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L1 :: la Gazette :: J15

Auteur : Le Feuilleton de la Ligue 1 le 25 Nov 2008

 

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Les résultats de la journée

Monaco-Le Mans : 3-0
Caen-Auxerre : 1-0
Lorient-Toulouse : 1-0
Paris SG-Lyon : 1-0
Valenciennes-Sochaux : 2-2
Marseille-Lille : 2-2
Bordeaux-Rennes : 1-1
Grenoble-Le Havre : 0-0
Saint-Étienne-Nice : 0-1
Nantes-Nancy : 0-1



Les 5 gestes de la journée

• La Drogba de Mathieu entre Ewolo et Ciani, qui lui ferment la porte. Ça fait bizarre, hein, "la Drogba de Mathieu"?
• Le slalom Ben Arfien d’Amalfitano qui enrhume quatre Toulousains avant d’éliminer les trois derniers avec un bon décalage sur Vahirua dont l'ouverture instantanée permet à Ayew de faire briller Carrasso.
• Le sprint de Jérémy "Usain-Bolt" Sorbon pour sauver un ballon sur sa ligne, à l’issue d’un cinquante mètres où il lutte avec Niculae, contourne Planté, tacle, et finit empalé dans les filets.
• La talonnade rusée d’Abriel filant balle au pied en direction de son camp, qui rebondit sur le tibia d'un Toulousain trop naïf avant de filer en touche et d'offrir ainsi la dernière possession aux Lorientais.
• Le coup de l’essuie-glace, parade à gauche (Bastos), parade à droite (Vittek), réalisé par Mandanda juste pour le fun, l’attaquant slovaque étant finalement signalé hors-jeu.



Les 5 antigestes de la journée

• La no-look-pass du tibia d’Abardonado à Erding, sur le premier but sochalien. Un ballon très bien donado, effectivement.
• Le ushi-mata d’école de Juninho sur Armand, suivi d’une savate qu’il assène (vengeur) à la porte du vestiaire qui n’a même pas mal.
• La flexion d’arthritique de Richert sur la volée de Saez, aplatie par le terrain neigeux, qui file en aquaplaning petit pont dans les filets sochaliens.
• Les séances de portes ouvertes organisées par Valverde, qui reprend une chandelle de volée, pour offrir l’ouverture du score à Thomert, et Mangane, également à la réception d’une chandelle, qui dribble son propre gardien tout en cédant le ballon à Gourcuff qui égalise lui aussi dans le but vide.
• La Zubzub way of life de Zubar que Bastos prive mesquinement du classement des buteurs.



La bannette

La couleur locale
Pape Diouf (Vivement Dimanche, France 2) : "On voit [au Vélodrome] toutes les races s'unir dans une même communion". Les "Sa race", les "Putains de ta race", les "Ta race maudite putain Zenden tu vas mouiller le maillot oui"?

L'équipe qui lit son mappy à l'envers
Jean Fernandez (lfp.fr) : "Nous, on était venus pour jouer mais on a manqué d’adresse".

L'entraîneur qui se voit déjà à l'OL
Laurent Blanc (lfp.fr) : "Et dans un championnat, il y a des matches où on méritera le nul ou la défaite, et on prendra trois points".

Le conseiller matrimonial de la dernière chance
Franck Dumas (lfp.fr) : "Je tiens à féliciter mes joueurs qui ont compris qu’il fallait changer quelque chose à la maison, se battre autrement dit avec d’autres armes".

L'entraîneur qui en a déjà trop dit
Francis Gillot (L'Equipe) : "Si maintenant, on laisse l'avantage dans la surface…  C'est un drôle d'arbitrage mais je n'en dirai pas plus".

Le mec qui n'a jamais vu une pièce de Giraudoux
Mécha Bazdarevic (L'Equipe) : "Le spectacle, ce n'est pas dans un stade. Si on veut en voir, il faut aller au théâtre".

Le président ad hoc
Pape Diouf (Vivement Dimanche, France 2) : "Le stade Vélodrome reflète un peu la vie de Tintin, ça intéresse les gens de 7 à 77 ans".

Le président ab initio
Jean-Claude Gaudin (Vivement Dimanche, France 2) : "Je suis devenu le président de l'OM lorsqu'il n'y avait plus d'équipe".

L'équipe sur les bons rails
Frédéric Antonetti (L'Equipe) : "Sur le coup de 17 heures, je me demandais bien ce qui allait se passer en voyant certains de nos Africains découvrir la neige". Maradona confirme que ça fait mieux jouer.

L'entraîneur qui met la pression sur Philippe Doucet
Alain Perrin (lfp.fr) : "Les statistiques doivent parler en notre faveur".

Le journal qui cherche à informer
"Selon les informations de L'Equipe, l'OL cherche ainsi à se renseigner sur Pascal Chimbonda". Quand un club cherche à se renseigner, c'est que pour l'instant il est juste allé sur pagesjaunes.fr pour choper le numéro de téléphone du club concerné?


Le top autocritique
1. Teddy Richert (L'Equipe) : "On est un club gentil".
2. Jean-Marc Nobilo (L'Equipe) : "A voir votre mine, je crois que ce match ne restera pas dans les annales".
3. Mathieu Valverde (L'Equipe) : "Je me suis précipité alors que j'aurais pu récupérer le ballon en reculant".
4. Teddy Richert (L'Equipe) : "On prend un but pourri qui nous plombe le moral".
5. Daniel Moreira (L'Equipe) : "Un tel bilan, c'est nul".
6 .Francis Decourrière (L'Equipe) : "J'ai fait des conneries, je dois rendre des comptes.  En juin, les actionnaires m'ont fait confiance, ils ont donné plus d'argent. Le coach a eu tous les pouvoirs techniques.  On ne m'a pas mis un revolver sur la tempe pour le lui accorder".


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Pendant ce temps, Pascal Feindouno regrette presque d'avoir manqué la venue d'Alain Perrin...


L'alternative "crise" / "enflammade"

"Et si c'était la bonne? Et si, cette année, le Paris Saint-Germain cessait enfin de jouer avec ses démons, de s'amuser bêtement à suspendre son avenir au-dessus du vide? Et si le club de la capitale retrouvait les sommets auxquels sa jeune histoire l'avait habitué?" (Sébastien Tarrago, L'Équipe)



La minute Tatayet avec la main d'Aulas dedans

Claude Puel : "C'est extraordinaire, la totale, tout ce que j'apprécie. Je crois savoir que la Fiorentina a joué dans l'après-midi, chez elle. Elle a pu bien récupérer. Nous, on a le contrôle antidopage après avoir joué à 21 heures... Pour la finale du groupe, le Bayern a demandé à sa Fédération de pouvoir jouer vendredi, ce qu'elle a accepté. Nous on jouera un dimanche soir à 21 heures, à Nantes. C'est particulier... Est-ce que je suis inquiet ? Ces choses-là, on ne peut que les subir". (lequipe.fr)



gaz15_lorient.jpgL’éloge du Grand Lorient

Oubliez le PSG et l’OGC Nice: le club en pleine bourre de L1, c’est le FC Lorient. Le début de saison fut pourtant pénible: sans Vahirua ni Saïfi, l’attaque demeurait silencieuse, tandis que Ciani et ses frères s’emmêlaient les compas en défense. Mais, depuis lors, les Merlus ont enfilé le tablier et se sont remis d’équerre. Sous la houlette de Christian Gourcuff, apôtre du jeu à une touche de balle, ils viennent de gagner quatre de leurs six derniers matches, de façon tantôt frappante (4-1 à Geoffroy-Guichard, puis 3-2 au Vélodrome en partant de 0-2), tantôt plus poussive (1-0 face à Toulouse samedi), s’octroyant une jolie marge sur la zone rouge.

Mais il y a aussi, dans l’équipe morbihannaise, une réjouissante idée du jeu. Point de buts sur coups francs, peu de frappes de maçon, mais du jeu en triangle, du coup d’œil, et de la vivacité. Un jeu en déplacement et en passes courtes, servi par des techniciens reconnus comme Abriel ou Vahirua, ou plus apprentis comme Gameiro ou Morel. Un jeu d’obédience nantaise – mais nantaise de l’époque vénérable de Pedros et ses compagnons. Sous leur habituelle tenue orange, les joueurs de Gourcuff se font gardiens du temple d’une certaine vision du football, d’une sûre alchimie entre enthousiasme et efficacité. Outre le spectacle, souvent aux premières loges, une chose est sûre : en ce moment, l’adversaire de Lorient, y rame.



gaz15_classement.jpgLe classement à la différence

Qui progresse? Qui régresse? Comparons le classement final de la saison 2007/08 avec le classement actuel, et ordonnons les équipes selon l'écart entre ces deux positions.

Le Havre, Nantes et Grenoble ont été classés 21e, 22e, et 23e, pour la saison 2007/08 et ne pouvaient mathématiquement pas se trouver en négatif – quoique, Nantes aurait sûrement pu inventer quelque chose. Lyon se positionne aussi haut que possible tandis que les villes moches se positionnent tout en haut du classement à l'envers.



La chanson de la semaine









La Provence anti-gaspillage

Si les Cahiers du football et La Provence comptent des lecteurs communs, ceux-ci auront peut-être eu une forte impression de "déjà lu" en parcourant l'article de Mario Albano intitulé "L'OM, roi du gaspillage", dans l'édition de dimanche... Car le décalque est frappant avec le "Pas de surprise à Marseille", qui figurait dans notre Gazette 14. La ressemblance se loge jusque dans la structure et la conclusion, les chiffres étant évidemment les mêmes que ceux que nous avions collectés à la main – sans même une petite mise à jour des données pour les clubs ayant joué depuis. Seule différence: des citations de Lorik Cana et Éric Gerets réagissant à ce constat. Une bonne formule: les Cahiers pour l'idée, le micro pour les pros. Mais au fait, nous y gagnons quoi, nous?

Extraits de l'article de La Provence
« Douze points d'un côté, zéro de l'autre. C'est la différence entre le gaspillage de l'OM et la perfection lyonnaise depuis le début de la saison. Avec Bordeaux au milieu: 5 points gaspillés. À quoi correspond ce gaspillage? Au nombre de points perdus après avoir mené au score. Une vraie spécialité marseillaise, à l'opposé du parcours lyonnais. […] L'OM est l'équipe qui a laissé filer le plus de points depuis le début de la saison après avoir mené au score. […] Le mal de la saison? Non, malheureusement, plutôt une longue maladie que l'OM traîne depuis des années. Songez que la saison dernière, ce sont 23 points que les Olympiens ont gaspillés ainsi après avoir marqué les premiers. […] Le véritable palier à franchir pour être un prétendant au titre, c'est la maîtrise. Et pour maîtriser un match, il faut déjà savoir se maîtriser soi-même ».


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"Mes chers compatriotes, j'ai décidé de dissoudre Florent Malouda".

> Les lucarnes sont cannibalisées dans le Diapo des lecteurs.



Les questions de la journée

• Clerc, Bodmer, Mensah, Grosso, Réveillère cette saison. Coupet, Cris la saison dernière. Et si Caçapa était en fait une sorte de talisman contre les blessures?
• Quand Sarkozy milite pour le travail le dimanche, en fait il pense surtout à Ederson?
• Même endroit du terrain, même moment du match, et exactement le même but: Rami a-t-il regardé cinquante fois le but de Hoarau face à l'OM pour en réussir une copie aussi parfaite?
• Si c’était Roussey qui avait donné le brassard à Ilan, il aurait été incompétent à quel point?
• Combien de présidents de club ont attendu que Gomis jette son maillot en faisant des bras d’honneur lors de sa sortie sous les sifflets de Geoffroy-Guichard?
• Les va-et-vient incessants de Claude Puel entre le 4-4-2 et le 4-3-3, c’est pour préserver le suspense du championnat ou c’est juste pour humilier Gilles Verdez qui l’avait qualifié de génie tactique la semaine dernière?
•  Paris bat Lyon, Bordeaux, Marseille et Lille, Bordeaux perd contre Lyon et s’en tire avec un nul contre Rennes, tandis que Marseille manque la correctionnelle contre Lille, mais pas contre Lorient, qui perd quand même à Paris. Pourquoi s'étonner que Nice soit deuxième au classement?



Les observations en vrac

• Il aura suffi de deux semaines pour qu'on en ait déjà marre de voir Steve Savidan cuisiné à toutes les sauces sur tous les plateaux télé possibles.
Canal Football Club a fait preuve d'une immense originalité en présentant un duel Lloris / Mandanda, qui est le meilleur? C'est d'autant plus désespérant qu'on risque d'en manger pour dix ans.
• En fait, Steve Mandanda s'ennuie. Il n'aime arrêter que les tirs très difficiles. Les faciles, il préfère les laisser passer.
L'Équipe Magazine a écrit cette semaine : "Pourtant, la réussite ne s'explique pas uniquement par le caractère incisif de Ménès, qui frôle la surexposition médiatique (RTL, M6, Aujourd'hui Sport) et qui n'a pas le temps de rédiger l'intégralité des chroniques de son blog". Mince alors, ça voudrait dire que n'importe qui est capable d'écrire des analyses à l'emporte-pièce qui outragent le bon sens?
• À ce train-là, le huitième titre Lyonnais sera à la fois le plus facile, et celui qui aura vu les Gones être les moins dominateurs dans le jeu.
• En fait, les soirs où Dominique Grimaud explose tous les records d'inepties et d'opinons de comptoir, Pierre Ménès offre une contradiction sensée et intelligente.
• Quand l’effet Comolli-Perrin va arriver, il va être d’une force!
Fred Antonetti revendique son indépendance. Ne le laissez pas approcher de la maison de Christian Clavier.
• Après quatre mois de compétition, Gaël Givet a enfin exercé son métier en accordant une interview à Paganelli depuis le banc de touche. Depuis, l’aide comptable en charge des fiches de paye à l’OM affirme partout qu’une interview de Givet se monnaie trois fois et demie plus cher que celles de Maradona.
• Quand Mamadou Samassa enclenche un sprint, ça fait un bruit de moteur diesel en train de se caler.
• Les anciens Lyonnais Clément, Giuly et Luyindula ont été très bons face à leur ancien club. Ça y est, la malédiction parisienne s’est inversée.
• L'un vers la droite, l'autre vers la gauche, aucun dialogue possible et l'adversaire qui en profite: la défense de l'OM, c'est un peu le PS.



Les petites annonces

• Ex-entraîneur forézien et sa pipe recherchent éditeur pour publier une rafraîchissante chronique sucrée salée.

• La rédaction de Vidéo-Gag remercie les joueurs de Ligue 1 pour le réassort en images exploitables qui devrait permettre à l’émission de tenir encore une saison.



L’envers du championnat
gaz15_liguemoins1.jpgTéléfoot ne s’y trompe pas: "Avec cette défaite, Lyon réapparaît dans le rétroviseur de ses concurrents". Mais le sommet est encore loin. À une soixantaine de kilomètres à vol d’oiseau. Là-bas, Alain Perrin commence à comprendre la situation, et sait que son groupe est sur la voie du succès: "A force de rééditer de tels matches, nous serons récompensés".

Si les Stéphanois se grisent quelque peu, c’est parce qu’ils sont les grands bénéficiaires du choc au sommet entre les deux ex-leaders. Valenciennes et Sochaux se sont neutralisés à Nungesser, au cours d’une rencontre que les locaux avaient pourtant pris par le bon bout. Une relance de Penneteau place Abardonado en position idéale pour servir Erding. La technique sûre de Pancho fait le reste, Sochaux est pris au piège.

Enchaînements de pertes de balles, passes à l’adversaire, rares occasions de but soigneusement dévissées par les attaquants locaux: c’est bien la soirée de gala annoncée pour les spectateurs de Nungesser. Malheureusement, Saez s’enflamme bêtement: contrôle de la poitrine, volée, il met ses coéquipiers à la merci d’une flaque d’eau dans laquelle ne manque pas de tomber sa frappe Makelelienne, avant de filer entre les jambes de Richert, impeccablement raide sur ses appuis. Audel part également à la faute avant que les Valenciennois ne limitent la casse dans les derniers instants, jouant parfaitement le coup de la diminution numérique, un grand classique. Saint-Étienne s’empare ainsi de la pole, mais Valenciennes et Sochaux restent au contact.

Réactions

  • Björn Björk le 25/11/2008 à 23h20
    Ca fait environ 5% de recettes en moins sur le budget total d'un club (4 matches / 19 * 20% des budgets qui sont issus de la billetterie).

    Au delà de cette différence qui est non négligeable, c'est la guerre pour "prendre "l'espace" qui selon moi fait que la ligue ne voudra jamais passer à 18 clubs. Imaginez, laisser 4 dates de libres qui pourraient être prises par la fédération, l'uefa ou la fifa. Quelle horreur.

  • Antwan le 26/11/2008 à 04h39
    J'ai tenté de lire la gazette avec en fond la chanson de la semaine, j'ai recommencé trois fois mais je perds le fil à chaque fois, c'est un exercice de concentration extrêmement compliqué, un peu comme faire un power point finalement.

  • arnaldo01 le 26/11/2008 à 08h03
    Björn Björk, ca m'etonnerait que les 4 matchs contre les plus petites equipes representent 20% de l'affluence totale. Au parc ou au velodrome qui sont quasiment toujours plein, pourquoi pas mais pas a toulouse par exemple où on doit avoir une moyenne de 30000 spectateurs contre les grosses equipes et meme pas 15000 contre les autres.

  • Qui me crame ce troll? le 26/11/2008 à 09h09
    Euh... c'est quoi que vous appelez grosses équipe? Lyon, Marseille, Paris et? Non parce que certaines équipes qui ramènent du public (au hasard, Saint E, Lens ou ptet même Nantes) arrivent à descendre en L2. Il n'y a pas que de "petites" équipes.

  • Road to Champions League le 26/11/2008 à 10h28
    A noter qu'en parlant de "grosses équipes", Paris serait en D2 cette année dans un championnat à 18.

    Sinon, comme solution qui satisfait tout le monde, on peut trouver mieux. Parlez en aux valenciennois, stephanois, sochaliens, havrais, nantais (au hasard). Je ne sais pas si ils ont vraiment un poids, mais pour eux ca ne doit pas être la même chose de jouer en D1 ou en D2.
    Ceci dit, si une solution pouvait satisfaire tout le monde, ça se saurait...

  • José-Mickaël le 26/11/2008 à 17h01
    Road to Champions League
    mercredi 26 novembre 2008 - 10h28
    > Sinon, comme solution qui satisfait tout le monde, on peut trouver mieux. Parlez en aux valenciennois, stephanois, sochaliens, havrais, nantais (au hasard). Je ne sais pas si ils ont vraiment un poids, mais pour eux ca ne doit pas être la même chose de jouer en D1 ou en D2.

    Si on accepte cet argument, alors on devrait passer à 25 clubs, que dis-je à 30 clubs ! En plus ça augmenterait les recettes de la billetterie.

    En réalité, il faut placer le nombre maximal de clubs qui permettent d'avoir un calendrier non démentiel. Eh bien j'estime que le calendrier actuel est démentiel. Vous avez vu ce mois de novembre ?

    Si vous trouvez qu'une Ligue 1 à 20 clubs ne surcharge pas le calendrier, OK, on garde 20 clubs. Si vous trouvez même qu'on peut encore placer 4 matchs (par exemple en supprimant la coupe de la Ligue) on peut même passer à 22 clubs. Ça permet d'augmenter les recettes de billeterrie et ça satisfera les supporters (et présidents) de deux clubs supplémentaires.

    Mais si, comme moi, vous trouvez qu'on a dépassé la limite, eh bien il faut resserrer l'élite, ce qui a d'ailleurs aussi des avantages (on renforce légèrement les clubs de Ligue 1 en y concentrant les meilleurs joueurs). Certes, on perd un peu d'argent en billetterie et certains supporters seront mécontents, mais on n'a pas le choix à partir du moment où il fallait alléger le calendrier.

    Bref, si on n'est pas d'accord, c'est sans doute sur le diagnostique du calendrier. Pour moi, il faut l'alléger, c'est la priorité.

  • Road to Champions League le 26/11/2008 à 17h13
    Je pense qu'on est d'accord sur le diagnostique. C'est plus au niveau du traitement que ca coince : je trouve seulement que ce n'est pas vraiment juste de dire qu'on a une solution qui satisfait tout le monde. Ceci dit, la Bundesliga 1 se joue à 18.
    Sinon, si on supprimait juste la coupe inutile, ca serait déjà ca de récupéré, non ?

  • visant le 26/11/2008 à 17h34
    De toute façon certains ont déjà supprimé la coupe machin voire la coupe UEFA de leur calendrier alors...

La revue des Cahiers du football