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Tout noir ou tout bleu ?

De quelle couleur est l'horizon de l'équipe de France à l'issue du premier tour? Deux théories s'affrontent...
le 22 Juin 2004

 

On ne sait pas précisément ce qui s'est dit à l'intérieur du groupe ces derniers jours, même si les plus fins limiers et les plus grands oracles de la presse spécialisée ont étudié et interprété les fuites avec toute l'énergie nécessaire à cette mission régalienne. Toujours est-il que l'équipe alignée à Coimbra a présenté des modifications sensibles de son dispositif. Ce sont d'abord Lizarazu et Sagnol qui ont réinvesti en spécialistes les postes de latéraux, flanquant une prévisible charnière Silvestre-Thuram. Surtout, le parti pris axial de Zidane a été clairement assumé, Pires glissant à gauche dans son registre d'Arsenal, en théorie sur la même ligne que Makelele, axial, et Vieira, décalé à droite. Mais au-delà des aspects tactiques de France-Suisse, quelles sont les perspectives de l'équipe de France au terme de ces trois journées? La nalyse pessimiste : un brouet tactique La médiocrité de l'expression française durant une bonne heure est venue condamner ces ajustements encore plus durement que les lacunes constatées lors des deux premiers matches. Le dispositif réformé est resté informe, se démarquant finalement très peu du 4-4-2 originel, continuant à pencher à gauche (Vieira restant très axial) et ménageant beaucoup d'espaces entre les lignes. Le flanc droit a été quasiment déserté, même si Sagnol, en solo, a ajusté de bons centres. Constat identique à gauche avec une absence tout aussi flagrante de débordements, Pires plaçant ses meilleures actions en repiquant et Lizarazu s'offrant sa meilleure action — et une belle occasion — en perçant dans l'axe. Autre indice de la désorganisation: Zidane s'est parfois retrouvé plus bas que Vieira, alors qu'il aurait dû au contraire se placer au plus près des attaquants (si l'on a bien compris la problématique de départ). Le Madrilène ne fait plus de différences individuelles et même requalifié en numéro 10, il ne parvient pas à donner une impulsion significative dans l'organisation du jeu: de ce point de vue, il reste dans la lancée d'une des plus mauvaises saisons de sa carrière. Évidemment, les circonstances particulières de ce dernier match de poules — avec ses enjeux distordus par les calculs — et la nécessité de faire sortir les Suisses pour mieux libérer des espaces expliquent en partie certaines "anomalies", comme le manque d'agressivité des milieux récupérateurs ou le pressing souvent inexistant de Zidane et Pires. En revanche, la faiblesse des transmissions, le déficit d'occasions, le manque d'impact physique et la criante absence de créativité ont confirmé que l'équipe de France n'est décidément pas au sommet de sa forme. Pour ne rien arranger, on ne sait plus trop qui a le pouvoir au sein du groupe, celui de Santini paraissant fragilisé par les remises en cause d'une partie des cadres, voire par son statut de responsable en sursis — un terrain idéal pour que les dissensions se développent. A en juger par la tête tirée par le sélectionneur en début de seconde mi-temps, l'autogestion des joueurs n'a pas franchement exaucé ses vœux, et on ne voit plus trop où lui-même veut en venir: après avoir, pendant deux ans, imposé un système immuable, il accepte des improvisations étonnantes, qui conduisent à une désorganisation assez peu productive. Le "bloc-équipe" cher à Jacquet a volé en éclats, l'absence de leader tactique sur le terrain reste flagrante, et les individualités peinent à faire la différence. Résultat, les enchaînements sont rares, les attaquants restent isolés et peu mobiles et l'écart de niveau avec les Italiens, les Tchèques ou les Suédois est de plus en plus manifeste... Les leaders techniques de l'équipe de France continuent de décevoir, compromettant une expression collective elle-même rendue improbable par des options tactiques illisibles. On voit alors mal comment cette équipe pourra se réinventer dans le laps de temps qui lui reste. Le moment est venu de ne plus se nourrir d'illusions et de se préparer à un retour à l'ordinaire. La nalyse optimiste : à bon port, salut ! On n'a donc pas fini de gloser sur ce qui ne tourne plus rond dans cette équipe: le système tactique en vrac, les individualités en méforme, l'entraîneur dépassé, le capital athlétique entamé... Le front uni des défaitistes et des pessimistes va pouvoir encore s'en donner à cœur joie dans les jours qui viennent en égrenant tous les chapitres de la mise en accusation. Ils ont en effet de l'eau à leur moulin. L'hypothèse de la montée en puissance au cours des rencontres du groupe B a fait long feu. Après l'adrénaline du final de France-Angleterre, les Bleus n'ont pu que confirmer des atermoiements récurrents. Mais là encore, le paradoxe règne, car Henry et Zidane ont fait office de sauveurs, faisant aussi honneur à leur statut. On notera aussi que les Tricolores ont su trois fois redresser le fil de matches compromis, et qu'ils ont réussi à prendre l'ascendant sur leurs adversaires en fin de match, terminés sur un rythme élevé: voilà qui modère les doutes légitimes sur leur état physique et leur niveau de détermination. Ils possèdent au moins deux qualités essentielles pour la suite: ce qu'il est convenu d'appeler de la patience (même si elle met la nôtre à rude épreuve), et une capacité certaine à faire plier l'adversaire au terme de l'épreuve de force. S'ils parviennent enfin à éviter de commettre de bêtes erreurs individuelles, payées cash à chaque fois, ils se mettront automatiquement dans de meilleures dispositions. De même, ils n'ont pas perdu du jour au lendemain leur capacité à produire des enchaînements fructueux, même s'il devient beaucoup plus difficile de les réussir face à des équipes regroupées, qui placent toutes leurs ambitions dans leurs contres. Les deux derniers buts inscrits à Coimbra — sur des actions de jeu — peuvent faire office de déclic, et les difficultés subies dans ce premier tour s'avérer de précieux atouts sur le plan moral. Au-delà des difficultés rencontrées, la France a largement rempli sa mission avec deux victoires et un match nul — un bilan plus qu'honorable (quelles que soient les circonstances) que d'autres ténors n'auront pas atteint en fin de semaine. Dans ce pays, on a trop longtemps voué une admiration sans réserve à des équipes qui brillaient par leur efficacité sans charme pour dénigrer aujourd'hui une équipe de France qui s'en est — finalement — très bien sorti. Il faudrait par ailleurs être amnésique pour oublier qu'elle n'a jamais acquis ses succès sans beaucoup nous faire souffrir... Bien sûr, il faut admettre qu'elle n'offre pas des garanties très grandes pour son immédiat avenir. Mais, outre la satisfaction de la qualification pour le quart de finale, les Bleus peuvent, et nous avec, se payer une nouvelle ligne de crédit à la banque de l'optimisme. Zidane décisif, Henry efficace, Pires retrouvé, la Grèce en ligne de mire, quelques jours pour tout remettre à plat... Tout ne va pas si mal, et désormais, tout sera de toute façon remis en jeu à chaque coup d'envoi.

Réactions

  • hobbes le 22/06/2004 à 04h15
    Mouaifff, ils ne se mouillent pas trop les CdF...quoi qu'il arrive ils pourront toujours nous ressortir le coup du:"on vous l'avez bien dit..."
    ;-)

  • hobbes le 22/06/2004 à 04h23
    ha oui j'oubliais: BRAVO aux bleus quand meme...

  • inpaname le 22/06/2004 à 06h07
    Il y a un aspect faussement analytique peut être, qui de plus dans cette équipe de France ne revêt pas une importance capitale vu le talent et l’expérience de tous ses joueurs, observé durant le match Suisse - France et qui rejoint en partie l’article critique du dernier numéro papier des « Cahiers du Football » concernant ces footballeurs qui, marquant un but, ne pensent plus qu’à sprinter et aller s’agiter vers le plus proche piquet de corner ou se dresser le doigt fièrement levé vers les tribunes. Dans certains cas, ceci s’apparente à du folklore mais dans d’autres c’est vraiment à se demander si les marques de chaussures qui claquent des millions en droits d’image pour s’attacher les services des plus grandes stars du ballon rond ne donnent pas des consignes à ces dernières pour qu’elles s’affichent avec la meilleure visibilité possible après une action d’éclat. Un accord tacite régnant entre les joueurs pour ne pas comme le disaient les « Cahiers » dans leur article, « abîmer la mise en pli d’un partenaire en se ruant sur lui » ou le gêner voire carrément le stopper dans cette course victorieuse captée par l’œil alerte des caméras et des téléobjectifs. Ce dernier argument est peut être léger… mais alors dans le cas où il ne serait pas plausible, reste encore la possibilité que cette auto satisfaction démontrée des joueurs prenne aujourd’hui - et c’est très dommage - une bien plus grande importance que l’esprit d’équipe et la joie partagée. Ainsi, pourquoi après son but, mister Thierry Henri ne prend même pas (ou plus) la peine de revenir vers Luis Saha qui lui offre quand même une déviation parfaite de la tête pour débloquer une situation plutôt critique à cet instant du match (qualification « acquise » mais dernier quart d’heure à venir ultra-dangereux). Sur son deuxième but, « Titi » réalise un exploit individuel qui lui permettrait encore toutes les courses possibles et tous les doigts levés vers le ciel… sauf qu’au départ de celle-ci, le numéro 12 des Bleus esquive complètement ce même Saha (d’un crochet rugbyesque) qui, lui, aurait sans doute préféré lui sauter dans les bras. Henry n’avait hier soir et depuis le début de cet Euro qu’une idée en tête : marquer. Il a non sans mal réussit à le faire. J’aurai trouvé plus élégant qu’il célèbre ses buts avec celui qui lui a permis de débloquer son compteur, avec celui qui était le plus proche de lui sur le second. De ne pas s’épancher dans une longue course en évitant de la sorte son coéquipier. Au terme de la rencontre, les caméras n’ont pas lâché Henry. Intéressant encore de constater que les accolades n’ont pas toujours été des plus chaleureuses, notamment celle avec Thuram sur le bord du terrain. Bref, peut être que c’est anecdotique, que je focalise sur des gestes anodins, captés derrière ma TV, que je fais un fromage d’une histoire suisse qui n’a plus trop d’importance, mais peut être aussi que cela stigmatise un état d’esprit perdu chez nos Bleus. Ou alors cela confirme que l’ego surdimensionné des joueurs Français n’est vraiment plus à démontrer. Ou qu’on a bien comme le disait un forumer, beaucoup trop de mercenaires et d’individualistes doués mais gâtés dans l’équipe de France pour laquelle on vibre pourtant et que ce type de geste vient symboliquement le rappeler. A quand la fraîcheur d’un (autre) Henry comme en 98 après ses buts, les larmes d’un Trézéguet sur le bord de la touche ? Enfin bref, moi j’aimerai une bonne chenille, des pagaies, des sourires radieux à la Goran Vlaovic après son but contre l’Allemagne en 1998, pas des attitudes blasées et faussement modestes après un but ou une victoire.

  • Oook le 22/06/2004 à 08h26
    De là à réclamer des pagaies, je dis : "STOP!". On ne peut pas tout accepter...

  • maxence le 22/06/2004 à 09h22
    Comme en 2002 !!! Franchement à regarder cette équipe de France les fantômes de la Corée reviennent : joueurs perdus sur le terrain, manque d'agressivité, passes mal assurées, fébrilité générale, etc. La seule différence c'est la réussite (énorme différence c'est vrai). Les points communs : il manque Deschamps/Blanc pour recadrer les troupes sur le terrain, la présence d'un coach autiste à ce qui se passe. Santini comme Lemerre sont bloqués dans leurs choix tactiques et ne prennent pas en compte les circonstances (blessure de Pires et de Zidane dans un cas ; inefficassité et prévisibilité du 4-4-2 dans l'autre).
    Autant, il était pertinent de jouer en 4-4-2 classique pendant les éliminatoires permettant aux joueurs débarquant de leurs championnats respectifs de s'adapter rapidement, autant lors d'une phase finale il est nécessaire de s'adapter aux adversaires et aux circonstances en proposant plusieurs alternatives. A quoi servent les matchs de préparation et les stages si c'est pour jouer toujours de la même manière. Avec les 23 joueurs dont il dispose, Santini pourrait faire varier les formules pour troubler les adversaires (sinon à quoi servent entre autres Rothen, Govou et Pedretti ????). Le meilleur exemple est l'entraîneur tchèque capable de changer de système au bout de 20 minutes de matchs.
    Alors que faire maintenant ?? Tous les spécialistes qui s'expriment veulent que le système change (4-2-3-1 notamment) alors que Santini reste bloqué sur ses idées. Etant donné le manque d'assise défensive, moi je bétonnerai le milieu en rajoutant Pedretti (qui lui au moins sait faire des passes). De plus la double blessure de Sagnol/Gallas risquent de repousser Thuram à droite et de faire rentrer une charnière Desailly-Sylvestre : on en frémit d'avance....

  • SNOOPY le 22/06/2004 à 10h37
    Télérama copie les Cdf, les Cdf copient Télérama au jeu du "j'aime/j'aime pas"… Révélateur quand même de la difficulté à appréhender les prestations de cette équipe de France… On a trop longtemps souffert de ces équipes brillantes mais incapables de remporter un match décisif pour cracher dans la soupe : ne dit-on pas que seules les grandes équipes peuvent gagner sans bien jouer ? Oui mais on dit tout et son contraire au gré des circonstances :-)
    Résultat le plus désagréable au réveil : Vincent Duluc peut à nouveau jouer au donneur de leçons et jouer les Cassandre en promettant les 7 plaies d'Egypte contre la Grèce dans notre unique quotidien sportif national. Selon moi, la seule chose un peu inquiétante sur ce match, c'est une inhabituelle fébrilité défensive qui se prolonge après France-Croatie. Quant à Zidane… On a vraiment l'impression qu'il déstabilise autant sa propre équipe que les adversaires : combien de passes ratées à cause de coéquipiers qui ne "lisent" pas son jeu ? Et quoiqu'on pense de Thierry Henry et de son melon, ses 2 buts dans le dernier quart d'heure montrent bien à quel point la Suisse n'était pas au niveau.
    Enfin, Palme d'Or toutes catégories confondues de l'insupportabilité à JM Larqué, qui attendait impatiemment une défaite sur l'air du "j'vous l'avais bien dit"… Wenger, souvent pris à témoin, avait de plus en plus de mal à lui répondre et même TR semblait fatigué de tant d'acharnement. Bref, un match à oublier de toutes façons, les choses sérieuses ne commencent que maintenant.

  • obiwan le 22/06/2004 à 11h11
    Eh be inpaname, quand tu t'y mets!!! du grand n importe quoi!
    1) Zidane reagit toujours comme ca apres ses buts et moi je trouve ca tres drole
    2) Henry, Apres son 1e but fait clairement un signe pour remercier saha, et l'invit a la p'tite course avec lui... bon saha est pas chaud alors il veut pas se claquer
    3) le 2e but d'henry, ben il le met tout seul non, alors dans ces cas la il a pas le droit de faire ce qu il veut??

    Bon pour en revenir a l'article je signe des deux mains pour la nalyse optimiste mais je dois reconnaitre que la pessimiste fait peur... et que penser de zidane, pas franchement zidanesque depuis le debut de l'euro mais avec finalement 3 buts (ouais meme 4 si ils en donnent 4 a ce con de rooney), que peut on dire: pourvu que ca continue?
    Enfin la defense: gros match de thuram et liza, bonne entre de gallas, par contre encore une boulette de sylvestre!!! va t on enfin mettre boumsong??

  • obiwan le 22/06/2004 à 11h14
    quant aux gars qui piquent des sprints de 100 m apres un but plutot que de sauter dans les bras du premier coequipier venu ca existe depuis la nuit des temps... et je trouve meme ca normal (decharge d'adrenaline?)

  • LokomotivDallas le 22/06/2004 à 11h59
    moi je suis pas si pessimiste que ça.
    je voulais écrire que contrairemet à ce que j'écrivais hier les suisses m'ont agréablement surpris par leur jeu. il leur manquent encore une certaine dimension mais il abordent la question dans le bon sens pour leur euro 2008. maintenant il leur faut de la continuité.
    pour l'EdF, c'est vrai qu'il se sont compliqué le match à 1-1 mais faut pas oublier que ça aurait pu être la branlée pour les suisses si l'EdF avait rajouté un 2e but lors de son ultra domination avant l'égalisation.
    c'est sur que l'EdF ne doit plus faire bien peur à ses adversaires mais en définitive c'est pê un bien, ça les amènera à mieux se livrer.
    le souci c'est l'inéfficacité devant, Henry à loupé de super occsas et Trez a bien du mal à se mettre deans le bon sens. à ce titre la rentrée de Saha nous a apporté qque chose, c'est ptet à méditer pour la suite.
    que ce soit un peut le bordel derrière ma foi ça ne m'inquite qu'à moitié, on a constaté ^que notre super organisation de départ était facilement déjouée, alors... ce qui est dommage c'est que Jacquot n'ait pas profité de la préparation pour plancher sur ce bordel alternatif.
    ce ne sont pas les grecs qui vont nous sortir, c'ets une bonne équipe mais ils manquent de talent pour prendre les choese à leur compte. et comme on doute trop de notre jeu pour qu'ils s'adossent dessus, le vrai challenge sera les 1/2 finales. à ce stade je préfèrerai éviter les scadinaves et tchèques pour tomber sur des équipes affublées du m^me marasme que nous (l'allemengne pour se venger de 82/86 ?).
    finalement les périodes de doutes c'est super intéressant, il y a plein de portes à ouvrir devant soi, faut prendre des initiatives. vous ne le voyez pas comme ça ?

  • Dero le 22/06/2004 à 12h18
    hobbes - mardi 22 juin 2004 - 04h15
    Mouaifff, ils ne se mouillent pas trop les CdF...quoi qu'il arrive ils pourront toujours nous ressortir le coup du:"on vous l'avez bien dit..."



    >>Perso, si les CdF nous sortent : "on vous l'avez bien dit...", je serai déçu déçu déçu...

La revue des Cahiers du football