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Utopie et football

L'organisation du football mondial telle qu'elle devrait être selon vous.

  • L'amour Durix le 29/11/2022 à 09h52
    Duluc ne dit pas que Jairzinho a endossé l'agression pour rentrer plus vite, mais plutôt que son départ étant acté et imminent, cela arrangeait tout le monde qu'il se dénonce.

  • Josip R.O.G. le 29/11/2022 à 10h14
    C'est pas ça qui me choque, c'est le fait de dire que c'était Paulo César l'agresseur.
    J'aimerais bien savoir d'où ça sort.

  • Red Tsar le 29/11/2022 à 12h27
    J'espère ne pas avoir véhiculé une fake news à l'insu de mon plein gré. Je pensais que Duluc était honnête et je n'imaginais pas qu'il ait pu inventer cette histoire (que je comprends comme L'Amour). Par contre, d'accord avec toi sur le « simple remplaçant », qui ne rend pas compte de la qualité du joueur. Je lui rends d'ailleurs hommage dans le compte-rendu Brésil-Angleterre, match dans lequel il est titulaire. Un super joueur, assurément.

  • Delio Onnisoitquimalypense le 29/11/2022 à 20h12
    Merci pour les précisions (et la nostalgie ohémienne), voilà ce que c'est de regarder trop de matches pour un Juanito ; on n'avait pas encore cité le nom de la mascotte de ce Mondial, il était temps. La page wiki des mascottes m'apprend un nouveau mot, hypocoristique 'qui exprime une affection tendre' ; hypocoristique venant caractériser ici "diminutif".

    Pas trouvé de vidéo avec Drücker aux commentaires, le résumé de la finale de Coupe de cette année 70 comble ce manque (à la fin de l'article) : lien

    -----------------SPOILER---------------SPOILER---------------

    Résumés abrégés par la fièvre (c'est peut être pas plus mal niveau volume, le contenu sera pire encore)

    Uruguay Italie : deux équipes très costaudes, Riva et Mazzola toujours aussi beaux côté italien, des beaux tirs de loin, et nul 0-0 qui ne devrait pas porter à conséquence pour la qualif dans ce groupe 2, la Suède ne m'a pas fait forte impression, et Israël est très en dessous. J'ai tenu ma promesse et zappé Suède Israël, 1-1. On a donc après cette deuxième journée :
    Uruguay 4
    Italie 4
    Suède 1
    Israël 1

    RFA Bulgarie : le rouleau compresseur d'Outre Rhin en action, 5-2. On a cru à un match équilibré avec l'ouverture du score par Limonov à la 12e, mais ça a plus motivé les allemands pour leur Blitzkrieg qu'autre chose. Toujours aussi impressionnante d'organisation, de discipline (sauf sur la réduction du score ) 5-2 en fin de match, mais bon) et de talent offensif. triplé de Gerd Müller, qui prend la tête du classement des buteurs avec quatre pions.
    Cette équipe m'a énervé autant qu'impressionné, probablement juste parce qu'ils sont allemands, et que mon thierryrolandisme ne s'était pas assez exprimé.

  • Red Tsar le 30/11/2022 à 12h43
    MERCREDI 10 JUIN 1970 – J3 DE LA PHASE DE POULE [7/13]
    Le match du jour : RFA – Pérou (Groupe IV)


    *** LE SON à lancer maintenant : Pour la fine gastronomie, je vous recommande Chez Delio, produits de qualité du monde entier. De mon côté, je continue avec mes surgelés et mes boîtes de conserve. Voici donc : Wunder gibt es immer wieder, interprété par Katja Ebstein : lien
    Je découvre que l'artiste est chanteuse de « schlager ». Après vérification, aucun rapport avec la « schlague ».

    *** EN FRANCE… Condamné à six ans de réclusion criminelle en 1967 par la cour d'Assises de la Seine pour sa participation à l'affaire Ben Barka, l'ancien inspecteur principal de la police judiciaire, Louis Souchon, demande la révision de son procès. Il prétend n'être qu'un pion, dans une affaire que de Gaulle avait qualifiée de « vulgaire et subalterne ».

    *** DANS LE MONDE… Le Monde publie une enquête sur la situation des campus aux États-Unis : « L'intervention américaine au Cambodge, la fusillade du campus de Kent (Ohio) [4 morts] ont brutalement réveillé l'activité politique dans les universités américaines, multiplié et grossi les manifestations. À vrai dire, celles-ci n'avaient pas cessé : l'opposition politique étudiante, née du " Free speech movement " de Berkeley, d'une part, de la lutte contre la guerre du Vietnam et contre la ségrégation raciale, de l'autre, a pris un tour plus violent depuis 1968, faute d'avoir obtenu des succès décisifs. Un des mouvements " radicaux, le S.D.S. (Students for a democratic society), s'est durci " en même temps qu'il se divisait en tendances, souvent liées à des courants trotskistes, voire maoïstes. Aujourd'hui, il tend, dans une optique marxisante, à associer " le combat contre l'impérialisme " (et non plus seulement contre la guerre du Vietnam) à la lutte contre l'exploitation des travailleurs ", et tente, avec un succès souvent limité, des actions de solidarité avec les grèves ouvrières. Les manifestations étudiantes sont désormais un des principaux soucis des présidents d'université. Ceux-ci, devenus des " administrateurs de la crise ", doivent manœuvrer difficilement entre les exigences de la gauche étudiante, les pressions contraires de la politique locale et les vœux du corps enseignant. »


    *** LE CONTEXTE DU MATCH

    * Le match se déroule à l'Estadio Nou Camp (León). L'affluence est réduite (18 000 spectateurs), mais le petit stade est sympathique, avec des tribunes basses proches du terrain. Les plans larges montrent des tribunes combles et on entend une belle animation. La partie est arbitrée par un local.

    * Les Péruviens ont été présentés il y a quelques jours ici : lien
    Depuis leur premier match, il y a du bon et du douloureux. Le bon : deux belles victoires. Menés 2-0 par les Bulgares, les Péruviens l'emportent 3 à 2, avec trois buts en 25 minutes. Ils affrontent ensuite le Maroc, qu'ils battent 3 à 0, avec encore trois buts rapprochés, en dix minutes, et un doublé de Cubillas. Le Maroc et la Bulgarie ayant tous deux perdu leurs deux premiers matchs, la qualification est donc assurée. Le douloureux à présent : les chiffres du nombre de victimes du séisme du 31 mai ne cessent d'augmenter. On annonce à présent plus de 50 000 morts et le bilan est loin d'être définitif. Pas le contexte idéal pour jouer au foot... Tout l'arsenal offensif est aligné par Didi pour la rencontre contre les Allemands : Chumpitaz, Cubillas, Gallardo, Sotil. On ne baisse pas les yeux chez les Péruviens.

    * Après la déconvenue d'une élimination lors de la phase préliminaire de l'Euro 1968, la RFA paraît gagner sans trop de difficultés son billet pour la Coupe du monde 1970. Elle effectue un parcours qui peut sembler quasi parfait. Seulement accrochée en Écosse (1-1), elle établit un nouveau record, celui de la plus large victoire à domicile (12-0), contre Chypre. Cependant, tout n'a pas été aussi facile que ces chiffres semblent l'indiquer. La Mannschaft ne gagne en Autriche que grâce à un but contre son camp et, à la maison au retour, avec un but de Müller dans les dernières minutes de la rencontre. À Chypre, la victoire est arrachée à la 91' ! Après le nul à Glasgow, les Allemands concèdent l'ouverture du score à domicile contre les Écossais, avant de réussir à renverser la situation.
    Ajoutons, pour corser la situation, que les joueurs doivent s'entraîner sous la protection de la garde montée au Mexique, en raison de rumeurs d'enlèvement. Les premiers matchs ne leur ont pas permis de lever toutes les interrogations. Pour leur premier match, les Allemands peinent à venir à bout du Maroc. Menés 1-0 à partir de la 21ème minute, ils l'emportent sur le tard, avec un but de Müller à la 78ème. Le 7 juin, le match contre la Bulgarie est rassurant pour la Mannschaft (victoire 5-2). Mais ce n'est qu'à l'issue de la confrontation avec le Pérou qu'elle pourra réellement s'étalonner.
    Petits focus sur quelques joueurs :
    - Sepp Maier : un des plus gros palmarès du foot allemand. Le Mondial de 1970 est sa première compétition internationale en sélection. Il gagne une Coupe d'Europe des Nations en 1972, puis une Coupe du monde en 1974. En 1976, lors de la finale de l'Euro, il est la victime de Panenka, qui offre le titre à la Tchécoslovaquie.
    - Franz Beckenbauer, qu'il ne semble pas utile de présenter ici,
    - Berti Vogts : défenseur rugueux, il gagne cinq titres de Bundesliga avec le Borussia, dont le premier en 1970, quelques semaines avant l'ouverture du Mondial. Comme Maier, il est de la partie avec la Mannschaft en 1972, 1974 et 1976. Particularité : il est le seul à avoir remporté l'Euro à la fois en tant que joueur (1972), puis en tant que sélectionneur (1996).
    - Wolfgang Overath : il rejoint le FC Cologne à 20 ans. Entre 1963 et 1977, il y disputera 409 matchs et inscrira 84 buts, remportant un titre de champion en 1964 et deux coupes d'Allemagne en 1968 et 1977. Il intègre la sélection nationale en 1963. Son histoire avec la Mannschaft se finit en beauté, contre les Pays-Bas de Johan Cruijff en finale de la Coupe du monde 1974.
    - Reinhard Libuda : cet ailier droit se fait connaître très jeune en raison de sa qualité de dribble. Il est titulaire dès ses 18 ans à Schalke 04. Il entre dans la légende pour avoir marqué le but victorieux de la finale de la Coupe des Coupes 1966, d'un lob de 25 mètres, offrant au Borussia Dortmund et à l'Allemagne, son premier titre européen en clubs. Le scandale des matchs achetés en 1971 (« Bundesligaskandal ») porte un coup fatal à sa carrière. Comme d'autres joueurs de Schalke 04, il est suspendu tout d'abord à vie avant que sa peine ne soit allégée à deux ans. Il doit s'exiler à l'étranger pour poursuivre sa carrière (une saison au RC Strasbourg).
    - Gerd Müller : un redoutable buteur, mais qui n'arrive pas dans les meilleures dispositions. À 24 ans, l'avant-centre du Bayern Munich a certes été meilleur buteur de Bundesliga en 1967, 1969 et 1970, avec 38 buts et le Soulier d'or européen ! Mais lors de cette même saison, le Bayern a perdu son titre de champion, remporté par le Mönchengladbach de Günter Netzer, et, en Coupe d'Europe (la C1), ce sont les Verts de Saint-Étienne lui ont fait mordre la poussière dès le premier tour (2-0, 0-3). Il est donc particulièrement revanchard et attendu.

    * Les deux équipes ont gagné leurs premiers matchs : 3 à 2 contre la Bulgarie puis 3 à 0 contre le Maroc pour le Pérou et 2 à 1 contre le Maroc et 5 à 2 contre la Bulgarie, pour l'Allemagne. Finir premier c'est affronter l'Angleterre en quart. Finir deuxième, c'est aller au devant du Brésil. Dans tous les cas, un adversaire redoutable. Que choisir : la peste ou le choléra ? Charybde ou Scylla ? Pour les Allemands, après un match poussif contre le Maroc il s'agit aussi de voir si la montée en puissance se confirme.


    *** LE DÉROULEMENT DU MATCH
    * Les images :
    - Un résumé assez long (15') : lien
    - Le match intégral sur Footballia (en anglais, image de bonne qualité) : lien

    * Par le petit bout de la lorgnette :
    - La remarque sans intérêt : grosse victoire allemande dans le match des publicités : voitures, alcools, journaux...
    - Le petit jeu : de tous les alcools dont on voit les publicités autour du terrain, lequel tire avec le plus fort degré ?

    * Le compte-rendu du match [partie sans révélation]
    - Les Allemands ouvrent les hostilités d'un tir puissant, qui suscite une parade remarquable de Rubiños. La réplique est immédiate et Maier manque de se trouer sur la contre-attaque qui suit. Les Péruviens mettent la main sur le match dans les premières minutes et Maier multiplie les belles envolées.
    - Les Péruviens vont-ils finir par faire craquer les Allemands ?




    [RÉVÉLATIONS JUSQU'À LA FIN DU MESSAGE – RÉVÉLATIONS JUSQU'À LA FIN DU MESSAGE – RÉVÉLATIONS JUSQU'À LA FIN DU MESSAGE – RÉVÉLATIONS JUSQU'À LA FIN DU MESSAGE]

    - Les Allemands laissent passer l'orage péruvien sans trop paraître s'inquiéter. Beckenbauer et Vogts derrière, même s'ils ne paraissent pas monstrueux, ils font toujours le choix intelligent pour fermer la porte et ils ne paniquent jamais.
    Peu à peu, la Mannschaft reprend le contrôle du jeu, qui penche alors beaucoup du côté de Libuda. Ce mec m'a énormément impressionné sur ce match. Le premier but de Müller (27' de la vidéo) arrive sur un de ses centres, avec, il faut le dire, une défense bien relâchée au marquage. Müller double la mise à la 34', suite à un débordement côté gauche, pour une fois. Le 3 à 0 est très proche, avec une frappe lointaine de Löhr dans la minute qui suit.
    Signe d'une certaine apathie péruvienne, Gallardo frappe à côté du ballon (37'30) avant une frappe molle d'un équipier (40'). Entre temps, on a vu un raid inutile de Cubillas, qui s'empale sur la défense, puis une frappe sans conviction en sans danger du même (41'). Bref, c'est un jour sans et les Péruviens s'épuisent en vain contre les Allemands qui ressortent le ballon proprement et multiplient les actions dangereuses.
    Müller tue le match à la suite à un beau mouvement collectif, le ballon ayant transité par à peu près toutes les zones du terrain avant d'arriver au but (avec une touche). Sa tête est magnifique, aussi bien pour la détente que placement de la balle lucarne opposée.
    Le Pérou réduit le score suite à une belle percée de De La Torre. Le défenseur est fauché à l'entrée de la surface et Cubillas marque sur un coup franc typique de son style : 3-1.
    - Au retour des vestiaires, on ne sent pas d'entrain particulier des Péruviens pour récupérer le ballon et relancer le match. Libuda, lui, repart sur les mêmes bases. Les Allemands sont les plus actifs et De La Torre doit s'employer en défense. Les Péruviens ont encore quelques belles occasions (57'), mais, globalement, Cubillas et Chumpitaz sont muselés, surtout réduits à tirs de loin (double tentative à la 65', par exemple).
    Sans une parade stupéfiante de Rubiños (86'), l'addition aurait même pu être plus salée. Le commentateur crie « goal », avant de ravaler.
    - Au final, un beau match sur le plan technique, mais une moindre intensité par rapport aux autres rencontres. Les Allemands impressionnent par leur organisation et leur maillage très serré. Libuda est un véritable poison. Le travail de Löhr sur le front de l'attaque est aussi très intelligent et utile. Un joueur avec une certaine classe. On peut enfin signaler le gros match d'Overath, véritable plaque tournante et chef d'orchestre de son équipe.

    [FIN DES RÉVÉLATIONS – FIN DES RÉVÉLATIONS – FIN DES RÉVÉLATIONS – FIN DES RÉVÉLATIONS – FIN DES RÉVÉLATIONS – FIN DES RÉVÉLATIONS –FIN DES RÉVÉLATIONS – FIN DES RÉVÉLATIONS – FIN DES RÉVÉLATIONS]

  • Tricky le 30/11/2022 à 15h27
    'Je découvre que l'artiste est chanteuse de « schlager ».'

    (Moselle represent : lien)

  • Delio Onnisoitquimalypense le 30/11/2022 à 16h57
    Soundclashes - 3e journée

    Aujourd'hui, inauguration d'un rayon discount dans l'épicerie fine (bon, la reprise belge de Love me please love me en était déjà un avant goût), j'avais gardé sous le coude des kitscheries, pochades et autres schlager sous le coude.

    URSS - El Salvador

    Batyr Zakirov - Rano ; Pop ouzbek emphatique
    lien

    Orquesta Lito Barrientos - San Salvador ; latino classique (mais une touche psyché avec le farfisa?) patriotique.
    lien

    Suède - Uruguay

    GL Unit – Orangutang! ; Frit jazz (faut quand même garder la clientèle bobo)
    lien

    Los Delfines - Estamos seguros ; pop rock bien ficelé (les choeurs et le son de la guitare rythmique donnent une inédite touche psyché)
    lien

    Roumanie - Brésil

    Ana Munteanu- Auzit-am eu aseara ; populaire roumain acoustique. Des cordes, une voix virevoltante, garanti sans psychédélisme
    lien

    Chico Buarque - Essa Moça Tá Diferente ; Méga-classique, je pensais cette chanson un poil plus tardive. Trop fan pour passer à côté
    lien

    Pérou - RFA

    Estudiantina Lampa – Casarasiri ; pur andin, la voix haut perchée d'une des soeurs peut produire des effets psychédéliques chez certains.
    lien

    Hans Wurman - Turkish March ; Moog kitsch schlager. Mais d'où me vient ce penchant pour les reprises kitsches de standards classiques?
    lien

    @et alors : reviens, si Red Tsar me pousse vers mes mauvais goûts, le niveau va chuter! Mon schlager du jour est bien pire que le sien (accompagnement instru tout à fait audible grâce à l'orgue derrière Katja Ebstein).

  • Delio Onnisoitquimalypense le 30/11/2022 à 17h58
    Mexique - El Salvador

    Fièvre au maximum hier soir chez moi, les Mexicains ont mis la fièvre sur le terrain. Plutôt que d'illustrer ça par NTM, La Lupe s'est imposée et je découvre avec bonheur sa reprise de Fever de 1961 : lien
    Beaucoup moins connue que sa version de 63, mais aussi calliente.

    Première mi temps très équilibrée, le Mexique ouvre le score à la 44e sur une action litigieuse, s'ensuit la première grosse embrouille avec l'arbitre de ce Mondial. Au retour des vestiaires, les Salvadoriens valeureux sont submergés, auraient-ils perdu de l'influx nerveux et de la concentration avec cette fin de mi temps houleuse? Ben oui, Valdivia (super joueur) double la mise à la 46e, un troisième but de Fragoso clôt le suspense et Basaguren parachève le travail. Victoire probante des hôtes, CR raccourci pour cause de fièvre (vous l'aurais je déjà dit?)

    Mexique 4 points
    URSS 4 points
    Belgique 3 pts
    El Salvador 0 pt

    Le Mexique Belgique de demain s'annonce bouillant.

  • Delio Onnisoitquimalypense le 30/11/2022 à 18h53
    Ah, et la Roumanie qui bat la Tchécoslovaquie 2-1, petite surprise considérant ce que les deux ont montré sur leur premier match. Mais la victoire est loin d'être un scandale.
    C'en est donc fini pour les Tchèques dans ce Mondial (snif, plus de Petras ni de Dobias), on imagine mal les Roumains disposer des Brésiliens sur le dernier match, mais ça ajoute de l'intérêt à la troisième journée de ce groupe 3.

    Brésil 6
    Angleterre 6
    Roumanie 3
    Tchécoslovaquie 0

  • Delio Onnisoitquimalypense le 30/11/2022 à 19h21
    "- Le petit jeu : de tous les alcools dont on voit les publicités autour du terrain, lequel tire avec le plus fort degré ?"

    Pas encore lancé le match, mais ça doit être Jägermeister?