Francis Lalanne s'appelle désormais Charles Biétry
Le football a trouvé son nouveau chantre (chancre?). Il est tellement gentil. Plein de bons sentiments, plein de cette rare qualité appelée "bonté", la preuve (citations) : "J'ai vécu des émotions intenses. (...) Le vrai moment fort, c'est lorsque j'arrive le matin au service des sports et qu'il y a trente-cinq personnes. Et quand je pars à 19 heures, ils sont encore 25. Et tout ça sans jamais avoir fait de tableau de service."
A propos de Michel Denisot : "Nos enfants ont grandi ensemble, nos épouses sont amies. Seulement, le journaliste qui commentait le foot (NDLR : Charles Biétry) n'était pas toujours d'accord avec les choix du président du PSG (NDLR : Michel Denisot, président délégué). Mais les hommes s'aiment toujours."
"Moi-même (NDLR : C. Biétry), j'ai aussi tendance à fonctionner à l'affectif. Sauf qu'au PSG Basket (NDLR : club de basket ball parisien), je n'ai pas hésité à changer (NDLR : virer) Chris Singleton au bout de sept journées, alors qu'il est mon meilleur ami."
"Mon rôle sera d'augmenter les revenus du PSG et de procurer du plaisir aux spectateurs"(NDLR : il n'a pas précisé comment).
A propos du futur entraîneur parisien : "Je veux quelqu'un qui soit complice. J'ai besoin d'amour, de relations fortes et humaines (sic)."
A propos de Jean-Claude Suaudeau : "C'est effectivement un ami."
"Je pourrais donner au moins trente noms de types que j'apprécie et qui seraient capables de faire du bon boulot au PSG."
"Mais c'est vrai que je me sens plus proche des gradins et des jeunes que des loges."
Je vous l'avais bien dit qu'il ne parlait que d'amour. Peace and Love Charly.