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CdF Omnisport

Le fil multiprise pour les disciplines orphelines...

  • arnaldo01 le 16/02/2023 à 15h00
    Je pensais à ceux qui ont un casque mais ça peut aussi être utile aux biathletes.

  • forezjohn le 16/02/2023 à 15h39
    Pour les descendeurs, je ne pense pas pendant la course : déjà en terme de concentration avec un mec qui te parle en plein effort à 140km/h, et en cas de chute avec potentiellement l'oeillette qui vient s'appuyer sur le crane.
    En revanche ils sont en contact avant le départ pour avoir des retours sur l'état du parcours.

  • MarcoVanPasteque le 16/02/2023 à 16h03
    Pour les biathlètes, non ce n'est pas autorisé car ils n'ont droit à aucune aide sur le pas de tir, ils sont seuls face aux cibles et aux éléments (et cette #! *! ¿ de balle de pioche qui veut pas rentrer). Pendant la partie skiée en revanche ils reçoivent des indications sur leurs tirs, leur temps, de la part de membres du staff qui hurle sur le bord de la piste ou leur montre une cible présentant les impacts des tirs qu'ils viennent d'effectuer si besoin.
    Et c'est pareil chez les filles.

  • l'homme de la pampa le 17/02/2023 à 15h18
    (Ski Alpin)
    Alors qu'il ne reste que les 2 slaloms à courir avant la fin des Championnats du Monde à Méribel/Courchevel, l'Autriche n'a toujours pas la moindre médaille d'or à se mettre sous la dent. Ca sent la crise au pays de l'Alpin car si les Autrichiens repartaient de France bredouilles de titre ce serait une première depuis... 1987. Et les 6 breloques actuelles (3 en argent, 3 en bronze) pèseront peu au moment du bilan final. Dernière chance de titre probablement sur le slalom hommes avec Feller voire Schwarz qui sont toutefois au mieux des outsiders.
    Avec le titre de Pinturault sur le combiné et son bronze en Super G la France ferait presque figure de nantie.

  • Vas-y Mako! le 17/02/2023 à 17h16
    Cort Nielsen c'est vraiment un sacré coureur. Sa victoire aujourd'hui au Tour de l'Algarve est assez extraordinaire. Echappé à 25 bornes de l'arrivée ( à l'issue d'un sprint intermédiaire) avec 5 coureurs dont Pidckock, Ganna, Madouas, il assure les plus gros relais (comme très souvent), le groupe se fait rattraper par le peloton à 500 m de l'arrivée, dans un virage et lui décide d'en remettre une couche à la sortie du virage et de faire un long sprint de plus de 400 m pour gagner avec plusieurs longueurs d'avance sur les poursuivants. Ce type est incroyable.

  • BIG le 18/02/2023 à 10h01
    Il a une panoplie de victoires toutes plus improbables les unes que les autres, souvent dans des conditions insolites et faut le chérir pour ça (et pour la moustache). J'ai un faible pour la première des trois de la Vuelta 2021, quand Roglic vient mourir derrière lui en haut du repecho final ( lien ). Le sprint d'hier est très très drôle, on se demande vraiment ce que foutent les autres à pas démarrer derrière lui. Il lui manque une belle classique au palmarès (ou au moins de finaliser le triptyque des GT en gagnant sur le Giro), si possible de manière rocambolesque.

  • BIG le 18/02/2023 à 11h58
    [Cyclisme - World Tour - GCN Race Pass Rankings - Hors-série divisions inférieures]
    On rigole on rigole, mais tout le monde ne peut pas prétendre aux plus hautes fonctions et, c'est dans les interstices de ce bas monde que se cachent les choses les plus intéressantes. Il est donc grand temps (oui, avec un mois de retard, désolé) de rendre aux gens qui ne vivent pas dans les stratosphères du World Tour l'hommage qu'ils méritent, en élisant quelques héros probables de chacune des catégories de jugement appliquées à la première division en janvier.

    Les trois héros du Zeitgeist :
    - Arnaud De Lie : une tronche d'ado qui glande à l'arrêt de bus, un passe-temps consistant à s'occuper des vaches dans l'exploitation familiale, et un style de brutasse flamande sur le vélo alors qu'il est wallon, en bref c'est tout ce qu'on aime. Il a tenu la Lotto la tête à moitié hors de l'eau toute la saison passée en découvrant le monde professionnel, ce qui lui a permis de prendre un max de caisse avec un calendrier bien rempli et des victoires déjà épiques (celle sur la classique du Limbourg sous la neige et sur un terrain pourtant bien valonné était spécialement dantesque). Cette année sera celle de la bascule vers des courses de costauds, et il claquera forcément une première grande classique, genre un Gent-Wevelgem sous une météo maussade. La cote de popularité est donc déjà au plus haut, et ça devrait durer 15 ans.
    - Tobias Halland Johannessen : une demi-saison très convaincante (top 10 en Catalogne et au Dauphiné) puis disparition et problèmes physiques ... La trajectoire jusqu'ici météorique de Johannessen s'est interrompue l'an passé et on aimrait tant qu'il redevienne cette année le danger public qu'on espérait le voir devenir. Et ça tomberait fort bien puisque Uno-X a décroché son invitation sur le Tour de France, une occasion rêvée pour débarquer sans complexe sur la plus grande scène du cyclisme mondial et s'y faire remarquer ...
    - Simon Clarke : parce que le Zeitgeist, c'est pas que les jeunes, apprécions la classe absolue de l'australien, repêché par la maison de retraite israëlienne début 2022 alors que ça sentait bon la quille, et qui s'est avéré être leur meilleur gazier, avec en point d'orgue la mémorable victoire sur les pavés au Tour de France. Profitons-en tant qu'on peut !

    Les trois machines à highlights :
    - Simon Pellaud : on avait fini par s'habituer à se présence joviale dans presque toutes les échappées du Giro quand il était chez Androni, et ces salauds de chez Trek-Segafredo, incapables de mesurer ce que barouder inutilement suppose de génie mêlé de stupidité, ont brisé ce bel élan. Heureusement tout ça n'aura duré qu'un an et le suisse retrouve la D2, chez les promus de la Tudor, où on espère qu'il retrouvera sa liberté de se lancer à l'abordage, quand bien même il a de beaux coéquipiers pour lesquels travailler.
    - Peter Sagan : on oublierait presque qu'il existe tellement il a été ringardisé en à peine deux ans, mais le slovaque subsiste encore dans sa galaxie à lui, qui est une sorte de pré-retraite dorée aux petro-euros de tonton Pouyanné (ceux qui sont détournés des impôts et de la paye des ouvriers des raffineries tant et si bien qu'à la fin tout est bloqué et vous pouvez pas faire le plein du Scénic pour aller au boulot), où il se montre de plus en plus dangereux (les sprints de videur de boîte de nuit sur le Tour) et de plus en plus feignant (les DNF de touriste à Montréal et Québec). Alors quels faits saillants me direz-vous ? Allez savoir, j'arrive pas à me faire une raison et à renoncer à espérer qu'il se réinvente pour offrir des images dignes et ludiques avant de disparaître pour devenir probablement vieux, gros et libidineux.
    - Victor Campenaerts : continuellement, sur la campagne de flandriennes, le temps s'arrête et ce personnage râblé fait une apparition, tassé sur sa machine, dépourvu de lunettes et emmenant des braquets impensables dans des projets perpétuellement absurdes. Il n'y a, en général, rien à comprendre : le bonhomme a de la force, un peu trop de force sans doute, et tel un ménage précaire sur la voie du surendettement, il lui faut tout dépenser, tout dégobiller sur la route, dans un élan de combustion spontanée dont il nous est toujours permis de croire qu'en dépit de toute logique, quelque chose de mémorable en restera.

    Les trois pâmoisons esthétiques :
    - Luke Mudgway : l'école océanienne de la piste peut se targuer d'avoir produit avec ce rouquin le coursier le plus compact du peloton international. Personne, à le voir échappé sur une quelconque route belge, ne croira qu'il atteint le mètre 71 que nous vend les internets tant son corps semble avoir été tordu par un chaudronnjer psychopathe pour être écrasé sur un cadre en carbone et ne pouvoir rouler que les mains en bas. Pour le téléspectateur, c'est un ravissement de chaque instant.
    - Sep Vanmarke : convenons-en, on a tous un côté vieux con et c'est pas la moyenne d'âge de ce forum qui va arranger le problème. D'où l'amour immodéré que l'on peut (que dis-je, que l'on doit) éprouver en apercevant, s'il ne se blesse pas d'ici là, la carcasse et le style rustique de ce brave Sep sur les classiques de printemps. Parce qu'il y a des choses qui ne s'expliquent pas, au premier rang desquelles sa malchance congénitale, et au second ce sentiment qu'il est le dernier coureur du peloton que l'on pourrait transbahuter dans n'importe quelle époque et qui n'y dépareillerait pas.
    - Le maillot d'Orluis Aular : le garçon peut vous être totalement inconnu, dès l'instant où vous apercevrez sa tunique de champion du Venezuela rendue possible par une Caja Rural conciliante, impossible de ne pas rêver le voir lever les bras au prochain sprint.

    Les trois détails qui tuent :
    - Les Pinarello (Pinarelli ?) à patins : pour leurs premiers pas en D2, les néozélandais de la Bolton Equities Black Spoke font péter la jauge de la note de minutie pour les puristes en continuant à se trimballer sur des Pinarello montés en freins à patins. Si on n'avait qu'une chose à réclamer, ça serait que surtout rien ne change et que cette incongruité survive le plus longtemps possible.
    - La double dose d'Azparren : si ce n'est lui, c'est donc son frère. On commençait à bien connaître Xabier Mikel, archétype du cycliste basque, polyvalent mais surtout dévoué à l'animation des courses, à la beauté du geste publicitaire et aux spectacles gratuits sur la voie publique (avec moustache de cape et d'épée en prime). Et bien un bonheur n'arrivant jamais seul, Euskaltel a embauché le petit frère, trois ans de moins et un profil plus grimpeur, qu'on espère voir mettre le nez à la fenêtre en cours de saison.
    - Hagens Berman Axeon : le maillot Star Wars, les BMC noir et blanc, et les deux protagonistes du plus beau sprint de la saison 2022 (Morgado et Herzog aux mondiaux junior). Y'a absolument rien à jeter dans l'équipe d'Axel Merckx cette saison et c'est quand même dingue qu'on soit obligé de descendre jusqu'en troisième division pour en profiter.

    Les trois propositions comiques involontaires :
    - Jan-Willem van Schip : force de pistard, choix tactiques erratiques, carcasse inimitable et délires réglementaires pour faire plaisir aux juristes ... On espère que son transfert de Beat Cycling Club vers chez ABLOC (potato potato des conti hollandaises, personne n'y comprend rien) nous apportera cette année son lot de propositions loufoques qui font avancer la science.
    - Miguel Angel Lopez : en parlant de faire avancer la science, on se demande ce qu'il y a dans l'eau du robinet en Colombie, et on se marre bien devant ses performances de début de saison à domicile, qui nous renvoient aux plus belles heures de Ricardo Ricco. C'est vain comme une rock star incomprise qui s'autodétruit sur scène en livrant des concerts mi-anthologiques, mi-tragicomiques ("car à côté de Medellín, la Grande-Motte ressemble à Venise" finira-t-on par chanter), et on se demande s'il a réfléchi au fait que plus il performe scandaleusement là-bas, moins il a de chances de revoir l'Europe ...
    - "Chris Froome distancé !" : la blague la plus chère du cyclisme mondial. Et en même temps, comment dire ... on en viendrait presque à croire que c'est le dernier mec du peloton à rouler sans pression. Quoi qu'il en soit, quand Thierry Adam sur la moto qui nous signalera qu'il est lâché, on saura qu'on est là, sereins sur le canapé à ricaner, en complète maîtrise de la situation.

    Allez, rendez-vous en fin de semaine prochaine pour un dernier preview inédit de la saison.

  • Label Deschamps le 18/02/2023 à 13h14
    Un putain de beau relais. Bravo les gars, avec une mention pour Guigonnat exceptionnel.

  • impoli gone le 18/02/2023 à 13h21
    Oui, il aura fallu s'y mettre à 4 et avoir un peu de chance avec le vent pour arriver à battre l'extra-terrestre qui a quand même failli revenir.

    4 relais excellents, avec un Guigonnat exceptionnel, et le dernier tir debout de QFM et JT Boe était de toute beauté.

  • Vas-y Mako! le 18/02/2023 à 13h26
    Cette victoire à la Vuelta était sublime.