Et le "cerf-volant cosmique" s'envola
Le "but du siècle" est d'autant mieux entré dans la légende qu'il a été légendé d'un commentaire tout aussi exceptionnel qui fit trembler les postes de radio de millions d’Argentins.
le Bleu
28/11/2020 à 17h55
Pendant ce temps, Thierry Roland tout ce qu'il trouve à dire c'est "celui-là il est bon, et il est valable"
Pascal Amateur
28/11/2020 à 18h26
Moi j'imagine ces cris, puis "Ah. Contrôle de la VAR. (quatre minutes plus tard) Il y avait faute au début du dribble. Mouais, pas évident."
Julow
28/11/2020 à 22h54
Merci les copains d'entretenir notre torrent de nostalgie émue.
Une bricole :
"mémoires argentines au-delà"
IL faut au moins un "et", voire, si veut être bien correct, "en argentine, et au-delà" ou "mémoires argentines, et d'ailleurs".
La bise
José-Mickaël
29/11/2020 à 00h16
> on aime le "but du siècle" pour ce qu’il représente d’une époque qu’à défaut d’avoir connue, on aurait voulu goûter
C'est là où je comprends que je suis vieux, moi qui ai suivi cette coupe du Monde devant la télé familiale. Suis-je le seul rescapé de cette époque ? Brrr... ça fait peur... ;-)
(Oui, je viens aussi d'une époque où on utilisait des « smileys »)
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Pascal Amateur : quelle horreur ! Hélas tout à fait réaliste.
Hydresec
29/11/2020 à 02h20
On rappellera que Victor Hugo Morales était uruguayen.
Ba Zenga
29/11/2020 à 08h51
Très bel article, merci. L'arbitre du match a récemment témoigné sur RMC et y a quelque chose qui m'échappe. Il disait qu'il avait un peu participé à ce but en laissant l'avantage au début de l'action. Mais on dirait bien que c'est plutôt un joueur anglais qui subit une faute et perd le ballon, non? Il a en fait juste pas sifflé le tacle? Parce que s'il laisse l'avantage, c'est plutôt coup franc contre l'Argentine, comme le souligne Pascal. Ou alors, il nous manque des images.
Sens de la dérision
29/11/2020 à 09h06
Dommage que cette splendide image soit gâchée par ces hurlements désagréables.
Richard N
29/11/2020 à 09h46
Très beau texte. A la hauteur du commentaire de Victor Hugo Morales. A la hauteur de la chevauchée de Maradona. Bravo.