UEFA en 1999 avec la bande à Courbis (Pierre Issa, Hamada Jambay et Titi Camara).

 

Dans une équipe qui tourne de mieux en mieux autour d'un milieu Rothen-Celestini-Adam-Tourenne, Roy dispute 7 matches. Il permet à l'équipe de réaliser un bon parcours en Coupe de France, malgré une élimination par Amiens (alors en National) aux tirs aux buts en demies. En fin de saison, il part en Espagne où il se fera un peu oublier. De retour en France en 2002, il participera au brillant maintien de l'OGC Nice en L1 pour son retour dans l'élite, en formant avec Jacques "Pancho" Abardonado et José Cobos un axe défensif redoutable. Il met fin à sa carrière de joueur en 2004, puis occupera différents rôles au sein du Gym jusqu'à devenir entraîneur de l'équipe première en 2010, pour quelques mois.

 



5. Fabrice Fiorèse

Oui, c'est bien à l'ESTAC que Fabrice Fiorèse a terminé sa carrière de joueur. Plantons le décor immédiatement, son passage coïncide avec le plus gros échec sportif de l'histoire du club. Les mauvais esprits n’y verront pas qu’une simple coïncidence. Après une horrible saison 2004/05 à l'OM, Fiorèse est prêté d'abord au Qatar puis à Lorient avec pour seul fait d'armes un doublé contre le PSG en début de saison. Après deux saisons de prêts, il résilie son contrat avec Marseille et signe pour six mois à Amiens en L2. Il contribue au sauvetage de l'équipe, mais à l'intersaison le coach Ludovic Batelli est recruté par Troyes, club qui vient de rater de façon incroyable la montée en L1 (au profit de feu le Grenoble Foot 38) sous les ordres de Denis Troch, alias Big Moustache, le vrai et le seul. Fiorèse est dans les bagages de Batelli, il doit apporter un supplément d'âme à une équipe qui vient de se liquéfier.

 

Malheureusement, la seconde partie de la saison est catastrophique malgré un effectif de bonne qualité sur le papier et la grosse vingtaine de matches disputée par l'ancien Parisien. L'ESTAC, initialement programmée pour la montée, descend en National après une piteuse dix-neuvième place, et les prestations de Fiorèse sont faméliques, à tel point que les supporters pointent sa propension à passer ses soirées à Paris plutôt qu’à préparer professionnellement ses matches. La claque est énorme et entraîne de grands changements au sein et à la tête du club avec le départ de Thierry Gomez, remplacé par Daniel Masoni, l'actuel président à qui échoit l’immense tâche de reconstruire le club depuis le National.

 

 

 

4. Patrice Loko

Attaquant de grande qualité mais psychologiquement instable, Patrice Loko est sans doute passé à côté d’une grande carrière internationale. C’est aussi pour ça qu’il a joué à l’ESTAC lors de la saison 2001/02, la meilleure de l’histoire du club. Quand il arrive à Troyes, Loko a trente-et-un ans et le plus beau de sa carrière derrière lui. Peu utilisé à Paris par Artur Jorge au cours de la première moitié de la saison 1998-99, il rejoint le FC Lorient qui lutte contre la relégation et avec lequel il inscrit 9 buts dont 2 pour son premier match contre… le PSG. Lorient relégué, il rejoint Montpellier où il jouera une saison et demie avec une efficacité convenable (11 buts en 41 matches), mais plus inaperçue.

 

Après un bref épisode lyonnais, c’est donc à l’ESTAC que Loko signe pour la saison 2001/02. Il réalise une excellente saison avec 12 buts en 34 matches dont un doublé à l’aller de la mythique confrontation contre Leeds à Elland Road (perdue 4-2) au deuxième tour de la coupe de l’UEFA. L’ESTAC termine septième et se qualifie à nouveau pour l’Intertoto, mais Loko préférera retourner à Lorient, remonté en L1. Il y restera dix-huit mois avant de terminer sa carrière par une demi-saison à l’AC Ajaccio.

 

 

 

3. Mamadou Niang

Attaquant sénégalais révélé à Strasbourg puis à l’OM, c’est pourtant à l’ESTAC que Mamadou Niang a fait ses débuts en pro à l’orée des années 2000, encore et toujours sous l’ère Alain Perrin. Il est en fait le remplaçant des Boutal, Djukic, Loko ou Goussé et laisse le souvenir d’un attaquant plutôt maladroit devant le but. Pour l'auteur, jeune supporter candide à l’époque, une entrée de Niang en fin de match signifiait: "Rideau, on ne marquera pas/plus". Ses stats dans l’équipe A ne sont d’ailleurs pas mirobolantes, mais pas non plus immondes: 10 buts en 65 matches dont beaucoup comme remplaçant.

 

Niang s’annonce alors comme un attaquant moyen du foot français, mais son prêt à Metz sous les ordres de Jean Fernandez et son association avec Adebayor font remonter sa cote et il signe à Strasbourg pour la saison 2003/04. Pendant les six premiers mois, lui et Ljuboja font trembler les filets à de nombreuses reprises avant que le Serbe ne soit recruté par le PSG. Niang est moins efficace par la suite mais retrouve un redoutable compagnon d’attaque la saison suivante en la personne de Mickael Pagis. À l’issue de cette saison marquée par une victoire en Coupe de la Ligue, Niang a marqué 15 buts toutes compétitions confondues et rejoint l’OM où il retrouve Jean Fernandez.

 

 

 

2. Bafétimbi Gomis

Que dire qui n’ait déjà été dit ou écrit sur Bafétimbi Gomis, attaquant aussi célèbre pour ses ratés devant le but que pour ses attentats capillo-stylistiques. Un jour, on le reconnaîtra, ce gars est quand même un excellent attaquant doué d’un état d’esprit irréprochable. Les plus puristes pourront néanmoins, c’est vrai, lui reprocher son passage de l’ASSE à l’OL. En effet, il est formé à Saint-Étienne et il doit sa présence dans ce top à six mois passés à l’ESTAC en 2005. Bafé n’a alors que dix-huit ans et n’est là que pour finir sa formation et grappiller un peu de temps de jeu. L’ESTAC de Jean-Marc Furlan est alors en lice pour la montée et sa ligne d’attaque trustée par Sébastien Grax, Nicolas Florentin ou l’argentin Emmanuel Perrone. Gomis joue tout de même 13 matches de janvier à juin 2005 et marque 6 buts – la plupart sont décisifs et rapportent de précieux points.

 

La montée obtenue, le jeune Bafé retourne cirer le banc à Saint-Étienne avant de jouer plus régulièrement à partir de 2006/07. Les buts commencent à s’empiler et il remet au gout du jour la célébration de la panthère, mise à l’honneur par l’attaquant stéphanois Alex lors d’une mémorable fessée administrée à l’OM au début des années 2000. Après plusieurs mini-bouderies/bras de fer avec ses dirigeants, Gomis rejoint Lyon à l’été 2009. Il aura marqué 49 buts en 165 matches avec les Verts, il en marquera 95 en 241 matches à l’OL.

 

 

 

1. Blaise Matuidi

Fan d’Okocha durant sa jeunesse en région parisienne, il rejoint l’ESTAC à l’âge de quinze ans où il est systématiquement surclassé. Il fait ses débuts professionnels à dix-sept ans en 2004, et même s’il joue très peu il impressionne Jean-Marc Furlan qui compte beaucoup sur lui dans le futur. Promu en L1 pour la saison 2005/06, l’équipe se maintient et Matuidi dispute une trentaine de matches. Même chose la saison suivante qui se termine par une descente.

 

À moins de vingt ans, Blaise a démontré qu’il avait le niveau pour rejoindre et jouer dans les bons clubs de L1, et c’est Saint-Étienne qui flaire le bon coup. Matuidi y passe quatre saisons, y dispute la Coupe de l’UEFA et reçoit le trophée de meilleur joueur du club en 2011. Le PSG de Kombouaré décide de le recruter pour 10 millions d’euros plus Jérémy Clément, dans la première vague des recrutements QSI. Initialement peu désiré par les dirigeants, Matuidi s’impose comme un joueur clef de l’effectif parisien malgré plusieurs blessures et les changements de coach. Les arrivées de Motta, Verratti ou Cabaye ne remettent pas en cause sa place dans l’entrejeu ce qui lui vaut de rejoindre l’équipe de France en 2010. Un peu émoussé, Matuidi est un peu moins tranchant au début de la saison 2014/15, mais gageons qu’il retrouvera la forme pour devenir le premier joueur formé à Troyes à gagner la Ligue des champions.

 


Incroyable mais vrai, ni Gravelaine, ni Kaba Diawara ni même Stéphane Dalmat n’ont joué à l’ESTAC, probablement l’un des seuls clubs pro français n’ayant accueilli aucun des trois derniers nommés.
 

Réactions

  • magnus le 02/02/2015 à 12h04
    Rothen est mentionné dans le chapeau comme les autres mais n'a pas de fiche, un oubli? C'est quand même avec Matuidi le plus bel exemple de révélation puis de confirmation dans un autre club mieux placé.

    Et une pensée à Bradja, Amzine ou encore Hamed qui eux ont surtout existé à Troyes.

  • mr.suaudeau le 02/02/2015 à 12h10
    Si tu me le permets magnus, je remplace Amzine l'Alsacien par ce bon vieux Edouard Thomas.

    Merci les gars pour cet appel à la nostalgie. Ce club sous Alain Perrin, c'était tout simplement l'effectif qui me plaisait le plus : très cohérent, en progression constante, avec toujours la bonne proportion entre anciens encore bons pour le service et pépites de D1/D2 au potentiel certifié. L'effectif récupéré par Jacky Bonnevay manquait de tauliers sur le papier mais restait un énorme vivier de gros talents. Dommage qu'ils n'aient pas réussi à se maintenir au moins une saison.

    Une question pour finir : Roy compte tout et Alain paie rien seraient-ils connus par ici sous des pseudonymes évoquant pour l'un deux célèbres écureuils et pour l'autre un Portugais fan de NIN?

  • balashov22 le 02/02/2015 à 12h24
    Sauf erreur, Lyon a donc un point commun avec Troyes en dehors d'avoir été entraîné par Alain Perrin : l'absence dans son effectif des trois globe-trotters mentionnés en fin d'article.

  • Portnaouac le 02/02/2015 à 13h23
    C'est à la lecture de ce genre d'article que l'on prend conscience de l'ampleur de la mainmise du Qatar sur le football français.

    En effet, comment pourrait-on expliquer autrement que par des pressions "amicales" des grands argentiers de la L1, l'absence dans ce texte de toute référence à l'arnaque dite "du Blaise", qui vit l'ESTAC honteusement spoliée d'une partie de son dû (au titre du pourcentage sur la revente), par les manoeuvres éhontées de deux clubs qui se voudraient "phare" de la L1 mais qui, lorsque l'occasion leur en fut donnée, n'hésitèrent pas longtemps avant d'arnaquer bien plus pauvre qu'eux ?

    La pudeur m'a toujours interdit d'en parler sur ces pages ; peut-être une petite allusion a pu m'échapper (bien contre mon gré d'ailleurs) ici ou là, lorsque j'étais de passage sur le fil Vert mais jamais rien de volontaire.

    N'empêche que cet article aurait pu s'en faire, un peu moins discrètement, l'écho...

    (mais c'était très bien sinon)

  • mr.suaudeau le 02/02/2015 à 14h25
    Portnaouac je te coupe : Blaise Kouassi n'a jamais joué à Saint-Etienne. Quant à Guingamp, ils ne se sont jamais prétendus un phare de la L1, bien qu'ils le soient devenus cette saison malgré eux en coupe d'Europe.

  • Roy compte tout et Alain paie rien le 02/02/2015 à 21h01
    En fait au départ, l'idée de ce texte était de rappeler à tous (à la manière d'un CJP interpellant Bixente un soir de match sur TF1) que certains mecs avaient joué à l'ESTAC, d'où l'absence de très bons joueurs qui ont surtout existé à l'ESTAC et moins ailleurs, dont bien entendu les Bradja, Hamed et autres Heurtebis. Rothen ne pouvait pas en être car tout le monde, enfin tous les cédéfistes, savent que c'est l'ESTAC qui l'a révélé. Je voulais vraiment revenir sur des trucs probablement un peu moins connus. Branko Boskovic aurait pu en être mais mon tropisme qataro-parisien aurait été dénoncé par la critique !
    D'où un intéressant mix de vrais bons joueurs et de fausse vomissure footballistique dans ce top.

    En tout cas je suis fier que la rédac ait décidé de publier ce petit billet qui faisait office de présentation et que j'ai mis pas mal de temps à terminer. C'est un beau cadeau de bienvenue !


  • Portnaouac le 02/02/2015 à 21h44
    D'accord, c'est bien joli tout ça, mais ça n'explique pas pourquoi tu demeures taisant sur LE scandale ; pressions ? craintes ? censure ?

  • mr.suaudeau le 02/02/2015 à 21h51
    Ah mince, un nouveau... J'étais persuadé que ce top était l'oeuvre de la mafia troyenne Ethique Estac feat. Maniche Nails. Mille excuses Roy et bienvenue!

  • Roy compte tout et Alain paie rien le 02/02/2015 à 22h35
    Portnaouac : mallettes !

  • Maniche Nails le 02/02/2015 à 22h49
    lien
    aujourd'hui à 21h51

    Ah mince, un nouveau... J'étais persuadé que ce top était l'oeuvre de la mafia troyenne Ethique Estac feat. Maniche Nails. Mille excuses Roy et bienvenue!

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    Hihi !
    Bienvenue à toi Roy, une contingent aubois qui aura fière allure l'an prochain en L1. Ta chronologie correspond à peu près aux années où j'ai le plus suivi le club ; entre autres souvenirs qui me parlent, celui d'un Niang effectivement horripilant de maladresse : ce Troyes - Nantes (0-0) d'août 2001 en tribune virage, un cauchemar esthétique encore aujourd'hui.

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