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Top 10 : les fausses bonnes idées du mercato

Ils devaient faire franchir un cap à leur nouveau club, ce sont eux qui ont dégringolé de plusieurs marches...

Auteur : L'Atelier le 20 Jan 2012

 

 

1. Giovane Elber à Lyon

Été 2003 : Monsieur Sonny Anderson quitte Gerland, pleuré par tout le peuple lyonnais – pourtant dénué de passion, comme on sait. Lyon entre alors dans un jeu à trois avec Marseille et Monaco pour recruter son successeur dans le trio Drogba, Morientes et Elber. Le Rhône accueille le Brésilien: son CV allemand est impressionnant en termes de trophées et de buts.
Le courant ne passera pourtant jamais avec l'OL: prestations en demi-teinte, critiques réciproques, blessure grave... Elber se fait doubler par Luyindula puis Wiltord. L'OL n'avait pas recruté un Brésilien mais un joueur de Bundesliga, résumera-t-on tristement.

 

 

 

2. Christian Wilhemsson à Nantes

Le recrutement nantais est clinquant à l'intersaison 2006. En tête de gondole, Christian Wilhemsson, international suédois, transféré d'Anderlecht. Arrivé fatigué du Mondial allemand, Christian peine pour ses débuts. Quelques petits gris-gris pour rappeler qu'il a du ballon ne suffisent pas à compenser son manque de puissance et sa faible activité. Après 13 matches disputés, il est prêté à la Roma avec laquelle il participe à la Ligue des champions. À l'issue du prêt, la Roma ne lève pas l'option d'achat.
Nantes relégué en L2, il est de nouveau prêté à Bolton puis à La Corogne sans retrouver son niveau d'avant 2006. Nantes finit par réussir à le vendre à un club d’Arabie Saoudite, club qui le prêtera très vite à son tour. Le meilleur souvenir qu'il laissera aux Nantais sera la plastique de son épouse, Oksannna Andersson.

 

 

 

3. Christophe Revault au PSG

Étoile d’or France Football du meilleur gardien trois années de suite (1995, 1996, 1997), Christophe Revault arrive au PSG en 1997 avec l'idée de doubler Letizi et Charbonnier dans la course aux Bleus. Problème: Bernard Lama, qui s'annonçait partant dans un plus grand club, n'a pas trouvé preneur. Même s'il s'entraîne à l'écart du groupe pro, son ombre pèse sur les épaules du jeune gardien havrais.
Programmé pour le très haut niveau, Revault craque un soir de match de Ligue des champions face au Bayern, dans un match diffusé sur TF1. Une défaite 5-1 et une boulette qui reste gravée dans toutes les mémoires. Revault ne s'en remettra pas. Vincent Fernandez finit par lui prendre sa place au PSG. Il doit alors revoir ses ambitions à la baisse: fini la carrière en Bleu, Revault se contentera d'être un bon gardien de Ligue 1.

 

 

 

4. "La meilleure équipe de l'OM depuis dix ans"

Mercato 2004 : Marseille vend à Chelsea son attaquant vedette, Didier Drogba, pour 38 millions d’euros. Cette somme permet à Christophe Bouchet et à Pape Diouf de se régaler sur le marché des transferts. Ils montent alors sur le papier “la meilleure équipe de l’OM depuis dix ans.” En défense, sont importés Frédéric Déhu de Paris et Bixente Lizarazu du Bayern. Les deux joueurs ont pour eux une expérience internationale et une âme de leader, qui seront précieuses pour accompagner un groupe composés de nombreux jeunes prometteurs.
Au milieu, Benoît Pedretti et Eduardo Costa forment sur le papier la meilleure paire de récupérateurs du championnat. En attaque, Peguy Luyindula est le gros recrutement du mercato. Sans oublier Fabrice Fiorèse, Habib Bamogo ou encore Bruno Cheyrou, des joueurs qui ont à l’époque une grosse cote. Mais aucun d'entre eux n’atteint le niveau espéré, et la plupart quittent le club dans les douze mois qui suivent leur arrivée.

 

 

 

5. Matt Moussilou à Nice

Meilleur buteur de France toutes compétitions confondues avec le LOSC en 2004-2005 (23 buts), Matt Moussilou pâtit de l'explosion d'Odemwingie la saison suivante, et doit bien souvent faire banquette. Il part à l'été 2006 à Nice, pour 3.8 millions d’euros, soit le plus gros transfert de l'histoire du club azuréen (dépassé depuis par Rémy) pour se relancer. Un gros pari, mais un pari raté pour l'OGC Nice. L'attaquant congolais erre comme une âme en peine sur le terrain, marchant plutôt que courant, limitant son nombre d'appels de balle à trois par match, et ratant contrôle après contrôle, passe après passe.
22 matches en six mois, pas un seul but, Moussilou est donc prêté pour la deuxième moitié de la saison à Saint-Étienne, où il reprend quelques couleurs en inscrivant 3 buts en 11 matches. Les dirigeants niçois ne comptent toutefois plus sur lui, et le prêtent à l'Olympique de Marseille en août 2007, qui le prête à son tour à un club qatari. Il effectue sa troisième et dernière année de contrat au sein de la réserve niçoise, où il score comme jamais (18 buts en 20 matches), mais en CFA2.

 

 

 

6. Guy Roux à Lens

Années 2000 : Lens enchaîne les bonnes saisons mais ne parvient pas à s'installer sur le podium. Gervais Martel trouve alors la solution en nommant Guy Roux entraîneur du RC Lens. Le coach au bonnet est à la retraite, mais a le profil pour faire passer un palier au groupe lensois. Sa capacité à intégrer des jeunes dans un groupe pro peut être précieuse dans un club qui a beaucoup investi dans son centre de formation. Pour faciliter son acclimatation, Guy Roux fait venir des joueurs qu'il connaît bien: Akalé, Pieroni, Kalou, qui deviendront très vite des boulets pour Gervais Martel.
Au bout de quelques journées, Lens pointe à la dernière place, Guy Roux démissionne et met définitivement fin à sa carrière d'entraîneur. La classe du bonhomme parlera quelques années plus tard dans le quotidien L'Alsace, par sa façon de justifier son échec dans le club nordiste: "On m'a installé dans une énorme maison de quinze pièces, j'ai commencé par me barricader et me faire un F4. Tout était high-tech. Pour cuisiner un œuf, il fallait un CAP. Je ne m'y sentais pas bien. Mais surtout, l'équipe n'était pas bonne. Mes joueurs étaient affreusement mauvais de la tête. Ils en voulaient bien moins que mes petits gars d'Auxerre."

 

 

 

7. Fabien Barthez à Nantes

Rudi Roussillon, président du FC Nantes et ancien gardien du Red Star, a décidé de frapper un grand coup au mercato en sortant Fabien Barthez de sa retraite. Recruté pour mettre un terme aux mauvaises performances de Stojkovic, il rassure sportivement sur les premiers matches, avant d'être critiqué de plus en plus ouvertement par ses coéquipiers pour son comportement donneur de leçons et individualiste. Il leur rappelle qu'il a joué avec Di Meco et Mozer en découpant Payet à l'entraînement. Sa maladroite justification fera monter d'un cran l'ambiance qui devient définitivement viciée lorsqu'il refuse d'arrêter les tirs au but exécutés par Savinaud, au prétexte que la Save l'allume à cinq mètres des buts en d'autres occasions.
La fin est digne d'un mauvais film. Coupable d'une belle boulette dans un match couperet contre Sedan, Barthez prétexte une blessure à la cuisse pour être remplacé à la mi-temps, et finit par affabuler une agression de supporters à la sortie du stade pour demander à ne plus jouer. En fin de saison, Nantes descend en L2 pour la première fois de son histoire.

 

 

 

8. Pita à Strasbourg

Après deux années de purgatoire en D2 dans un climat délétère, le RC Strasbourg retrouve la D1 en 1988 et entend bien y rester le plus longtemps possible. Pour y parvenir, Daniel Hechter, alors dirigeant du RCS, réalise un coup fumant: le recrutement de l’international brésilien Pita.
Personne n'avait pensé à s'enquérir de la santé du joueur, arrivé de Sao Paulo. Les premiers examens médicaux pratiqués en France révèlent une fracture de fatigue qui éloigne le Brésilien des terrains la majeure partie de la saison. Il ne dispute que 21 rencontres. Le club retourne en D2 et Pita au Brésil. Le pire dans cette histoire est que Pita avait un immense talent que les supporters strasbourgeois n'ont pu admirer qu'en de rares occasions.

 

 

 

9. Helder Postiga à Saint-Étienne

Mercato hivernal de la saison 2005-2006, une brouille avec Co Adriannse, entraîneur du FC Porto, met Helder Postiga sur le marché des transferts. Saint-Étienne se positionne et obtient le prêt de l’international portugais. Malgré deux dernières saisons très moyennes, le jeune attaquant garde une cote importante sur le marché, la faute à un triplé un soir de coupe d’Europe contre la Lazio de Rome, et à des performances de haut niveau avec la sélection portugaise. Mais à Sainté, c’est un échec. Postiga ne fait pas mieux que Mazure et c’est le petit Gomis qui profite de ces ratés pour montrer le bout de son nez.

 

 

 

10. Mourad Meghni à Sochaux

Parti très jeune à Bologne, Mourad Meghni n’a pas beaucoup de temps de jeu en Serie A. Après trois saisons entre la réserve et le banc de touche, le milieu de terrain demande à ses dirigeants de le prêter en France. L’idée séduit quelques clubs, prêts à offrir du temps de jeu au prodige, champion du monde des moins de 17 ans en 2001. Sochaux emporte le morceau et aligne Meghni lors des premières journées du championnat 2005-2006. Le milieu de terrain est à la peine, tout comme le reste de son équipe. Bijotat procède à quelques changements, envoie Meghni sur le banc et lance le jeune Ménez dans le grand bain. Le milieu algérien rate là un des tournants de sa carrière, et retourne en fin de saison en Serie A, où il continuera à cirer le banc de touche avant de rejoindre cette saison, à vingt-sept ans, le club qatari d'Umm-Salal.

 


Les ouvriers de l’atelier : Alain Delon ? Non Alain Deroin, Bolkonsky, C. Moa, Hydresec, le Bleu, magnus, Miklos, Pan Bagnat, Rabbijacob, serge le disait.
 

Réactions

  • Tonton Danijel le 20/01/2012 à 10h37
    Dans les erreurs de casting de Strasbourg, on aurait pu aussi mentionner Belloso et Garay (Chilavert avait déjà été cité dans un top 10 des gardiens). Comme Pita, deux meneurs sud-américains qui ont été de fausses bonnes affaires.

    Et il y a eu aussi le premier recrutement clinquant de François Pinault à Rennes avec Severino Lucas, Fleurquin, Turdo qui furent des échecs, surtout le premier qui devait remplacer Shabani Nonda pour 21 M€...

  • Charterhouse11 le 20/01/2012 à 10h42
    Pour Elber, soit j'ai enjolivé la chose mais le père Elber, la 2è saison, il la commence très bien avant de se péter. Donc oui, échec au final. Mais la malchance s'en est quand même bien mélée...

  • Lionel Joserien le 20/01/2012 à 10h53
    Sauf erreur de ma part, Fab' Fab' n'a jamais joué avec Mozer, ils se sont croisés à l'été 92.
    (Et concernant le "découpage" de Payet, de ce que j'en ai vu, il s'agissait d'une semelle très maladroite de Barthez suivie d'une colère ridicule du gamin).

  • le Bleu le 20/01/2012 à 10h54
    Un peu plus que de la malchance quand même, parce que rien ne l'empêchait de continuer avec Lyon après cette blessure.


    Pour Guy Roux, il est bon de reciter l'interview récente d'Eric Carrière qui multiplie les lobs par dessus la défense:

    "Guy Roux, j’ai été le voir pour lui dire que je savais qu’il voulait recruter Bonaventure Kalou. Il me certifiait que non. Un entraineur a le droit de ne plus vouloir d’un joueur. Simplement, il faut trouver les bonnes formules pour tout le monde y trouve son compte. Si Guy Roux m’avait dit qu’il ne voulait plus de moi. Ça aurait été plus honnête et je serais parti ailleurs. Là, il me disait que l’on jouerait tous les deux, en alternance. Etant donné qu’il n’avait jamais fait tourner son effectif à Auxerre, j’étais étonné. La première semaine, Kalou joue les trois matchs. Il joue les deux rencontres de championnat et le match de coupe d’Europe en milieu de semaine malgré une opération des dents de sagesse deux jours plus tôt.
    [...]
    En plus, à cette période, Guy Roux répétait sans cesse que Kalou n’était pas encore en forme. Un gars qui est à cours de forme, tu ne le fais pas jouer trois fois la même semaine.
    [...]
    Il me convoque donc, m’avertit et me dit que mon comportement est individualiste. Je lui réponds que je n’ai pas de leçon à recevoir de sa part sur ce point, notamment par rapport à l’histoire du bandeau de strap sur le cigle Nike afin d’obtenir un contrat personnel !"

  • On meinau score le 20/01/2012 à 10h57
    Tonton Danijel
    aujourd'hui à 10h37
    --
    Il faudrait alors évoquer tout le recrutement de Claude Le Roy à Strasbourg.
    Ce n'était pas vraiment des fausses bonnes idées, c'était de l'esbroufe et on s'est bien fait enfumé.
    Sauf peut être pour Mario Haas, qui était international autrichien même si ce n'est pas forcément un gage de classe international.

  • CHR$ le 20/01/2012 à 15h09
    Je vais surenchérir sur Clivier, mais Elber comme erreur majeure de recrutement de l'OL (qui en a un bon paquet à son actif et non des moindres), c'est un mythe qui a la vie dure mais qui est seulement un mythe.
    Certes, pour un meilleur buteur de la Bundesliga en titre, il ne s'impose pas comme a pu le faire un Lisandro. Mais pour un attaquant recruté moins de 5M€ (deux fois moins que ce que sera vendu Luyindula à l'OM...), il s'est avéré diablement utile emmenant l'OL à son premier quart de finale de C1, marquant 10 buts en championnat (tout pile comme Morientes qui avait lui tout déchiré) dont toute la série en mars-avril qui permet à l'OL de passer devant Monaco.
    Quant à prétendre qu'il se fait passer devant par Luyindula et Wiltord, permettez moi de loler. D'aileurs il ne fait que croiser Wiltord, recruté plus ou moins pour le suppléer suite à sa blessure.

    Bref, dans un club qui a recruté Milan Baros, Frédéric Née et Torben Frank, Giovane Elber a été plutôt une bonne affaire et le seul échec a été qu'un attentat messin l'empêche de rester plus longtemps.

  • Miklos Lendvai le 20/01/2012 à 16h05
    Elber, c'était une machine à buts au Bayern, pas le genre de joueurs dont on attend une dizain de buts. La comparaison avec Morientes est à ce titre pas très juste, vu que l'espagnol a apporté réellement une plus value en Ligue des champions, ce qu'Elber n'a pas vraiment fait.

    Par ailleurs, Elber, lui même, estime son passage à Lyon raté.
    « Le Bayern voulait recruter Makaay et mon contrat expirait l’année suivante. Ils pensaient que si je restais une saison de plus, je partirais gratuitement. Ils ont donc tout fait pour que je m’emporte et que je décide de claquer la porte. Ainsi, les dirigeants pourraient récupérer un peu d’argent lors de mon départ. Ils m’ont clairement dit que si je restais, c’était pour être sur le banc ou en tribunes. Je me suis dit : "J’ai 32 ans, je ne veux pas être payé à être en tribunes. Je veux jouer au football". J’ai donc décidé de partir et ils ont réussi à me vendre à Lyon. Je suis parti déçu. Mais j’avais pris la décision de partir et je n’ai pas réfléchi. Quand je suis arrivé à Lyon, j’ai regretté. Pour le style de jeu, pour le championnat français dans son ensemble ».

    Aulas a du miser gros sur lui niveau salaire et a été obligé de le foutre dehors un an et demi plus tard pour des raisons extra sportives (critique du staff médical, opération du péroné en Allemagne sans avertir qui que ce soit et mauvaise intégration au groupe)


  • Miklos Lendvai le 20/01/2012 à 16h08
    Je tiens à préciser que je ne suis pas l'auteur du paragraphe sur Elber mais je trouve que son passage à Lyon correspond bien à l'idée de ce top10.

    Sur le papier, c'était une super bonne idée : Lyon récupérait enfin ce grand attaquant qui lui manquait. Elber, c'était du tout cuit, un peu comme si Marseille avait signé Jardel. Et en fait, non. Le mec, il n'apporte rien de plus au club.

  • Boa Boa Teng Teng Teng le 20/01/2012 à 17h48
    Elber est un demi-flop, rien a voir avec Barthez à Nantes, la "nightmare team de l'OM 2004-2005" ou Severino Lucas qui a été oublié honteusement.

    Quant à Revault, dans mes souvenirs, il fait deux grosses bourdes et pas une. Le "deux" est très important car après avoir pris 5-1 en Bavière, le PSG avait gagné 3-1 au retour et donc avait terminé second de sa poule à égalité avec le Bayern.

    Problème: il n'y avait que six groupes à l'époque et donc seuls les six premiers de groupe ainsi que les deux meilleurs deuxièmes se qualifiaient.

    Les deux meilleurs seconds ont été Le Bayer Leverkusen et la Juventus (qui a pris la place de deuxième second à Paname dans les dernières minutes de la sixième journée!).

    Donc Paname se fait éliminé en tant que "troisième second" tout en étant à égalité de points avec son leader de groupe, le Bayern, mais derrière à cause d'un différentiel dans le goal average particulier de...2 buts, les deux bourdes de Revault!

  • Tonton Danijel le 20/01/2012 à 17h59
    Boa Boa Teng Teng Teng
    aujourd'hui à 17h48

    Donc Paname se fait éliminé en tant que "troisième second" tout en étant à égalité de points avec son leader de groupe, le Bayern, mais derrière à cause d'un différentiel dans le goal average particulier de...2 buts, les deux bourdes de Revault!
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    Paris avait aussi perdu un autre match au Besiktas, 3-1 (alors que le Bayern avait gagné chez les turcs 2-0). Ils traîneront cette autre défaite comme un boulet. Si au final ils se retrouvent à égalité de points avec le Bayern, c'est parce que le Bayern, assuré de la première place, avait fait tourner son effectif lors de la dernière journée et concédé une défaite 1-0 à domicile contre Göteborg, bon dernier du groupe. Pas sûr que le score aurait été le même si le Bayern devait jouer sa qualif sur ce dernier match...

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