En vous connectant, vous certifiez n'avoir jamais trompé votre club favori. Attention à ne pas confondre vos minuscules et vos majuscules.
Vous avez oublié votre mot de passe ?
Inscription
Vous avez oublié votre mot de passe ? Il reste un espoir ! Saisissez votre adresse e-mail ; nous vous enverrons un nouveau mot de passe. Cette procédure est quasiment gratuite : elle ne vous coûtera qu'un clic humiliant.
Nous vous avons envoyé un email sur votre adresse, merci d'y jeter un oeil !

CONDITIONS D'INSCRIPTION :

1. Vous devez nous adresser, via le formulaire ci-dessous, un texte (format .txt inférieur à 100 ko) en rapport avec le football, dont la forme est libre : explication de votre passion, anecdote, aventure, souvenir, essai, commentaire composé, portrait, autobiographie, apologie, réquisitoire, etc. Vous serez ensuite informés de la validation de votre inscription par mail. Les meilleurs textes seront mis en ligne sur le Forum.

2. Nous ne disposons pas d'assez de temps pour justifier les retards d'inscription ou les non-inscriptions, et ne pouvons pas nous engager à suivre une éventuelle correspondance à ce sujet. Merci de votre compréhension.

Nous avons bien reçu votre candidature, on y jette un oeil dès que possible. Merci !

Partager :

Vodka Orange

Matchbox : Pays-Bas-Russie, 1-3. Tout ce que l’Europe compte de fans de foot salivaient à l’avance devant cette affiche. L’étourdissante sarabande russe face aux contreurs fous...
Auteur : José-Karl Bové Marx le 22 Juin 2008

 

Buts : Van Nistelrooy (86e). Pavluchenko (56e), Torbinskiy (112e), Arshavin (115e)

Tout ce que l’Europe compte de fans de foot salivait à l’avance devant cette affiche. L’étourdissante sarabande russe face aux contreurs fous néerlandais, sortis du groupe de la mort avant autant de facilité qu’Hercule des enfers, laissant derrière eux des Cerbère français gémissants: la rencontre serait forcément sublime.
Elle le fut, en effet, mais moins par la beauté de l’affrontement que par la grâce d’une nouvelle démonstration de l’équipe russe, encore plus impressionnante que lors de ces récitals précédents face aux Grecs et aux Suédois. Car s’il fallut des prolongations pour permettre aux hommes d’Hiddink d’obtenir leur qualification, le match a démontré à un degré imprévisible leur supériorité sur ceux de Van Basten. Sans une inquiétante faiblesse lors des coups de pied arrêtés défensifs, cette équipe apparaîtrait presque injouable. Ah, si on nous avait dit ça au soir de la dérouillée infligée par l’Espagne…


La nalyse

Alors que l’on supposait Hiddink résolu à ne plus toucher à son équipe-type, qui lui avait donné pleinement satisfaction face aux Suédois, le coach batave a réservé une surprise en remplaçant le milieu gauche Bilyaletdinov par le milieu droit Saenko, auteur de deux bonnes entrées en jeu lors des deux derniers matchs de poule.
À part faciliter la diction de Thierry Roland, cette manœuvre avait sans doute pour but de bloquer l’arrière gauche néerlandais, Van Bronckhorst, et de l’empêcher de combiner avec son ailier. Mais l’absence de Robben sur blessure allait de toute façon rendre le côté gauche des Oranje inoffensif, Sneijder, Van der Vaart et Kuyt – qui se sont succédé sans trop de conviction dans cette zone –, n’étant pas de véritables ailiers de débordement. Et comme, de l’autre côté, Bouhlarouz ne représentait pas un grand danger pour la défense russe et que Kuyt, censé animer son couloir, n’était pas dans un grand soir, il apparut assez rapidement que les coéquipiers de Semak allaient remporter la bataille des flancs.

Toujours aussi fougueux, les latéraux Jirkov et Anuykov n’hésitaient pas à monter très haut, et puisque les milieux axiaux Zyrianov, Semshov et Semak s’engageaient régulièrement, et toujours à bon escient, sur les côtés pour leur prêter main-forte, les Russes se créaient rapidement des occasions grâce à des redoublements de passes non loin de la ligne de touche, couronnés de fautes bataves (comme celle qui provoqua le dangereux coup franc direct de Jirkov) ou de centres précis pour un Pavluychenko qui prit rapidement la mesure de ses gardes du corps.


Kolodine capital
Les problèmes des Hollandais ne s’arrêtaient pas là, puisque De Jong et Engelaar, face aux virevoltants poids plume du milieu russe, faisaient le même match que les récupérateurs suédois Svensson et Andersson quelques jours plus tôt: d’interminables courses dans le vide derrière un ballon rendu presque inaccessible, surtout quand Archavine décrochait pour s’en mêler. Si Sneijder et Van der Vaart parvenaient par séquences, sur quelques passes appuyées, à trouver Ruud esseulé en pointe, le danger rodait bien plus sur la cage de Van der Sar que sur celle d’Akinfeev. Le géant mancunien, dont c’était le cent vingt-huitième et dernier match en sélection, dut ainsi s’étaler de tout son long pour aller chercher une frappe enroulée et vicieuse d’Archavine avant la séquence "on fire" du stoppeur Kolodine, qui balança en l’espace de trente secondes deux missiles de plus de trente mètres (un cadré, un ras de lucarne) à faire baver d’envie Ronald Koeman. Avant de remettre ça sur coup franc un peu plus tard. Les seules occasions néerlandaises provenaient de longs coups francs rentrants de Sneijder et Van der Vaart, dont la défense russe ne sut pas trop comment gérer les trajectoires, choisissant au final de ne pas intervenir, et à raison : les ballons frôlèrent plusieurs fois les montants, mais du bon côté pour Akinfeev, quinze ans de moins que Van der Sar et peut-être bien un avenir tout aussi glorieux.


Techniciens de surface
La maîtrise globale de la Russie allait enfin être scellée après la mi-temps, sur un superbe mouvement qui vit Archavine décaler sur l’aile gauche Semak, dont le centre parfait était élégamment coupé au premier poteau par Pavluychenko. À noter que Semak, censément milieu axial le plus reculé, réussissait sur ce centre de pur ailier gauche sa seconde passe décisive du tournoi, la première ayant été un retourné acrobatique à droite dans la surface face à la Grèce… Oui, Semak incarne le football total à lui tout seul, on n’en revient toujours pas.


arshavin_sitoff.jpgIntenable Archavine
Au début de la seconde période, l’action du but illustrait l’ascendant pris par Pavluychenko sur Ooijer et Mathijsen et, au-delà, la présence de plus en plus insolente des Russes dans la surface hollandaise. Les remplacements opérés par Van Basten n’y changeaient rien, Heitinga prenant l’eau encore plus que Boulahrouz, et Van Persie gâchant la plupart de ses ballons, dont un coup franc à dix-huit mètres qu’il expédia en tribune.
Tandis que les Néerlandais s’en remettaient de plus en plus à des coups francs ou à des frappes lointaines, les Russes continuaient de combiner à qui mieux mieux, se créant les occasions les plus dangereuses par un Archavine intenable… jusqu’à un énième coup franc excentré à trois minutes de la fin, que Sneijder balança dans la boîte, ou plutôt sur la boîte crânienne de Van Nistelrooy, qui se sortit pour la première et dernière fois du match du marquage serré d’Ignachevitch et Kolodine. Une minute plus tard, ce dernier échappa de justesse à l’expulsion, l’arbitre assistant ayant signalé à Lubos Michel que le ballon était sorti avant que Kolodine ne tacle à retardement Sneijder.


Petit dèj à Vladivostok
Les Russes respiraient, mais l’égalisation était tout de même un coup terrible pour eux après un match passé à dominer, si bien qu’on se prit à craindre quelque démobilisation fataliste de la part des Slaves. Mais on avait tort de céder aux clichés: la prolongation ne fit qu’offrir à Jirkov et ses copains une demi-heure supplémentaire de démonstration face à des rivaux épuisés.

Pourtant, les Hollandais résistèrent tant bien que mal en première période: barre de Pavlyuchenko sur une frappe lointaine, passe à dix russe dans les six mètres, percées d’Archavine repoussées par une arrière-garde exsangue… et on se mit sans doute, dans les chaumières de Moscou (où il était une heure du matin) et de Vladivostok (où on prenait le petit-déj), à convoquer le souvenir du triomphe de Van der Sar lors de la séance de tirs aux buts de la dernière Ligue des champions.
Mais l’allant russe était décidément irrésistible et c’est avec un entrain quasi enfantin que, à la 112e, le bébé Cadum Archavine enchaîna une course de trente mètres et un centre du gauche parfait que Torbinski, entré en jeu vingt minutes plus tôt, volleya de l’exter du gauche au ras du poteau. Le malingre buteur faillit périr sous la pyramide humaine qui s’ensuivit, mais le match était enfin plié. Et Archavine, avant-dernier passeur sur le premier but et passeur décisif sur le deuxième, pouvait couronner sa performance d’un but malicieux, en reprenant directement une longue touche d’Anuykov entre les jambes du grand Edwin.
Hiddink avait espéré être un "bon traître" envers son pays natal. C’est réussi.



Les gestes

• Les frappes de loin de Kolodine, sur lesquelles des millions de téléspectateurs ont instinctivement rentré la tête dans les épaules en se protégeant le visage.
• L’action estampillée Pedros-Loko de Pavluychenko et Anuykov, achevée par une frappe excentrée de l’arrière droit que Van der Sar capte d’une main.
• Les trente-six passes des Russes dans la surface de Van der Sar, avant que Torbinski ne se troue seul face au but vide.
• Le rangeage de carton rouge dans la poche de Lubos Michel, qui aurait mérité de se voir consacrer un reportage de Thomas Guichard.


Les antigestes

• La concentration de Sneijder sur un coup franc à dix-huit mètres avant que Van Persie ne surgisse de derrière pour propulser la balle sur orbite.
• Le tressaillement de paupière de Marco Van Basten à la cent huitième minute. Nos experts sont formels: ce tic signifiait "Putain, pas un pour coller aux Soviets une volée en lucarne depuis la ligne de touche".
• L’égoïsme de Torbinski qui, en fin de prolongation, fait monter ses défenseurs centraux épuisés pour un coup franc excentré, avant de tirer ledit coup franc "direct" (c’est-à-dire quatre mètres au-dessus de la barre).
• Le carton jaune qui privera Kolodine de la demi-finale: on le voyait bien lâcher une frappe de cinquante mètres, cette fois.



Les observations en vrac

Archavine et Bilyaletdinov, qui ont l’air de sortir de la maternelle, passent pour des vieillards à côté d’Afellay, qui a une tête à encore porter des couches.
• Un drapeau rouge-blanc-bleu contre un drapeau blanc-bleu-rouge : rien de tel pour retourner le couteau dans la plaie.
Hiddink serait foutu de qualifier l’AS PTT Poissy en Ligue des champions. Et d’y faire bonne figure.
• Encore deux matchs de ce calibre pour Archavine, déjà champion de Russie, vainqueur de la Coupe de l’UEFA et probable transfert à sensation à Arsenal, et Cristiano Ronaldo peut se faire du souci pour son Ballon d’Or.
• La dernière fois qu’on avait vu une passe décisive sur une touche, elle était l’œuvre de Roberto Carlos lançant Raul en finale de la Ligue des champions 2002. Quand on vous dit que les latéraux russes valent bien les Brésiliens.
• C’est Hiddink qui avait lancé Van der Sar en sélection, il y a treize ans. C’est lui qui met fin à sa carrière internationale aujourd’hui. À ressortir quand en 2020 Domenech, devenu entraîneur de l’Italie, enverra Benzema à la retraite.



Shirokov_hollande.jpgLe joueur à suivre

Roman Chirokov n’a plus joué depuis la déroute inaugurale de la Russie face à l’Espagne (1-4). Ce jour-là, associé en défense centrale à Kolodine, il avait été plutôt moins mauvais que son collègue, donnant même de la tête une passe décisive à Pavluychenko. Mais c’est lui qu'Hiddink choisit alors de sacrifier pour intégrer dans sa charnière l’expérimenté Ignachevitch. Depuis, les Russes n’ont pris qu’un but en trois matches. Mais c’est probablement à Chirokov qu’il incombera de remplacer Kolodine, suspendu.

Doté d’un jeu élégant et connu pour la qualité de sa relance, ce joueur de vingt-sept ans a longtemps navigué dans des clubs de second ordre avant de monter en régime l’année dernière. Transféré des Khimki (un club de la banlieue de Moscou) au Zénit Saint-Pétersbourg, ce milieu de terrain de formation avait été placé en défense par Dick Advocaat, le milieu du Zénit étant surchargé. Il y réussit une excellente saison et une belle campagne en UEFA, si bien qu’il honora sa première cape en mars 2008 avant d’être titularisé pour l’entrée en matière face à l’Espagne.
Hiddink lui-même avouera ensuite que c’était peut-être une ascension trop vertigineuse. Il n’empêche que (si l’un des jumeaux Berezutski, probablement Vassili, ne vient pas le griller au poteau), Chirokov semble en pole position pour épauler Ignachevitch en demi-finale. Pour une rédemption ou un nouveau naufrage?



Ooijer_russie2.jpgLe joueur à ne pas suivre

André Ooijer. À trente-quatre ans, on est censé avoir plus que trente-huit sélections si l'on est un joueur important. Mais Ooijer n’en est pas un dans la sélection hollandaise. Il est plutôt là par défaut, en fait. Stoppeur solide mais lent et techniquement quelconque, il n’a jamais diffusé un sentiment de confiance pendant cet Euro, n’échappant contre la France que miraculeusement au combo abidalien pénalty + rouge en arrêtant de la main un tir d’Henry. Hier, le joueur de Blackburn, où il est sans doute à sa place, n’a jamais empêché Pavluychenko de s’amuser. Lors de la Coupe du monde sud-africaine, Ooijer aura trente-six ans. S’il est encore là, c’est vraiment que les Pays-Bas ne savent plus former des défenseurs.



Le titres auxquels vous avez échappé

Ar, ar, Arshavin, Russia’s greatest love machine
Qu'est-ce qu'Hiddink?
Victoire dans les pieds russes
La prochaine fois tu prendras l'Guus

Réactions

  • le 23/06/2008 à 12h53
    Le_footix
    lundi 23 juin 2008 - 00h20
    ----------
    De mémoire il me semble que la cohabitation entre les Franck ne s'était pas très bien passée, entraînant le départ de Sauzée (A confirmer par les spécialistes du RCS).
    Sinon il y effectivement une similitude (et le moule semble cassé, du moins en France).

  • Sting Toftig le 23/06/2008 à 13h25
    Question aux pros de l'arbitrage :

    - La non-expulsion de Kolodine n'est elle pas curieuse ? Je m'explique. Soit, l'arbitre de touche a jugé que le ballon était sorti avant la confrontation qui amène Kolodine à la faute ; dans ce cas, on revient au dégagement aux 6 mètres. Jusque là tout va bien.

    Mais Kolodine l'a bien faite, cette faute que l'arbitre a jugée valoir un 2e carton jaune, non ? On a beau revenir aux 6 mètres, à ce que je sache il n'y a pas que les fautes qui se passent "dans le jeu" qui sont sanctionnables. Si un joueur colle un pain (ou un coup de boule) à un autre pendant une phase ou le ballon n'est pas en jeu, il sera tout autant sanctionné ! M'est avis que si Kolodine, plutot que de s'en tenir à un mauvais tacle, avait craché sur l'Orange ou lui avait collé un pain, il aurait été expulsé. Il a été sauvé par la non-spectacularité de sa faute, en fait.

    Avec ce coup-là et celui du hors jeu pas hors jeu, les Pays Bas auront au moins eu le mérite de chercher les failles dans les règles du jeu.

  • Vas-y Mako! le 23/06/2008 à 13h58
    Je pense que l'arbitre se dédit car le tacle de Kolodin est avant tout un acte dans le jeu (C'est-à-dire qu'il joue le ballon, un peu violemment certes, d'après les images en temps réelles, ...or si le ballon n'est plus en jeu, il estime qu'il ne peut pas sanctionner) ...comme si un joueur était hors-jeu et marquait un but alors que le ballon était sorti sur l'action précédente..il revient à l'action précédente, sans par exemple mettre un carton jaune au joueur qui aurait continué l'action après le coup de sifflet.
    Mais si cela avait été un coup de tête, c'est différent ( pas un acte de jeu)...
    Et puis les images montrent bien que Schneider malheureusement fait du cinéma , à peine éffleuré par le pied de Kolodin ( mais c'est une autre histoire)

  • Kasti le 23/06/2008 à 15h34
    @ Nutmeg

    Bon, Russie - Turquie en finale... Qui dit mieux ?


    Ce serait pas mal, surtout pour 2 pays même pas dans l'UE

  • Petit Jouor le 23/06/2008 à 17h05
    alors oui les Russes, tres bon match, Arshavin, toussa... ok.

    mais physiquement ils etaient vraiment "tres" impressionnants. ne serait- ce que les rushs dudit Arshavin passée la 100 eme minute.

    alors question aux experts ès journal du dopage :
    l'ami Hiddink qui passe pour un genie, coup de chapeau toussa, n'est il pas connu pour etre un entraineur qui "prepare" bien ses equipes à base de Tonymalt-special-Juan-Sebastian-Veron ou tout cela est-il dû aux magiques vertus de la bonne Volvic bien fraiche ... ?

  • nikiforov le 23/06/2008 à 17h15
    Je ne sais pas a quoi ils sont nourris, pas plus que je ne sais a quoi carbure l'equipe des PB, de la Turquie ou de l'Espagne.
    Ce qui est sur, c'est que les Russes n'en sont qu'a la premiere partie de leur championnat, que les joueurs du Zenith ont ete laisses au repos (je crois que 6 de leurs matches de championnat ont ete decales) pour preparer la finale de l'UEFA et que Hiddink a impose a toute l'equipe une preparation physique d'enfer avant le tournoi.


  • BigS le 23/06/2008 à 17h25
    Oui, et c'était déjà le cas pour les Sud-Coréens qui avaient bloqué presque deux mois (je crois) de préparation avant leur coupe du monde. Les Russes sont frais, les autres sont bien crâmés. Je crois même pas qu'il y ait besoin de les doper pour qu'ils soient plus rapides et plus endurants que leurs adversaires.

  • Nutmeg le 23/06/2008 à 17h37
    C'est vrai que les Russes ont un point commun avec les Coréens de 2002 : une condition physique étonnante qui leur permet de déborder leurs adversaires. Vu comme on entend parler des Coréens depuis... c'est-à-dire pas du tout, il y a peut-être baleine sous gravillon comme dirait l'autre.
    Maintenant, si on ne veut pas voir le mal partout, on peut reconnaître le savoir-faire de Guus H. et les conditions favorables aux Russes : longue préparation avec l'équipe nationale, pleine bourre physique car on est en milieu de saison dans le championnat russe. Et on peut surtout apprécier leur jeu ambitieux.

  • arnaldo01 le 23/06/2008 à 18h31
    Il faut arreter de voir le mal partout ! En 2002, comme les russes actuellement, tous les coréens jouaint en corée donc ils ont adapté le championnat à la coupe du monde. C'est ainsi la seule equipe à avoir eu plus d'un mois de preparation. Si vous ajoutez l'absence de decalage horaire, c'est normal que les coréens aient paru plus en forme que les autres equipes. Pour les russes cette année, ils ont commencé leur championnat debut mars et donc n'ont pas 60 matchs dans les jamnbes ! Certains diront que c'est du favoritisme, je repondrai que les autres federations pouvaient faire terminer leur championnat plus tot.
    Je ne dis pas qu'il n'y a pas de dopage, je dis juste qu'il y a d'autres explications.

  • Tapas Tef y Graf le 23/06/2008 à 18h57
    C'est interessant de remarquer que:
    - des qu'une equipe est superieure physiquement elle est dopee.
    - les russes sont donc dopes, alors que toutes les autres equipes sont blanches comme neige? (surtout les papys francais incapables de courir)

    Hilarant.



La revue des Cahiers du football