Victimes de la mode



"Oui j'ai de la chance, j'ai pu me procurer le prochain maillot extérieur de l'OL en exclusivité."



À quoi ça tient, hein. Un recrutement hors de prix, des stars surpayées et pas motivées, une 17e place et tout de suite on se la joue parisien.



Et cet assortiment de couleurs rapporte 1.000 points à Michel Bastos au challenge Valérie Damidot.



Les concours canins, c'est ma grande passion. Une fois, je suis arrivé troisième derrière un lévrier et Sammy Traoré.



"Allez Michel claque m'en une, t'as gagné: je pensais qu'en posant à poil dans le calendrier des Dieux du stade, je réussirais le meilleur gag du mois, mais là avec ton déguisement de Messin, tu m'as vraiment tué."



Cris jura, mais un peu tard, que c'était la dernière fois qu'il échangeait ses fringues avec Jérémy Toulalan.



Victimes du marché



"Dis donc, vu le prix qu'on t'a payé: quand tu dis que tu joues à plusieurs postes, c'est en même temps?"



"Monsieur le journaliste, je trouve ça déplacé de dire que le cours de l'OL qui grimpe, ce n'est que sur TraderSimulator".



Victime expiatoire



"Claude, on sait que tu n'es pas capable de monter une équipe, alors on va voir si tu peux au moins démonter ta vitrine à trophées, vu qu'elle sert à rien".



"20 ans d'invincibilité au 'Je te tiens, tu me tiens', je vais pas craquer sur une reprise foirée de Gomis."



"Wah il est cool le nouveau siège du coach. Hey mais c'est quoi ce petit levier, là...?"



"Calmez-vous les gars. Cris, range cette bouteille, Jérémy, remets ton short. C'était une blague, je démissionne pas et on va aller se faire un petit footing de quinze kilomètres dans le sable."



Claude Puel découvre la compo à trois attaquants alignée par Rudi Garcia.


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