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Les enfants de la bulle

Tout le 9ème art, de Winsor Mc Kay à l'OuBaPo, des écoles franco-belges à l'émancipation de la BD des années 70, des comics et strips US aux mangas du soleil levant...

  • sansai le 03/02/2023 à 03h13
    Je vais pas tenir sur cinq pages comme pour Vivès back to back, je vais me contenter d'évoquer deux ans plus tard le film "Charlotte forever", où après avoir été exposée en mondovision à 13 ans dans le lit conjugal en petite culotte dans une chanson qui s'appelle "Lemon Incest" (où on ne "fera jamais" l'amour, mais on y pense quand même assez fort manifestement), Charlotte se voit attribuer à 15 ans le rôle d'une fille dont son père (joué par Serge) est amoureux.

    Et ce qu'elle a à en dire, pour ne pas retenir que ce qui nous met à l'aise dans ce qu'elle dit de sa relation avec son père (j'ai pas retrouvé l'article original de M le mag et j'ai pas franchement l'énergie pour passer une demi-heure à ça) : lien

    Bon, voilà. Je m'arrêterai là sur Gainsbourg. Mais Charlotte c'est quelqu'un pour qui j'ai beaucoup de compassion.

  • Flo Riant Sans Son le 03/02/2023 à 07h38
    Exactement la même opinion que Sansai sur Gainsbourg. Il avait l'air... Particulier (euphémisme ?)....
    Et j'ai toujours du mal à écouter ses chansons (ce que je ne fais jamais de manière chois d'ailleurs)...

    Mais on retombe sur la discussion dont parlait Pascal plus tôt et c'est un débat Infini. En est-ce même un?

  • Josip R.O.G. le 03/02/2023 à 09h01
    Who's next?

  • Aulas tique le 03/02/2023 à 09h04
    "Viens petite fille dans mon comic strip", pour faire le lien avec Vives.
    Donc on en arrive à maintenant à faire tomber des tombereaux de merde sur Gainsbourg? En détournant les propos de sa propre fille au passage. On a beau être victime, on ne doit pas tordre la vérité pour son propos, c'est de la malhonnêteté intellectuelle qui peut décridibiliser l'ensemble de son propos.
    Lemon Incest est quand même assez claire sur le sujet (l'amour que nous ne ferons jamais ensemble est le plus beau), c'est justement la provoc et la polémique qui ont encore plus aiguisé l'ironie de l'auteur et ont donné suite à ses multiples prises de tête avec des médias bas du front. Le film évoqué est certainement un des contre-coups de l'histoire. Jusqu'ou aller plus loin pour faire suer les bien-pensants. Je rappelle que ça l'avait bien fait marrer de faire chanter "les sucettes" à France Gall qui n'a compris (et pas mal de monde) qu'après de quoi parlait la chanson.
    Charlotte Gainsbourg, pour ce qu'elle fut une enfant de star exposée, en a fait son métier malgré tout au passage et l'article mis en lien par Sansaï montre juste le degré d'exigence artistique lors des prises.
    Parce qu'il avait beau être un poivrot, c'était quelqu'un de très précis, méticuleux dans ses textes et mélodies. C'est cette exigence qui le dégouttait de lui-même en tant que peintre inabouti et devait faire qu'il était chiant sur les plateaux de tournage (chose que Jane a aussi dit puisqu'il l'a fait jouer dans ses tentatives de réalisation). Alors j'imagine qu'une jeune fille au boulot avec son père, ça devait forcément être coton.
    Donc oui, dans la chasse, vers qui se tourne-t'on maintenant?

  • Tricky le 03/02/2023 à 09h09
    Si possible, d'autres artistes amateurs de pédophilie et d'inceste ?
    Je ne comprends pas l'idée.

  • Danishos Dynamitos le 03/02/2023 à 09h14
    Punaise, Lewis Trondheim qui signe la tribune des auteurs Casterman. Après Florence Cestac, c'est moche de vieillir…

    On notera que Boulet, très ami avec Trondheim, s'est, lui, clairement positionné contre Vivès.

  • Aulas tique le 03/02/2023 à 09h15
    Vous faîtes un peu peur quand même.
    La présomption d'innocence, vous vous en fouttez sous prétexte de sainte lutte.
    Le name-dropping à base de calomnie gratuite devient un jeu.
    Les provocations, l'humour noir, l'ironie sont des "incitations à embrasser la cause pédophile" faisant fi du sens critique et du libre-arbitre des auditeurs.
    Les jeux de mot en anglais dans un titre sont des aveux.
    Les souvenirs d'une fille qui dit que son père lui en demandait beaucoup sur les plateaux de tournage deviennent les éléments d'un témoignage à charge.

  • beltramaxi le 03/02/2023 à 09h18
    Tu fous la gerbe autant qu'un vrai pédophile.

  • Lescure le 03/02/2023 à 09h20
    Comme il écrit bien mieux que moi, je relais la réaction de mon camarade Joël Ronez boss de Binge Audio, éditeur et ancien de la Maison Ronde par rapport à cette tribune (effectivement écrit avec les pieds, n'est pas Zola qui veut.... ou qui peut):

    Une "tribune" écrite avec les pieds, qui concentre tout le bullshit bingo des ouin-ouin, et signée par des gens que j'ai admiré. Quelle misère. Je vais pas faire l'exégèse complète de ce texte indigent, d'autres personnes plus concerné·es et pertinent·es que moi l'ont surement fait. Juste expliquer sur un seul point en quoi ce coup d'épée en bois dans une flaque me désespère.
    Le texte est vide et trop long, c'est un nouveau ramassis de poncifs sur le soi disant ordre moral, qui est cette menace qui n'existe pas mais qui est entretenue par certains, comme une espèce de prophétie auto-réalisatrice. Rappelons que les critiques concernent moins les œuvres de Vivès (pour lesquelles il y a néanmoins des choses à dire...), que sa promotion sans nuances dans le cadre d'un évènement à forte visibilité soutenu par des fonds publics. S'ensuit tout un grand chelem de lieux communs, invoquant Flaubert et Baudelaire qui n'ont rien demandé, et palme du ridicule cette attaque sortie d'on ne sait où sur les "sensivity reader" dans l'édition.
    Alors ça, permettez moi d'en dire 2 mots, car je suis qualifié pour en parler, je suis éditeur : si on emploie des sensivity readers (ou correcteur·ices inclusi·ves) ce n'est pas pour "vérifier la conformité de chaque ligne à la morale dominante", non, bande de frustrés. C'est pour éviter de perpétuer des clichés sexistes ou racistes, pour proposer d'autres représentations que les schémas éculés d'une société inégalitaire, c'est pour utiliser la langue autrement que pour perpétuer l'imbécile supériorité systématique du masculin sur le féminin.
    En un mot, si on fait appel à des sensivity readers, c'est pour ne pas blesser. Pour construire une meilleure société.
    Vous nous parlez de morale dominante : c'est vous qui n'avez rien compris: c'est vous la morale, c'est vous les dominants. Et c'est contre vous qu'on lutte, car vous nous étouffez avec vos paradigmes pontifiants sur la liberté de l'art, sans réfléchir 2 mn à votre responsabilité. En vous rangeant sans réfléchir dans le camp des oppressés, vous faites un contresens magistral. C'est vous les oppresseurs, les perpétuateurs d'un système de pensée qui n'admet pas la critique, qui fuit les débats (cette misérable annulation de Vivès "pour raisons de sécurité") et qui veut se reproduire sans rendre de compte, en continuant à vous distribuer des honneurs entre vous. Alors étouffez vous bien avec votre fatuité d'artiste, et laissez moi pleurer sur les belles années que j'ai passé avec certain·es d'entre vous, signataires de cette tribune, car elle vous déshonore.

  • Tricky le 03/02/2023 à 09h22
    Non mais Gainsbourg, je m'en fous, je ne connais pas vraiment, je veux bien te croire mais les éléments apportés ici ne sentent pas très bon.

    Et encore une fois, tu te trompes de problème, personne n'a jamais accusé personne d'être formellement (aka judiciairement) pédophile ou incestueux. De travailler à la normalisation de la monstruosité, en revanche, oui, ça pose un problème.

    Simplement, je ne comprends pas cet acharnement à vouloir défendre cette cause là.