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Jolie fin de campagne

De la nalyse, de la synthèse, des images morpho-psychologiques, du débat sur Pires: nous aussi nous tenions à finir dignement les éliminatoires sur ce France-Israël sans souci.

le 13 Oct 2003

 

Avec sa huitième victoire en éliminatoires de l'Euro, l'équipe de France parachève un parcours parfait, mais il faut lui souhaiter un autre destin que sa devancière de 92. La tranquillité que s'est ainsi offerte Jacques Santini pour préparer la phase finale au Portugal n'est pas le moindre des bénéfices de cette campagne, car à quelques détails près (le capitanat de Desailly, suppléé samedi soir par Zidane, ou le rôle incertain de Pires), les polémistes n'ont pas grand chose à se mettre sous la dent. Mais le programme de matches amicaux qui débutera dès le mois prochain par un déplacement en Allemagne permettra de reposer très vite la question du potentiel réel de cette équipe, question laissée en suspens par des adversaires à la qualité incertaine dans le groupe 1.

 


La joie de vivre se lit sur les visages des Bleus.

 

 

Le match

Il a été plié en première mi-temps, avec pour seules sorties israéliennes deux coups francs mal exploités, une reprise à bout portant de Tal, malencontreusement servi par Dacourt de la tête, qui passera au-dessus (14e), et un déboulé de Harazi dont le tir repoussé par le poteau reviendra dans les bras de Barthez (21e). Mais trois jolis buts ont logiquement découlé de la domination française, dont deux sur des actions de jeu qui montrent la qualité retrouvée du collectif tricolore. L'équipe de France ne trouva pas en seconde période le moyen de marquer autant de buts que son homologue rugbystique inscrivit d'essais contre les îles Fidji, mais ce fut pas faute d'occasions: deux duels d'Henry face au gardien (47e et 50e), une tête trop facile de Trezeguet (56e), deux frappes consécutives de Pedretti repoussées par Davidovitch (69e). Après l'heure de jeu, les visiteurs ont eu un coup de mieux, sans parvenir à placer autre chose que des tirs à distance, celui de Revivo échouant toutefois sur la transversale (76e).

 


Trezeguet a bien marqué, mais le gardien israélien ne s'appelait pas Goliath.

 

 

Les gars

Inédite, la charnière Thuram-Boumsong n'a pas franchement été mise à l'épreuve, l'Auxerrois ayant profité de l'absence de Guy Roux pour exploiter une de ses montées et marquer d'une jolie tête sur le coup franc de Zidane. Auteur de quelques fautes de placement et de deux découpages en règle de Harazi (8e et 39e), Lizarazu a cependant joué de son habituelle complicité avec Zidane et profité de la passivité israélienne pour placer une ou deux percées. Réveillère est resté sérieux (et efficace) dans ses tâches défensives, offrant aussi des solutions en attaque qui sont souvent restées à l'état de fausses pistes. Son superbe débordement de la 56e minute aurait pu avoir un meilleur sort si Trezeguet avait un poil plus appuyé sa tête, et c'est lui qui obtient le coup franc préalable au troisième but, sur un appel dans le dos du défenseur. Une première sélection réussie, même si la hiérarchie actuelle au poste d'arrière droit lui laisse peu de chances de disputer l'Euro. Mais sa polyvalence… Déjà épatant lors de la Coupe des confédérations, le duo Dacourt-Pedretti a semblé avoir encore progressé, notamment dans la prise de responsabilité, profitant il est vrai d'une opposition à sa main. Non seulement leur combativité leur a permis de récupérer un nombre considérable de ballons, mais la technique de l'un et la vision du jeu de l'autre leur ont aussi valu de les exploiter au mieux et d'être mieux que de simples relais dans l'entrejeu. Bien loin de la rivalité qui avait perturbé leur Mondial 2002, Henry et Trezeguet ont une nouvelle fois illustré cette bénéfique division du travail à la pointe de l'attaque, qui les rend parfaitement complémentaires. Avec une réalisation chacun, ils se sont partagé les lauriers, le but du Turinois sur une remise de la tête du Londonien étant une pure merveille.

 


Au moment du but de Boumsong, Marcel Desailly ne parvient pas à cacher son enthousiasme.

 

 

La nalyse : la place de Pires

Est-ce que Santini a voulu couper court à la polémique très en vogue en ce moment, consistant à dire que Robert Pires en est réduit au rôle de remplaçant de Zidane? Toujours est-il que c'est plutôt en lieu et place de son coéquipier Wiltord que le Gunner a été titularisé. Auteur d'une bonne première mi-temps durant laquelle il s'est activé à la construction, comme pour prouver son utilité et a été sur le coup des deux buts (mais sans effectuer un gros travail défensif, c'est le moins qu'on puisse dire), il a un peu décliné en seconde période. On peut aussi regretter qu'il a peu cultivé sa complicité avec Réveillère, qui dû se débrouiller seul pour se mettre en évidence. Mais pas de quoi troubler son fan-club de L'Équipe, ni d'ailleurs remettre en cause ses qualités intrinsèques… Pires s'est en effet accordé pas mal de libertés en occupant plus souvent l'axe que Zidane lui-même, lequel semble se fixer de plus en plus nettement sur le flanc gauche, probablement sous l'influence de sa durable expérience madrilène. Il ont certes permuté ponctuellement, mais le revisionnage du match ne laisse aucun doute: l'ex-Messin a au moins autant évolué dans l'axe qu'à droite.

Tactiquement, il est permis de se demander si la tendance au recentrage des milieux offensifs dans ce 4-4-2 ne risque pas de poser des problèmes contre des équipes plus difficiles à jouer qu'Israël (aisée à perforer par le centre), qui obligeront à exploiter plus méthodiquement la largeur du terrain et les couloirs (et à bloquer ces derniers)… D'autant qu'avec la complicité qui unit Lizarazu, Zidane et un Henry qui revient souvent sur le flanc, l'équipe a déjà tendance à pencher à gauche. On peut penser que l'association Wiltord-Thuram de l'autre côté permet justement de mieux équilibrer l'ensemble, surtout que le premier est plus naturellement "ailier droit" (sans négliger son replacement), alors que l'on a vu à plusieurs reprises son coéquipier d'Arsenal renoncer à déborder et de désintéresser de la récupération. Mais le seul "drame" de l'équipe de France, c'est qu'il y a plus de onze joueurs de classe internationale à mériter d'être titulaires…

 


Quand il ne colle pas, Pascal Praud veut toucher.

 

 

Le match de TF1

Il commence avec une réprobation indignée contre les sifflets qui ont accompagné l'hymne israélien. Siffler un hymne est certes un acte idiot, mais compte tenu du contexte politique au Proche-orient, il faut vraiment être d'un angélisme un peu crétin pour imaginer que celui-ci puisse être totalement respecté au Stade de France. Les troubles de la mémoire de Thierry Roland se confirment, puisque à l'entendre Pires et Zidane n'auraient jamais joué ensemble (en fait, à quarante-trois reprises selon L'Équipe). Se souvient-il qu'il y a eu une équipe de France avant Jacques Santini? Toujours auto-parodique, Jean-Michel Larqué a battu son propre record de répétitions avec un "Oh là là, trop trop trop trop trop trop — trop — trop trop-trop d'angle là" (47e minute, on a compté) et a émis sa première critique sur Djibril Cissé au premier ballon touché par celui-ci.

Quand on se lèche mutuellement, appelle-t-on cela se rouler une pelle? Toujours est-il que lorsque l'un demande à l'autre "Vous êtes toujours chevalier [de la légion d'honneur] Thierry?", l'autre répond "Vous aussi Jean-Michel".

Quant à madame Chirac, les deux compères sont heureux de nous apprendre qu'elle assistera à un match du Variétés Club à Sedan (faudra-t-il un jour compter les retransmissions des matches de l'équipe de France dans le temps de parole de la majorité?). Pascal Praud excelle lui aussi dans le rôle du flagorneur: il a beaucoup aimé l'édito de Claude Simonet dans le programme officiel (il est content de lui dire), et il trouve le public génial.

 

Le commentaire à forte valeur ajoutée
Thierry Roland : "C'est très douloureux l'appendice nasal".

 


Abraham Grant, une sorte de Christophe Bouchet dans les fringues de Bertrand Marchand.

 

 

Les observations

Wiltord laissé sur le banc. Il avait réclamé une prime de match? Au lieu de conserver précieusement le maillot de sa première sélection, Réveillère l'a offert à un remplaçant israélien. Un groupe de spectateurs malentendants est reparti très déçu du Stade de France, s'étant attendu à voir Francis Cabrel. Un groupe de spectateurs illuminés est reparti très déçu du Stade de France, s'étant attendu à voir Francis Raël, le frère de l'autre.

Réactions

  • marshmalowmater le 13/10/2003 à 12h04
    ouais, rédaction, la gène de son camarade, à peu près comme ça :"...ah si, Thierry ah si si Thierry si Thierry, si si si si si ...,"

  • VAronio le 13/10/2003 à 12h05
    un moralisme un peu crétin C.E.R.T.E.S.

    mais le dénoncer est en soi encore plus crétin
    chercher les petites betes...

  • kalle le 13/10/2003 à 12h08
    Je n'apprecie pas vraiment Larqué et je n'aime pas du tout Rolland mais il faut bien reconnaitre que tenir 2 heures à l'antenne sans faire de lapsus ou enoncer quelques inexactitudes releve de l'exploit.
    Alors fustiger les 2 gars quand ils sortent des conneries monumentales (c'est souvent) , ok. Mais chercher la petite bête à tout prix c'est mesquin (cf les hymnes...). Quelle différence entre cette attitude et le parti pris de l'Equipe pour Pires ?

  • loual le 13/10/2003 à 12h09
    "Il ont certes permuté ponctuellement, mais le revisionnage du match ne laisse aucun doute: l'ex-Messin a au moins autant évolué dans l'axe qu'à droite.

    Qu'il ait tenu déja la moitié du temps à droite n'est déja pas si mal. Mais je ne vois pas comment faire autrement avec des lignes aussi distendues. Il faut bien combler les trous au milieu.

    "Tactiquement, il est permis de se demander si la tendance au recentrage des milieux offensifs dans ce 4-4-2 ne risque pas de poser des problèmes contre des équipes plus difficiles à jouer qu'Israël (aisée à perforer par le centre), qui obligeront à exploiter plus méthodiquement la largeur du terrain et les couloirs (et à bloquer ces derniers)…"

    Il faut quand même rappeller que la vocation d'un 442 c'est d'attaquer par le centre. 2 attaquants dans l'axe c'est fait pour attaquer dans l'axe. Et à de notoire execeptions près (Milan de Sacchi entre autre) si on veut attaquer par les ailes avec ce type de formation il faut une bonne intelligence de jeux des milieux et de l'entraineur. Et surtout beaucoup de rigueur tout au long du match. Ca fait beaucoup de paramètres à respecter choses pas toujours évidentes dans le feu de l'action.

    "D'autant qu'avec la complicité qui unit Lizarazu, Zidane et un Henry qui revient souvent sur le flanc, l'équipe a déjà tendance à pencher à gauche."

    On ne peut pas appeller de ses voeux un 442, système naturellement déséquilibré, et d'un autre regrêter qu'il penche trop d'un coté. Surtout si un des attaquants de pointe est comme Henry un véritable ailier.

    "On peut penser que l'association Wiltord-Thuram de l'autre côté permet justement de mieux équilibrer l'ensemble, surtout que le premier est plus naturellement "ailier droit" (sans négliger son replacement), alors que l'on a vu à plusieurs reprises son coéquipier d'Arsenal renoncer à déborder et de désintéresser de la récupération."

    Mouais...Il m'a échappé que Wiltord était une bête de la récupération. Quand à ses capacités à organiser le jeu il n'y a pas photo entre lui et Pires. Il faut remarquer qu'avec Pires L'Edf monopolise le ballon plus longtemps. Ce qui est loin d'être négligeable sur l'aspect défensif.
    Sa disparition en 2eme mi-temps s'explique aussi, en dehors du score, justement par cette triple casquette d'attaquant- défenseur-organisateur. Il faut être plus qu'armé physiquement pour tenir ce rôle.
    Mais je note que les cahiers du foot commence à s'intérresser au 433. Chose que l'on verra sûrement quand l'EDF devra courrir après le score, en général à 10 mn de la fin.

    Question polémique; Je ne lis jamais l'Equipe!


  • peterelephanto le 13/10/2003 à 12h15
    C'est encore l'emmerdeur de service.

    Si je puis me pemettre, d'un point de vue de pure logique -))) et sauf erreur, votre note rédactionnelle ne dit pas du tout la même chose que l'article.

    Dans l'article il est écrit:
    "Siffler un hymne est certes un acte idiot, mais COMPTE TENU du contexte politique au Proche-orient, il faut vraiment être d'un angélisme un peu crétin ...etc etc"
    Ca signifie a contrario que vous n'auriez pas parlé d'"angélisme crétin" s'il n' y avait pas eu ce contexte politique précis.

    Dans la note en revanche, on lit: " nous comprenons de l'intervention de JML qu'il est outragé de ce qu'un hymne national puisse être sifflé, fût-ce par une minorité, ce qui à notre sens relève bien d'un angélisme ou d'un moralisme un peu crétin."
    Ce qui veut dire que c'est crétin d'être outragé par des sifflets sur un hymne quel que soit le contexte.

    Du coup je ne sais plus ce que vous vouliez dire. C'état peut-être le but en même temps-)))




  • Teufonz* le 13/10/2003 à 12h33
    Puisque la rédaction est souveraine, je m'incline.
    Et pourtant ils ont bien rajouté après coup : "depuis son retour à la compétition..."

  • la rédaction le 13/10/2003 à 12h39
    Pour l'histoire, 18e minute :

    TR : "Je me demande si ce n'est pas la première fois Jean-Michel que Pires et Zidane sont alignés ensemble au coup d'envoi".
    JML : "Depuis quand?".
    TR : "Ben depuis, depuis toujours".
    JML : "Oh non!"
    TR : "Ensemble hein…"
    JML : "Ensemble, Pires et…?"
    TR : "Et Zidane".
    (…)
    JML : "Noooon, Pires et Zidane ils ont joué ensemble, hééé Thierry!"

    Ensuite Pascal Praud intervient pour dire que depuis son retour de blessure ils n'avaient jamais joué ensemble, mais croit bon d'ajouter qu'auparavant, "ils ont dû jouer ensemble assez peu de fois, curieusement d'ailleurs". Précisons qu'effectivement, tout le monde peut se tromper, l'épisode ayant surtout un caractère comique au travers de ce dialogue.

    Par ailleurs, nous ne partageons pas l'idée que la désignation (plutôt que la dénonciation d'ailleurs) du crétinisme est encore plus crétin, à moins de se condamner à en être éternellement le spectateur. Précisons encore que nous faisons la chronique d'un match assortie d'observations ironiques (plutôt qu'indignées) sur sa retransmission. Si toutefois nous cherchons la petite bête, nous ne sommes pas les seuls ;-)
    Cela dit, on se doute bien que même si nous faisons toujours du mieux que nous pouvons, notre ton, nos partis pris et nos défauts provoquent inévitablement des irritations et des critiques — que nous sommes toutefois heureux d'accueillir sur nos propres pages.

    PS pour Loual : le 4-4-2 de Santini se définit, de l'avis général (mais qui peut être erroné), comme comportant deux "meneurs excentrés", dans un schéma qui a vocation à utiliser les ailes (cf. le stéréotype du Bordeaux 1999). Après, en la matière, tout se discute…

    PS pour Peter : vade retro, vil sophiste !

  • Dero le 13/10/2003 à 12h43
    Plusieurs choses :

    Sur TR et son allusion a Pires et Zidane qui n'auraient jamais joué ensemble, il s'avère que j'ai aussi entendu "depuis que jacques santini est selectionneur". Soit vous avez mal écouté votre re-enregistrement, soit la phrase de TR était ambigue. En tout cas, nous sommes plusieurs a avoir entendu cela (peut etre ne l'a-t-il pas dit, mais dans ce cas, j'ai du corriger inconsciemment, et maintenant je suis sur qu'il l'a dit).
    Je m'en fiche, je ne suis pas la pour defendre TR, mais bon, je pense que s'il ne l'a pas dit, c'est un laspus, il est peut etre con, xenophobe, misogyne (enlevez le "peut etre"), mais il connait un peu les compos et les joueurs de l'EDF depuis quelques années.
    Je pense que vous lui faites un mauvais procès, là où les bons ne manqueraient pas !

    Sinon, je suis globalement d'accord avec ce que vous racontez.

    En revanche, je suis presque en désaccord avec tout ce que dit Loual :



    Il faut quand même rappeller que la vocation d'un 442 c'est d'attaquer par le centre. 2 attaquants dans l'axe c'est fait pour attaquer dans l'axe.

    Pas d'accord, et les exceptions ne sont pas rares (pas besoin d'aller chercher Sachi dans sa tombe) :

    bordeaux 98 avec benarbia, micoud
    psg 99 avec Robert Benarbia
    monaco actuel avec Guily Rothen.


    Les 442 "à la bordelaise" ne sont pas "fait pour attaquer dans l'axe, au contraire, il te done une bonne force de frappe sur les cotés, mais si tu veux etre présent dans l'axe, il faut

    soit qu'un des deux attaquants decroche
    soit avoir un milieu defensif un minimum créateur dans l'axe (smertine, okocha au psg en 99...)

    On ne peut pas appeller de ses voeux un 442, système naturellement déséquilibré, et d'un autre regrêter qu'il penche trop d'un coté. Surtout si un des attaquants de pointe est comme Henry un véritable ailier.

    Doublement pas d'accord : un 442 peut etre très équilibré, va voir la fiche des CDF sur monaco et la schema tactique type.
    Et je pense qu'on ne peut pas dire d'Henry que c'est un VERITABLE ailier. Il peut jouer alier, mais se priver de lui dans l'axe et le faire jouer comme un diomède serait criminel compte tenu de ses qualités.

    Mouais...Il m'a échappé que Wiltord était une bête de la récupération.

    En effet, ca a du t'echapper, Wiltord est l'un des joueurs les plus acharnés au pressing (pour un attaquant-milieu offensif).

  • Dero le 13/10/2003 à 12h57
    En outre je voudrais ajouter qu'il n'y a pas de straatégie "idéale" ou qui font pencher l'équipe dans l'axe, ou sur les cotés : tout dépend des joueurs et de leur style de jeu.
    Si tu joues avec que des wiltord qui repiquent sans arret, t'auras beau faire un 433, il ira dans l'entonnoir.
    Pour determiner un schéma tactique, il faut voir le syle de jeu de tes joueurs, et leur niveau.
    Aujourd'hui, l'EDF peut elle jouer sans :

    Henry Trezeguet devant
    Zidane Viera Maké (à son niveau du real) au milieu

    ?

    Ca ne laisse qu'une place et compte tenu des caracteristiques des male et viera, il y aura forcement deux recupperateurs devant la defense, donc ca laisse :

    le 4231 lemerien
    le 442 santinien (baupien...)

  • thibs le 13/10/2003 à 13h36
    Ah ben ca fait plaisir de voir qu'il y en a d'autres pour défendre un peu TF1 contre toutes ces attaques pas toujours fondées :)).

    Si TR et JML n'avaient pas jugé bon de condamner les sifflets....n'aurait-on pas eu droit a une indignation des CdF egalement?

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