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Le football, objet du délire d'Éric Zemmour

Une Balle dans le piedLe Suicide français d'Éric Zemmour est une fiction paranoïaque dans laquelle il fait jouer au football un rôle de premier plan, des Verts de 76 aux Bleus de 2010 en passant par Séville 82, Bernard Tapie 93 et Bosman 95.

Auteur : Jérôme Latta le 16 Oct 2014

 

 

Il n'est pas démontré que, mieux que tout autre, Éric Zemmour incarnerait l'immixtion des éditorialistes, des intellectuels médiatiques et autres penseurs consacrés par l'époque dans les affaires du football. Mais il fait peu de doutes qu'il a illustré avec une certaine constance l'instrumentalisation de ce dernier à des fins extérieures, l'hystérisation des débats au moindre incident et l'alimentation des nombreux psychodrames nationaux dont il aura été le prétexte depuis une petite vingtaine d'années. Pour lui comme pour la plupart de ses pairs, le football est devenu une obsession, à la fois symptôme de la décadence du pays et moyen de stigmatisation d'une partie de sa population.


Aussi n'y a-t-il pas grande surprise à constater que le football est un des fils rouges de son essai Le Suicide français, faisant l'objet de cinq passages substantiels. Comme annoncé dans l'introduction, l'auteur entend narrer "les quarante années qui ont défait la France", non seulement "président après président, loi après loi, élection après élection, intellectuel après intellectuel, (…)", mais aussi "match de football après match de football". (…)

 


Lire l'article :


 

Réactions

  • Coach Potato le 17/10/2014 à 13h40
    @syle

    Non. Les tricératops avaient le droit de jouer avec nous à condition de ne pas faire de têtes. Il y en a un qui m'a crevé un cuir collé tango, une fois. On avait des pantalons à pattes de tricératops, évasés aux chevilles. Et des sous-pull à col roulés orange pour produire de l'énergie électrique. Si on les remet à la mode, challenge hardi s'il en est, on a pas besoin d'éoliennes dans le paysage.

    Mais on ne se rendais compte de rien, on avait les cheveux devant les yeux. Ah! Des cheveux.... C'était mieux avant. Ouais. Mieux. Cela dit, c'était très kick and rush comme style de jeu, les tricératops.

  • José-Mickaël le 17/10/2014 à 19h14
    Et puis autrefois, quand on mouillait le maillot, ou mouillait vraiment le maillot : il y a avait des taches de transpiration partout, notamment sous les bras, on puait la sueur, sans parler de la boue (surtout pour le gardien à cause de la flaque de boue devant les buts), et on crachait par terre. Bref, on était crado. Rien à voir avec la métrosexualité actuelle.

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