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Top 10 : les attaquants qui n'ont pas passé le cap de la Ligue 1

Ils ont cassé la baraque à l'étage inférieur, au point de ne jamais trouver l'escalier.
Auteur : Miklos Lendvai le 19 Août 2011

 

1. Didier Monczuk, la terreur de la L2

top10_buteurs_l1_l2_01_monczuk.jpgRepéré à seize ans par les recruteurs du SCO, Didier Monczuk fait ses classes dans la cité angevine et joue ses premiers matches pros à l’âge de dix-neuf ans (1979). Le SCO est alors un club de Première division dont les attaquants se nomment Patrice Lecornu, François Félix, Patrick Gonfalone ou encore Karim Maroc (qui est algérien par ailleurs). Avec l’arrivée de Marc Berdoll, les chances de percer s’amenuisent pour Monczuk, et le jeune attaquant décide de rejoindre Rouen, en deuxième division. Chez les Diables Rouges, il trouve du temps de jeu, contribue à la montée en D1 mais est jugé trop tendre pour le niveau supérieur. Il doit attendre trois saisons dans l’ombre de Beltramini, Didaux ou encore Raspollini, pour enfin devenir titulaire en D1. Le club vit alors une saison difficile et ce ne sont pas les cinq buts de Monczuk qui ont sauvé le club.

Monczuk retrouve la D2 mais change de maillot pour celui du FC Istres puis celui d’Alès, deux clubs où il se fait une petite réputation de buteur. La saison suivante, ses 20 buts plantés avec Quimper font saliver Guy Roux, alors à la recherche du remplaçant de Cantona. Pour son retour en D1, Monczuk n’est pas ridicule (13 buts en 45 matches) mais ses rapports avec Guy Roux ne sont pas au beau fixe. Grillé en D1 malgré une sélection en A’, il part se relancer à Strasbourg où il gagne trois titres consécutifs de meilleur buteur de D2 (82 buts en 112 matches). Monczuk est à nouveau bankable et rejoint le Nîmes Olympiques de Laurent Blanc. Sa dernière expérience en Ligue 1 est un échec total: le club finit dernier du championnat, il ne marque que 7 buts et a pour coéquipier Didier Martel.
Sa fin de carrière est mouvementée (Nîmes en D2, Linx, club allemand de seconde zone, Saint-Brieuc, Angers, Dunkerque et Mulhouse).

Bilan : 25 buts en 117 matches de D1 contre 123 buts en 211 matches de D2



2. Samuel Michel, l'étoile rouge

top10_buteurs_l1_l2_02_michel.jpgSamuel Michel débute en pro au Red Star 93 en 1989, à l’âge de dix-neuf ans. Après trois saisons d’apprentissage, l’attaquant d’origine amiénoise gagne sa place de titulaire et fait trembler les filets de deuxième division (14 buts en 1993 et 23 buts en 1994). Le Stade Rennais s’intéresse à lui et lui offre sa première expérience en D1. Mais Michel Le Millinaire a peu de temps de jeu à lui proposer et décide d’envoyer Michel s’aguerrir en D2 et en prêt. À Caen, puis à Sochaux, l’attaquant démontre à nouveau ses qualités de buteur (40 buts marqués sur les deux saisons), mais il ne parvient pas à convaincre le coach rennais, qui le remet sur le banc.

Samuel Michel se résout alors à l’évidence: il est fait pour la D2. Il retourne au Red Star où il tourne à un peu moins d’un but tous les deux matches avant de rejoindre Guingamp, candidat déclaré à la remontée en D1. En 1999/2000, la triplette Tasfaout-Michel-Fiorèse fait des ravages et renvoie le club breton dans l’élite. Guy Lacombe juge Samuel Michel trop tendre et lui préfère Bruno Rodriguez.
Après une saison quasi blanche, il retourne en D2 où il finit sa carrière tranquillement.

Bilan : 2 buts en 27 matches de D1 contre 135 buts en 398 matches de D2



3. Robert Malm, le spécialiste

top10_buteurs_l1_l2_03_malm.jpgRobert Malm est le taulier de la Ligue 2: en vingt ans de carrière, il a joué seize ans en deuxième division. Après des débuts en première division avec le RC Lens, il rejoint la D2 engranger du temps de jeu (à Dunkerque, Fécamp puis Saint Brieuc). En 1997, Malm rejoint Lorient où il plante une vingtaine de buts et contribue à la montée du club en première division. Malm se sent prêt pour se frotter aux défenses de l’élite et signe au Téfécé. Aux côtés de Maharzi et de Petrovic, il effectue une saison très moyenne (2 buts en 32 matches) et fait une croix sur la première division.

Il prend alors son baluchon et poursuit son tour de France (Valence, Gueugnon, Lorient, Wasquehal, Grenoble, Brest, Montpellier, Nîmes et Cannes). Il score en moyenne une dizaine de buts par saison et gagne une invitation en 2006 pour participer à la Coupe du monde avec le Togo.
Les cédéfistes du forum Manette Football Club lui rendront un bel hommage en renommant la Ligue 2 le trophée Robert Malm.

Bilan : 2 buts en 31 matches de D1 contre 100 buts en 381 matches de D2



4. Cédric Fauré, bloqué dans l'ascenseur

top10_buteurs_l1_l2_04_faure.jpgEn 2001, Toulouse subit la double peine: rétrogradation sportive et administrative. Le club descend en National et doit composer son effectif avec quatre pros qui acceptent de relever le défi et les jeunes du centre de formation ("les pitchounes"). Cédric Fauré, attaquant amateur à Balma, profite de l’occasion pour rejoindre le grand club de la région. En deux saisons, le TFC revient en D1 et Fauré est très tôt considéré comme la valeur montante du club. Comparé à Van Nistelrooy davantage sur des critères capillaires que sportifs, il affiche néanmoins des stats intéressantes (31 buts en 59 matches). Annoncé dans tous les grands clubs français, il choisit de rester à Toulouse pour découvrir l’élite. L’attente est forte autour du club et Fauré déçoit malgré une saison honorable (14 buts en 39 matches, beaucoup mieux que Fernandao ou Eduardo).

L’atterrissage est difficile pour un joueur longtemps annoncé à Marseille, contraint de rejoindre Guingamp en D2 pour se relancer. En Bretagne, il fait toujours aussi bien tourner son compteur buts mais les dirigeants ne le retiennent pas. Fauré va alors manger son pain noir et il  enchaîne les expériences sans lendemain (Istres, Le Mans) et parvient à se relancer au Stade de Reims en 2006. Le club n’est pas armé pour la montée, mais Fauré se régale en attaque (36 buts en 81 matches). La Ligue 1 lui fait à nouveau les yeux doux et Fauré craque pour Le HAC. L’expérience dure 6 mois, le club ne décolle pas de la dernière place et l’attaquant est méconnaissable (1 but en 10 matches).
En décembre 2008, il retourne au Stade de Reims, ne peut empêcher la relégation en National mais va, grâce à ses nombreux buts, permettre au club de remonter immédiatement en D2, où il joue encore.

Bilan : 13 buts en 60 matches de L1 contre 82 buts en 210 matches de L2.



5. Amara Traoré, le forgeron

top10_buteurs_l1_l2_05_traore.jpgArrivé à vingt-trois ans à Bastia en 1988, Amara Traoré s'impose très tôt grâce à ses qualités de buteur et son altruisme. Deux ans plus tard, il est vendu au Mans où il peine à confirmer ses années bastiaises. Il finit inévitablement sur le banc de touche et devra à Roland Gransart, son entraîneur au Sporting, sa résurrection. Ce dernier le fait venir à Gueugnon en 1992 et fait de lui un des buteurs les plus redoutés de D2. En trois saisons, il marque 51 buts et permet ainsi au club de monter pour la première et seule fois de son histoire en première division. Mais en D1, c'est une autre histoire: Amara ne plante plus, le club affiche de grosses limites et retourne illico en D2.

Sur la foi de ses grosses saisons chez les Forgerons, Traoré signe au FC Metz, où il est sensé remplacer Cyrille Pouget. Après six premiers mois difficiles, Muller décide de recruter Bruno Rodriguez et renvoie Traoré sur le banc de touche. À trente-deux ans, après un nouvel échec à Châteauroux, le Sénégalais sent la fin proche et décide d'assurer ses arrières en signant aux Emirats Arabes Unis. Un an plus tard, Gueugnon lui propose un contrat pour encadrer une équipe un peu jeune. Après une saison de remise à niveau, Papy Traoré fait de la résistance et s'impose au sein de l'attaque des Forgerons (22 buts lors de la saison 1999-2000). Le club écrit une nouvelle page de son histoire avec une victoire en Coupe de la Ligue face au Paris SG.
Il prend sa retraite trois saisons plus tard, à trente-cinq ans, quelques mois après avoir atteint les quarts de finale de la Coupe du monde avec le Sénégal, dont il est actuellement le sélectionneur.

Bilan : 16 buts en 76 matches de D1 contre 119 en 307 matches de D2.



6. David Suarez, l'homme de Rodez

top10_buteurs_l1_l2_06_suarez.jpgRepéré du côté de Rodez par les recruteurs cannois, David Suarez dispute ses premiers matches en pro à l'âge de vingt ans en deuxième division (saison 1999/2000). En trois saisons, dans un club en difficulté, il plante 42 buts et se fait recruter par Amiens, club de plus en plus proche d'une montée en D1. Après une première saison blanche, Suarez justifie son arrivée la saison suivante en inscrivant 17 buts, permettant au club picard de figurer dans les trois premiers pendant de longues semaines.

Cette performance n'étant pas passée inaperçue, Suarez signe au Téfécé, avec Dalmat et Moreira. Annoncé comme le bon plan du mercato, le jeune attaquant déçoit et il est renvoyé en Ligue 2 dès la saison suivante. Il essaie de se relancer à Guingamp où il est victime d'une sérieuse blessure après une première saison honorable.
Il évolue par la suite à Sedan et se relance en National, au sein du Sporting Club Bastia, dont il a été le meilleur buteur la saison dernière.

Bilan : 5 buts en 25 matches de L1 contre 52 buts en 197 matches de L2 et 41 buts en 81 matches de National.



7. Laurent Dufresne, le triple champion

top10_buteurs_l1_l2_07_dufresne.jpgChampion de France de Ligue 2 avec trois clubs différents, Laurent Dufresne a connu au moins trois opportunités de démontrer qu'il pouvait être plus qu'un bon joueur de L2. En 1997, il monte avec Châteauroux. Il a déjà vingt-six ans mais peu d’expérience du haut niveau (deux saisons de National avec Valenciennes et deux saisons de D2). Le duo qu’il forme avec Jason Mayélé ne fait pas trembler grand monde et Châteauroux retourne en D2 dès la première année. En 2005, il obtient un nouveau titre de champion de L2 avec Nancy. À trente-trois ans, il est alors le deuxième meilleur buteur du club derrière Elie Kroupi et peut afficher un beau bilan sur les trois dernières saisons en Lorraine, avec une moyenne de 13 buts par saison. Mais Correa préfère recruter des attaquants plus taillés pour la L1 (Kim et Bakari arrivent) et Dufresne manque à nouveau le coche.

Convaincu qu’il peut encore jouer au haut niveau, il propose ses services à son club formateur, le VAFC. En 2006, il remporte son troisième titre de champion de L2. À trente-quatre ans, il parvient à gagner une place de titulaire aux côtés de Steve Savidan et continue à y aller de sa dizaine de buts. De retour en L1, Dufresne commence à sentir le poids des années et doit faire face à une nouvelle concurrence avec les arrivées de Eric Hassli et Florin Bratu. Ils sont trois pour une place (Savidan est évidemment intouchable). Dufresne est celui qui marquera le plus de buts mais sait que la Komb ne compte plus trop sur lui.
Après une dernière pige à Châteauroux, il se reconvertit en entraîneur et officie actuellement avec l’équipe réserve de Valenciennes.

Bilan : 11 buts en 62 matches de L1 contre 88 buts en 267 matches de L2 et 10 buts en 26 matches de National



8. Réginald Ray, le vainqueur de l'Intertoto

top10_buteurs_l1_l2_08_ray.jpgFormé à l’INF Vichy, Réginald Ray découvre le monde pro avec Montceau en 1987, alors club de D2. La formation descend très vite en National, où Ray se taille une belle réputation d'efficacité. Recruté par le FC Istres, il confirme ses talents dès la première saison (17 buts en 1992/1993) mais sombre lors de sa deuxième saison, avec toute son équipe du reste. Alors que son club descend en National, Ray reste en D2 et rejoint Saint-Brieuc. Dans une équipe qui ne décolle pas des dernières places, Ray tire cette fois son épingle du jeu et marque 16 buts.

Guingamp, nouveau promu de D1, le recrute pour remplacer Guivarc'h. Mais Ray a du mal à confirmer en D1 et rétrograde rapidement dans la hiérarchie, derrière Rouxel, Dallet puis Gravelaine. À Guingamp, il remporte la Coupe Intertoto à l’été 1996 avant de signer à Gueugnon. Par la suite, il ne joue plus qu’en D2 (Châteauroux, Le Mans, Beauvais, Nîmes) et remporte le titre de meilleur buteur avec Le Mans en 1999.
Il est actuellement entraineur adjoint du SC Bastia.

Bilan : 1 but en 16 matches de D1 contre 97 buts en 310 matches de D2



9. Alex Di Rocco, l'élu vert

top10_buteurs_l1_l2_09_dirocco.jpgAlex Di Rocco n’a jamais été un grand buteur et il n’aurait sûrement jamais dû jouer en D1. Révélé sur le tard, il connaît ses premiers matches pro à vingt-cinq ans avec Amiens, après avoir longtemps joué pour Saint-Dié et Epinal. Il ne dispute qu’une dizaine de matches, mais rencontre Pierre Deblock et Cédric Elzéard, ses futurs coéquipiers. La saison suivante, il est transféré à Troyes, où il va à nouveau peu jouer et connaître une relégation. En 1997, il rejoint Sedan, alors en National, où il retrouve ses deux compères croisés à Amiens. L’épopée sedanaise peut alors commencer: Quint, Deblock, Mionnet et N’Diefi affolent toutes les défenses. Sedan va gravir les échelons un à un et s’offre même le luxe d’atteindre la finale de la Coupe de France en 1999. Dans un collectif bien huilé, Di Rocco se régale, marque des buts et séduit par sa combativité.

En première division, le charme ne rompt pas et Sedan poursuit sa belle aventure en accrochant la septième place. Lassé d’être le remplaçant de Mionnet et N’diefi, il signe à Saint-Étienne, qui le prête dans la foulée à Aberdeen. En Écosse, Di Rocco ne s’impose pas et est vite renvoyé dans le Forez. En D2, Di Rocco tire son épingle du jeu en finissant meilleur buteur du club avec dix buts. Mais avec des coéquipiers qui se nomment Kuzba, Panov, Rodrigao, difficile d’espérer une remontée en première division. Di Rocco n’est pas conservé. Il achève sa carrière à Caen.

Bilan : 9 buts en 37 matches de D1 contre 28 buts en 138 matches de D2.



10. Bruno Roux, le père de

top10_buteurs_l1_l2_10_roux.jpgMalgré une carrière très honorable en D2 et un passage au PSG, Bruno Roux est maintenant plus connu comme le père de Nolan Roux que comme un ancien joueur pro. Après avoir cartonné en D2 avec Beauvais, il est recruté en 1987 par le Paris-SG. Le club vit une de ses plus mauvaises saisons dans l’élite et la stérilité de l’ensemble des attaquants n’y est pas étrangère. Bruno Roux retourne faire ses classes en D2 avec Rouen puis au Havre, où il décroche la montée en D1 (1991/1992).  vingt-huit ans, dans un club plus modeste, Bruno semble mieux armé pour percer dans l’élite mais une nouvelle fois cale. En deux saisons, il ne marque que 7 buts et comprend qu’il n’est pas un joueur taillé pour la première division.
Il retourne en D2 avec Rennes, Châteauroux, le Red Star et Beauvais, où ses qualités de buteur ne se sont pas démenties (meilleur buteur de D2 en 1997 avec 23 buts).

Bilan : 8 buts en 82 matches de D1 contre 124 buts en 359 matches de D2.


Ils auraient pu être cités : Laurent Peyrelade, Elie Kroupi, Stéphane Roda, Olivier Pickeu, David Faderne, Jean-Pierre Orts, Lilian Compan, Guilherme Mauricio, Yannick Le Saux, Jean-Michel Lesage et tant d’autres.

Réactions

  • vert75 le 19/08/2011 à 16h44
    le Bleu

    Tony Cascarino est loin d'avoir démérité en D1, il y a joué 2 saisons avec Nancy, marqué 12 puis 15 buts... sauf qu'il avait 37 ans !
    Ses 9 matchs avec l'OM, ça ne compte pas.

    ------------------------------------------------------

    C'est sûr que les 2 saisons précédentes à l'OM en L2 c'était autre chose : 75 matches, 62buts...

  • le Bleu le 19/08/2011 à 17h46
    vert75
    vendredi 19 août 2011 - 16h33
    Lors d'un déjeuner de famille, on me sort "un copain à nous qui a joué avec Platini à ses débuts"... "Oui oui c'est çà" plutôt soupçonneux j'étais, vu la source d'où sortait l'info. "Ben quoi tu connais pas Marc Lerebours?"
    ---
    J'ai eu la même à Nice, d'un thérapeute très "coiffure-dents blanches": "mon cousin était un joueur de l'OM". Après recherche, effectivement, il a disputé 5 matchs à l'OM à la fin des années 70...

  • vert75 le 19/08/2011 à 18h33
    Pour l'OM on doit trouver des joueurs recrutés qui ont joué moins de 5 matches, non?

  • Marius T le 19/08/2011 à 20h06
    Même zéro, Léonardo Rodriguez

  • le 21/08/2011 à 11h59
    Et Philippe Prieur, qui fit les beaux jours du HAC au début des 80's.

  • Beau gosse chiant le 22/08/2011 à 17h05
    JPO, Monczuk et Roux dans une moindre mesure... Le Rouennais que je suis sombre dans une douce nostalgie émue.

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