Top10 : les recrues qui ont fait la différence
Transférés dans des équipes habituées aux places d'honneur, ces joueurs ont fait briller leurs coéquipiers pour les amener vers le graal.
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jeronimo
02/12/2011 à 02h09
J'adore la bouille de Gravelaine !
Toto le Zéro
02/12/2011 à 04h22
Djorkaeff, une seule saison à Paris... (soupir)
Vasy Mollo
02/12/2011 à 07h17
Grosse erreur sur Morientes. Didier Deschamps n'est en rien responsable de sa venue. La Desche était sur Giovanni Elber, il voulait absolument le brésilien (qui a finit à Lyon), et s'agitait beaucoup dans ce sens, avant que les dirigeants ne lui glissent Morientes sous la porte, avec l'énorme succès que l'on sait ...
Toni Turek
02/12/2011 à 07h21
Ah, Moldovan... Le dernier grand grand joueur étranger qu'on a dû avoir à Nantes, le dernier top-buteur aussi. Un des exemples de joueurs qui auraient pu rester plus longtemps chez les Jaunes si la direction de l'époque avait été un peu plus intelligente. Ca commence à faire loin, maintenant. Je me demande ce qu'il donnerait comme entraîneur au FCN. (NB : 2004, c'est la finale de la Coupe de la Ligue, avec la célèbre Landrenka).
Sens de la dérision
02/12/2011 à 07h59
Belle sélection que voilà. Même si franchement la photo de Morientes fait surtout penser à Dhorasoo.
Miklos Lendvai
02/12/2011 à 08h20
Mille excuses à Juninho qui, évidemment, méritait de figurer dans ce top 10.
Tonton Danijel
02/12/2011 à 09h34
Juninho a permis à l'OL de passer le palier final, vers les 7 titres de champion consécutifs. Mais c'est effectivement la venue de Sonny Anderson qui a permis au club de changer de dimension, son 'oubli' est donc compréhensible.
magnus
02/12/2011 à 10h38
Et puis si je me rappelle bien c'est avec Anderson que Lyon a commencé à avoir des résultats positifs face à des "gros", comme le match face à l'Inter où il met un super but. Sinon, j'aurais bien vu Ziani pour le titre de Lens en 1998. Et si la différence de buts avait été en faveur de Metz, ça aurait pu être Meyrieu, Boffin ou...Bruno Rodriguez.
Marcus Lupus
02/12/2011 à 10h52
On peut aussi ajouter pour l'anecdote, Glenn Hoddle pour Monaco en 87, qui est combinée avec l'arrivée de Wenger à la tête de l'équipe. Les deux vont amener Monaco au titre de champion, alors qu'auparavant le club depuis deux saisons est retourné dans une certaine médiocrité (9ème et 5ème).
Toto le Zéro
02/12/2011 à 11h09
Un article avec le sujet inverse serait tout aussi intéressant : le gros transfert qui a marqué le déclin/la régression d'un club...
magnus
02/12/2011 à 11h21
Ou les remplacements de joueurs importants par des erreurs de casting...Giuly par Kallon, Blanc par Berrizzo...
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