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sansai le 30/04/2009 à 01h51
Deux équipes, au moins, en lutte pour le titre, à 5 journées de la fin.
Pour la première fois en 8 ans, Lyon est nettement décroché.
Et surtout ! Un ventre mou incroyablement réduit.
Cette saison, la L1, c'est mieux que slim fast et 24h réunis.
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M.Meuble le 30/04/2009 à 02h10
On qualifiera donc Le Havre de descente d'organes de la L1.
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Clarence Cyborg le 30/04/2009 à 02h18
C'est pour ça qu'on va chercher le Ventre Mou ailleurs en Europe. En France, le Ventre Mou, il est pas top.
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scarbo le 30/04/2009 à 03h16
C’est vrai qu’elle est bien gaulee cette Ligue 1: un joli port de tete, une poitrine oppulente, une taille de guepe, un gros derriere et des jambes longues... longues...
Une vrai cagole quoi.
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Xana Le Guerrier le 30/04/2009 à 04h09
Chapeau pour la réactivité.
Ma foi, je pensais que vous alliez aussi réactualiser "les gestes du jour".
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Niang, ni Demont le 30/04/2009 à 07h09
En fait le Havre n'est qu'à 10 points. L'espoir vit donc toujours!
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tholotforever le 30/04/2009 à 08h18
Quel pied hier soir ! La Ligue 1 décomplexée qui se paye le luxe de prendre la une dans les médias ce matin devant une demi finale de LDC opposant deux top clubs anglais, faut le voir pour le croire !
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brison futé le 30/04/2009 à 08h37
Dame Rédac', je vous prie de restituer le point que vous avez insidieusement subtilisé à L'AS Nancy Lorraine qui, après ses 10 victoires et ses 9 matches nuls, totalise 39. Merci !
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tholotforever le 30/04/2009 à 08h50
brison futé
jeudi 30 avril 2009 - 08h37
Dame Rédac', je vous prie de restituer le point que vous avez insidieusement subtilisé à L'AS Nancy Lorraine qui, après ses 10 victoires et ses 9 matches nuls, totalise 39. Merci !
Je précise que Yohann Micoud décline toute responsabilité dans cette nouvelle affaire...
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José-Mickaël le 30/04/2009 à 09h45
Eh ben, le peloton a complètement explosé ! Même le groupetto de derrière est en train de se fragmenter. En fait, il y a deux groupettos, dont un qui lutte pour finir devant la voiture balai (la voiture balai est indiquée par la case "18") et l'autre qui lutte pour ne pas se faire rejoindre par le groupetto de derrière. Le groupetto de derrière comporte deux concurrents prestigieux : le dernier vainqueur d'étape non-lyonnais ainsi que le recordman absolu de victoires d'étapes. On me signale que le dernier de la course, un concurrent normand, est perdu très loin derrière et qu'il faut l'attendre avant de démonter les barrières pour réouvrir les routes à la circulation. Ben non, Caen est juste derrière Saint-Etienne et la voiture balai. Pas la peine de veiller jusqu'à la tombée de la nuit pour attendre le dernier comme on avait dû le faire l'an dernier.
Devant, le groupe d'échappées qui était parti à huit (de Lyon à Nice) est devenu une suite de concurrents espacés les uns des autres. Lyon avait mené un train rapide afin d'éviter d'être rejoint. Ca avait bien fonctionné, puisque Marseille, Bordeaux et Paris, tout à tour, avaient failli rejoindre le leader mais sans y parvenir. Au passage, le rythme soutenu de Lyon avait eu pour effet de faire sauter rapidement Nice (qui semble sur le point de se faire reprendre par le peloton depuis un bon moment, mais toujours pas). Mais le "maillot jaune" (c'est une expression synonyme de leader de la dernière étape, en fait il est blanc) n'avait jamais vraiment réussi à se détacher. Son rythme soutenu ne l'était pas tant que ça. Un signe : seul Nice avait été lâché, mais longtemps ils étaient six juste derrière le leader. Seulement voilà, Marseille en gardait sous la pédale et, après avoir laissé Lyon mener toute la course, a placé une accélération régulière qui lui a permis de s'échapper. Bordeaux est le seul à suivre le nouveau leader, mais à (courte) distance, sans le rejoindre vraiment. Le "maillot jaune" (Lyon, donc) s'accroche mais perd régulièrement du terrain. Paris reste dans sa roue mais semble ne pas avoir assez de jus pour attaquer et va sans doute se contenter de sucer la roue de Lyon pour mieux le sauter sur la ligne dans le sprint final. On aurait tort cependant de croire que Lyon s'effondre, puisque le "maillot jaune" a lâché Toulouse et Lille. C'est surtout que l'accélération progressive de Marseille et Bordeaux a été décisive. Lyon a trouvé son Thévenet, sauf qu'il y en a deux !
En tout cas ça fait plaisir de voir une étape à suspense, parce que les sept dernières étapes toutes remportées par le même concurrent, et souvent avec une avance considérable, ça inspire certes le respect, mais question spectacle, bof bof. Ah, ça me rappelle le dernier mano a mano de Bordeaux et Marseille dans la montée du Puy de Dôme, il y a dix ans...
