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Une victoire et un enterrement

Faudra-t-il aussi faire le deuil de matches amicaux parfois chiants comme la mort? La France bat l'Angleterre après une bonne séance de travail... • Béton désarmé Les garsThe guys Makelele, l'énergie renouvelableLa grande misère du SdF Les observations en vracLe match vu du forum.
le 27 Mars 2008

 

Une victoire "par le plus petit des écarts", au terme d'un match fermé sur le plan tactique, opposant des joueurs ayant d'autres chats à fouetter et un physique à préserver... Voilà donc tout ce que pouvait nous offrir une affiche pourtant prestigieuse, loin des émotions de 1999 ou 2004, loin de ce qu'elle recelait de promesses compte tenu des forces en présence. Depuis quelques années, les matches amicaux laissent une fréquente impression de gâchis, essentiellement parce que les joueurs ne peuvent plus y investir assez de motivation pour que le produit soit à l'aune de l'emballage.

Il ne nous reste donc, souvent, que des ersatz de matches, des reproductions assez ressemblantes dont le contenu comprend le "respect des fondamentaux": sérieux tactique, engagement syndical et même tentatives de marquer. Le match de gala se transforme en entraînement grandeur nature, et ceux qui veulent supprimer ces rencontres – aux premières loges s'agissant du consultant de TF1 – y glanent des arguments faciles.


Béton désarmé

La défaite contre l'Espagne est presque plus probante que cette victoire, mais son principal intérêt réside pour les Bleus dans l'exercice tactique auquel ils se sont astreints. Comme leurs adversaires, ils peuvent en effet se féliciter de leur "mise en place", en particulier (voire exclusivement) sur le plan défensif. La part d'initiatives laissée aux Rouges a été mince et s'est résumée à des attaques plutôt convenues, sans réel danger pour Coupet. La défense française n'a pas trop souffert sur les coups de pied arrêtés et elle a dominé les débats dans les airs, tandis que la "charnière du milieu" assurait devant elle un nettoyage efficace... Encore une fois, au prix d'une animation offensive aléatoire, confiée à l'espoir d'un éclat individuel ou d'une combinaison enfin aboutie.

Rien de suffisant pour tirer des conclusions alarmistes, même si les Bleus ont reculé et abandonné la balle aux Anglais durant les cinq minutes très difficiles qui ont précédé... l'ouverture du score. On a tout de même vu les phases de jeu sur lesquelles ils comptent pour faire la différence, avec des enchaînements de passes rapides pour aller ensemble de l'avant.
Le regret est en effet que l'essentiel du jeu s'est déroulé entre les six de derrière, sans véritable idée pour aller de l'avant, sinon de manière sporadique. Les Tricolores peuvent ainsi se prévaloir d'avoir mené des attaques plus tranchantes que leurs adversaires, sans être parvenus à assurer une présence très marquante devant le but de James. L'avantage acquis n'a pas contribué à les sortir de leur approche très gestionnaire – et finalement efficace. En données corrigées des variations saisonnières de la motivation, l'impression est plutôt bonne. Pour le spectacle, on repassera.



lescott_alien.jpg
Si Brice Hortefeux voulait expulser Lescott dans son pays, il devrait affréter un vaisseau spacial.


Les gars

Astreint à une concentration permanente, Coupet n'a pas eu d'exploit à réaliser, juste des missions de base à remplir. À l'image d'une sortie juste devant Downing (57e).

Gallas et Thuram ont livré un match homogène, jouant alternativement de leur placement et de leur puissance pour s'imposer. Le premier a récupéré l'erreur du second en pleine surface (84e).
Probablement conscient que les statistiques de blessures de Sagnol lui laissent une belle chance de disputer l'Euro, Clerc a été volontariste, prenant le risque de rater certains gestes mais aussi celui de réussir son ouverture pour Anelka. Toujours un peu désordonné, Abidal a effectué son match habituel, sans éclats.

Conformément au "volume de jeu" qu'on attend d'eux, Toulalan et Makelele ont montré une complémentarité confinant parfois au mimétisme et assuré une ralative pacification de l'entrejeu. Mais ni l'un ni l'autre n'a réussi à être dangereux dans les remontées de balle, rappelant l'intérêt d'un Vieira au meilleur de sa forme.

Toujours un peu énervant, Malouda a interprété une partition classique, laissant des impressions contradictoires. Il a porté le danger à plusieurs reprises aux abords du but adverse (une belle position dans l'axe pour un tir trop croisé, à la 51e minute), mais de manière trop intermittente.
Ayant beaucoup tenté balle au pied, comme à son habitude, Ribéry a aussi perdu quelques ballons qui altèrent son bilan: il n'a finalement été décisif qu'en transformant le penalty. Mais il a mis de la vie dans un match qui en avait besoin.

Déterminé à décrocher et à se déporter sur les côtés, Anelka a fait un peu de spectacle (deux talonnades, quelques esquives gracieuses) et provoqué l'ouverture du score. Il a surtout fait son possible pour animer l'attaque, se procurant sa première et seule véritable occasion dès la 8e minute, se montrant ensuite plus dangereux par ses remises, sans toutefois trouver la bonne distance avec un Trezeguet qui a erré comme une âme en peine entre les lignes.



The Guys

Ce n’est pas encore sur ce coup que James va faire mentir une réputation pourtant injuste au regard de ce qu’il démontre depuis deux ans en club. Une sortie effarante de légèreté, et plus rien à faire par la suite.

On comprend mieux que MU ne veuille pas prolonger Brown. Son festival de placements hasardeux et de gestes techniques douteux peuvent seulement s’estimer heureux de n’avoir pas trouvé un adversaire direct plus joueur. Johnson, au même poste, s’est juste contenté d’être moins voyant. De l’autre côté, on ne désespère pas que quelqu’un réussisse un jour à expliquer à As. Cole qu’on ne peut pas se contenter de balancer le ballon devant soi en courant très vite pour être un latéral  international.
Performance contrastée pour la charnière, tout en contrôle faussement facile pour un Ferdinand qui s’est régalé de l’incapacité française à s’amuser avec Trézéguet, un tourment étonnamment constant dans la fixation d’un Anelka il est vrai de gala pour un Terry visiblement en manque d’agressivité et de rapidité, et sortant précocement pour un Lescott moins nerveux qu’à son habitude.

Longtemps, les Anglais ont laissé l’impression de contrôler ce match à partir de l’entonnoir de l’axe, et la performance, certes un peu déclinante en deuxième période, du roquet Hargreaves et surtout d’un Gareth Barry une nouvelle fois toulalien. Il fit plus que compenser l’absence de Lampard, et semble en plus se conconcter une jolie capacité de relance. L’Anglais du match.

Joe Cole avait visiblement très envie de provoquer balle au pied, mais il s’est rapidement éteint après avoir tout raté du fait de la présence constante de 723 adversaires dans sa zone. Remplacé par Downing qui, s’il a tenté d’offrir des solutions offensives, s’est surtout signalé par un ratio parfait de centres risibles.
Il ne court plus guère, n’arrive plus à défendre sur des joueurs trop rapides (Ribéry), mais la qualité de ses coups de patte et sa vision du jeu, même épisodiques, ont rappelé au Stade de France pourquoi David Beckham est devenu un des cinq Centurions de l’histoire du football britannique. Et tout le chemin qui reste à parcourir à Bentley (largement plus timoré que face à la Suisse) pour pouvoir lui être un jour légitimement comparé.

Un match joué sur une absence de rythme par vingt-deux joueurs obsessionnellement axiaux est probablement la moins bonne disposition pour un Gerrard une fois de plus à cent lieues de ses performances en club, même si ses intentions de se projeter rapidement vers l’avant étaient louables. La faute, également, à une absence de complémentarité flagrante avec un Rooney dont le positionnement en attaquant isolé est décidément la pire configuration possible – même s’il a parfois tenté de faire valoir sa protection de balle et sa technique du raffut. Expérience bizarre, donc, de la part de Capello, mais pas aussi surréaliste que l’association Crouch-Owen (l’envie des deux n’étant pas en cause), qui n’a valu que par sa manipulation de l’ironie postmoderne du paradoxe décadent (déviation de la tête du petit Geordie pour une reprise en demi-volée à 25 mètres du géant liverpuldien).



fra_ang_makelele.jpgMakelele, l'énergie renouvelable

Passer un match entier avec les yeux braqués sur Claude Makelele reste une expérience incomparable. Aucune réelle surprise ne se dégage de ce marquage visuel à la culotte. Ballon après ballon, on assiste à une partition somme toute prévisible, mais la sobriété de l’interprétation épate encore.
Au-delà des statistiques, époustouflantes – cinq ballons perdus pour près de soixante transmissions assurées, quatre duels abandonnés aux Anglais contre une vingtaine d’interceptions selon nos relevés –, l’aisance qui se dégage de son activité ne repose pas sur une débauche athlétique, mais plutôt sur une lecture du jeu qui frôle la perfection. Elle lui permet de faire un nombre infinitésimal d’erreurs dans ses choix, le plus souvent en jouant court mais sans délaisser un jeu long pertinent et d’une grande précision. Elle lui offre surtout une variété de déplacements particulièrement intelligents, trouvant sans cesse un nouvel intervalle à occuper, aussi bien pour venir couper le déploiement offensif adverse que pour se rendre disponible auprès de ses coéquipiers.
De sorte, il propose alternativement un soutien ou une solution de relance que le porteur du ballon peut trouver facilement. Au final, il n’accélère qu’exceptionnellement – quatre fois seulement contre l’Angleterre – et s’accorde régulièrement des phases de récupération pendant le match. Au point de sembler pouvoir encore repousser les limites du temps, en gérant aussi bien sa dépense d’énergie.



La grande misère du SdF

Dix ans après la fête du Mondial, le plus grand stade du pays reste celui qui sonne le plus creux du territoire, tout en restant le lieu du "trois-zéro" et de Gloria Gaynor. Celui dans lequel une ola peut être déclenchée dans les dix premières minutes de jeu, juste parce que le foot, ça lasse, au bout d’un moment…
Un stade dans lequel il est coutumier de siffler un joueur de son équipe avant même qu’il ne touche son premier ballon. Après Duga et Karembeu, après Leboeuf, Desailly et tous ceux que les siffleurs se sont empressés d’oublier, entendre l’attaquant marseillais ainsi encouragé lors de son entrée en jeu a confirmé que les soirées au Stade de France ne conçoivent pas sans une tête de Turc appropriée.
Le comble, entre deux longs silences pesants et deux jolis chants anglais, survenait à chaque interruption de ola par les supporters adverses, conspués par un concert de sifflets. Ou comment prétendre éduquer les supporters anglais en leur reprochant de ne pas sacrifier à la tradition des lieux… Les ovations accordées à Beckham et Trezeguet sauvent l'honneur, mais comme on le dit pour une lourde défaite.



Les observations en vrac

• Jamais l'ambiance mortuaire du Stade de France n'avait été aussi appropriée.
• Cherchez l'erreur: Rooney n'a que 22 ans et déjà 40 sélections. Makelele n'en a que 25 de plus, alors qu'il a 35 ans.
• On aura dû attendre 4 minutes 45 avant de voir le premier centre parfait de Beckham. Une éternité.
• C'est Guy Adam qui était chargé de prévenir Ribéry et Anelka qu’il y avait un troisième attaquant devant eux avec un numéro 20 dans le dos?
• Il faudra dire à Steven Gerrard de prendre des cours de lobs piqués avec Jérome Leroy.
• L'action du penalty d’Anelka est la copie conforme de son second but à Wembley il y a neuf ans.
• Elle avait un doux parfum d'années 80, cette équipe d’Angleterre. 
• A. Cole, J. Cole, Terry, Anelka, Makelele, Malouda. Près d'un tiers des joueurs au coup d’envoi jouent à Chelsea, et Roman n'a même pas daigné apparaître dans les tribunes.
• Séparés à la naissance, les jumeaux Alain Bernard et Peter Crouch n'ont pas eu le même prof de muscu. 
• Avec John Major premier ministre du Royaume-Uni et "Bentley qui fait pschitt", Christian Jeanpierre prouve qu'il est resté bloqué dans les années Chirac.
 

L'euphémisme de rigueur
David Astorga (TF1) : "On a vu une deuxième mi-temps euh, avec un peu euh, un faux rythme".

La victoire politique
Arsène Wenger : "[Le remplacement de nombreux Anglais à la mi-temps] c'est un accord avec les clubs pour les ménager". Et la non-qualification pour l'Euro aussi?

L'aile ou la cuisse 2
Christian Jeanpierre : "C'est plus que l'épaule quand même, c'est la hanche".

La bibliothèque rose
Arsène Wenger : "Personne ne peut comprendre à quel point il tenait à rentrer dans le club des cinq".

Va donc chez Speedy
Christian Jeanpierre : "Bentley, Arsène, il a fait pssschhht".

Le compagnon créole
Frank Ribéry : "On a tenu ce score de 1-0, c'est bon pour la morale".


Le match vu du forum

=>> Qui me crame ce troll? - 21:49
Dites, votre Trezeguet, il fait un concours de hors-jeu avec Tuning Djib?

=>> Freddy - 21:51
C'est un piège à con cette sélection, Anelka a tout sauf intérêt à faire briller XIII, non? Décidemment ce Raymond est démoniaque.

=>> bcolo - 21:55
En tout cas, je n'échangerai pas un seul Domenech contre une douzaine de Capello. Pauvres Anglais, à ce rythme-là, ils ne sont pas près de se qualifier pour une phase finale. On dirait un peu la Grèce 2004 sous tranquilisants. Ça aurait été amusant de voir Benzema dans un match pareil...

=>> Zizou Krist - 21:59
Tiens, j'ai une blague : David James.
(non mais cette sortie, quoi)

=>> berthiernarien - 22:00
Si quelqu'un a vu une passe, correcte et dans le tempo s'entend, à destination de Trez, qu'il parle ou se taise à jamais. Le contre sur Anelka qui temporise et recule alors que le Dave est lancé et pour une fois non offside, est la preuve du complot. Nine-eleven et le pouvoir d'achat, à côté c'est de la gnognotte.

=>> Le_footix - 22:19
C'est encore un de ces matches qui mettent notre pauvre ami Sacdefiel dans un état pas possible...

=>> Clarence Cyborg - 22:22
Y a un des Bee Gees dans les cages de l'Angleterre !

=>> Hal Elegym - 23:25
N'importe quoi. C'est le policier des Village People (tu t'es fait tromper parce qu'il avait pas son casque).

=>> Roberto Cabanastonvilla - 22:35
Pendant que les Anglais chantent Rule Britannia, les Français sifflent. Pauvre, pauvre, pauvre petit pitoyable public sdfiste...

=>> Francis Dolarhyde - 22:38
Non, pour contrer les chants britons, le public français siffle "Le pont de la rivière Kwaï". Le souci, c'est qu'ils sont pas coordonnés.

Réactions

  • Clarence Cyborg le 27/03/2008 à 04h38
    Ma première apparition dans un article des Cahiers. Petite larme.

  • rom's le 27/03/2008 à 08h37
    Il me semble que Toulalan a fait au contraire 2 ou 3 remontées de balles percutantes en fin de match, suivies de passes aux attaquants et d'appels pour leur libérer l'espace.

    Enfin, une énième purge de l'équipe de France, des sénateurs toujours pas soumis à la concurrence, deux changements alors que la moitié des joueurs étaient carbo à l'heure de jeu, et le traditionnel "bon match face à une grosse opposition, difficile à bouger, mais on a été solide et on s'est procuré des occasions...".

    Il faudra vraiment que les autres équipes soient particulièrement nulles pour que je supporte cette équipe de France à l'Euro.

  • Kasti le 27/03/2008 à 08h38
    Je n'en ai vu que de long extraits sur la télé allemande mais triste adieu pour TG, quand même : 1-0 sur pénalty.

    Commentaires allemands très acerbes d'ailleurs, envers la prestation d'hier soir de 2 grands du foot... il faut dire qu'eux mêmes sortaient d'une belle victoire 4-0 contre les Suisses et avec les matches de leurs futures adversaires (nul des croates, défaite des polonais et luxembourgeois), ils vont continuer à se voir beau...

  • Le_footix le 27/03/2008 à 09h07
    D'accord avec toute l'analyse des Cahiers ! J'ajouterais les éléments suivants:

    -Gagner 1-0 sur pénalty contre les grandes équipes, ce sera notre lot à l'Euro, comme en Coupe du Monde. A partir de là, Domenech peut clamer: préparation réussie !
    -Etonnement: les Cahiers font un paragraphe sur le public du SdF, sans mentionner une seule fois la politique de la Fédération (qui mérite un papier complet, je pense).
    -Pour ceux qui ont vu Espagne-Italie, elle ne vous fait pas peur, cette Squaddra ? Défensivement, tactiquement, elle est merveilleusement au point, capable de se projeter encore plus vite vers l'avant que les Bleus. Qu'elle ait perdu est un épiphénomène: l'Espagne, nouveaux champions du monde des matchs amicaux. En compétition, France-Espagne ou Italie-Espagne, ils le perdent. France-Italie, brrr.
    -Heureusement que la Nouvelle Star c'est le mercredi. Mater France-Angleterre dont les commentateurs soupirent "Dear, oh dear" à chaque centre d'Ashley Cole, c'est plus plaisant que Christian Jeanpierre.
    -Et on peut dire qu'en effet, cette équipe d'Angleterre a montré un visage épouvantablement faible. Bentley est une vaste blague. Brown encore plus.

  • Cleaz le 27/03/2008 à 09h53
    "Il fit plus que compenser l’absence de Lampard, et semble en plus se conconcter une jolie capacité de relance. L’Anglais du match."


    En fait c'est caro qui a écrit l'article?



    "La grande misère du SdF"


    Je ne suis pas certain que ce ne soit qu'une spécificité du SDF. Après tout dans le Sud on a déjà entendu siffler des blondinette et pas necessairement pour les draguer....

  • kiki2mars le 27/03/2008 à 10h16
    Cleaz addict,
    Osez comparer le public du sdf à celui du "sud" est un troll aussi grand que le géant vert. T'as pas honte?



    Aussi non en vrac (mais souvent trop tard car déjà évoqué dans l'article) :
    - Les Français aimaient tellement Mr Gilardi (moins que Hicham quand même) qu'ils ont fait une minute de silence de 73 minutes.
    - La France joue petit bras, regroupé derrière en envoyant 3 contres dans le match? Attends! Tu veux quoi? On est à Wembley merde!
    - Les Anglais avaient oublié leurs shorts et bas et ont leur a filé les notres?
    - Si on mets onze Cissé assis sur le terrain qui ne se lèvent pas pour la hola, ca va être un de ses Chaudrons le SDF.
    - Ya une expression pour "se faire caroter" en Argentine?


    Laissons ce stade à Johnny et au Trophée Andros.

  • Lucarelli 1 le 27/03/2008 à 10h41
    "Passer un match entier avec les yeux braqués sur Claude Makelele reste une expérience incomparable."

    C'est à peu près ce que j'ai fait. Chuis fan. Lui et Anelka, c'est bonheur. Bémol sur Anelka : ok il a pris de l'importance, faudrait pas qu'il prenne la grosse tête, et par instant je l'ai trouvé un peu "easy". Sans parler de ses "oublis" concernant XIII... Mais quel joueur (je vous ai déjà dit que Houllier voulait pas le garder à Liverpool ?)

  • Cleaz le 27/03/2008 à 10h43
    Oui enfin à l'époque où Houiller a récupéré le Anelka, pas sur qu'il était encore tout à fait guéri de sa jeunesse et de ses agents, non?

  • Loul le 27/03/2008 à 10h46
    Ah ça...
    Heureusement il n'est plus la caricature de footballeur qu'il était au PSG avec un jeu bien plus unidimensionnel que celui d'un Djibril Cissé dans un mauvais jour qui se serait levé de méchante humeur.
    Celui-là je l'aurais assommé à coups de VHS de ses matches pourris.

  • Lucarelli 1 le 27/03/2008 à 10h48
    Si si, excellent état d'esprit sur et hors du terrain, des déclarations enamourées au bout de 3 mois, la larme à l'oeil, et une déception profonde qui perdure encore aujourd'hui de ne pas avoir été conservé.

    Je m'avance peut être mais sa stabilisation personnelle correspond à son passage par Anfield. Maintenant, je dis pas qu'il y a une relation de cause à effet, hein.

La revue des Cahiers du football