Le cable réseau du serveur étant presque saturé, merci de ne vous connecter qu'en cas d'absolue nécessité de vous amuser. Attention à ne pas confondre vos minuscules et vos majuscules.
Vous avez oublié votre mot de passe ?
Inscription
Vous avez oublié votre mot de passe ? Il reste un espoir ! Saisissez votre adresse e-mail ; nous vous enverrons un nouveau mot de passe. Cette procédure est quasiment gratuite : elle ne vous coûtera qu'un clic humiliant.
Nous vous avons envoyé un email sur votre adresse, merci d'y jeter un oeil !

CONDITIONS D'INSCRIPTION :

1. Vous devez nous adresser, via le formulaire ci-dessous, un texte (format .txt inférieur à 100 ko) en rapport avec le football, dont la forme est libre : explication de votre passion, anecdote, aventure, souvenir, essai, commentaire composé, portrait, autobiographie, apologie, réquisitoire, etc. Vous serez ensuite informés de la validation de votre inscription par mail. Les meilleurs textes seront mis en ligne sur le Forum.

2. Nous ne disposons pas d'assez de temps pour justifier les retards d'inscription ou les non-inscriptions, et ne pouvons pas nous engager à suivre une éventuelle correspondance à ce sujet. Merci de votre compréhension.

Nous avons bien reçu votre candidature, on y jette un oeil dès que possible. Merci !

Partager :

PSG-OM : le débriefing

Ce qu'il y a de bien avec nos deux rivaux nationaux, c'est qu'il est aussi amusant de les renvoyer dos-à-dos que de les voir face-à-face, surtout lorsqu'ils rivalisent de démagogie. Arbitrage, plantages, dérapages, tout y était, même un joli match.
le 28 Jan 2003

 

Est-ce l'effet de dissuasion engendré par le débarquement armé de Nicolas Sarkozy sur le front du football, ou celui du vaste déploiement policier qu'il déplorait, mais les incidents ont été les plus limités depuis bien longtemps, avec "seulement" une trentaine d'interpellations. Même les banderoles haineuses avaient été remballées, à peine vit-on un "Luis, ta place est à l'asile" que n'auraient pas démenti certains des supporters de l'autre camp. En revanche, la découverte de barres de fer et d'armes blanches en grande quantité dans un des cars de supporters marseillais laisse pantois. C'est tellement gros que cela pourrait passer pour un coup monté. L'apaisement relatif a pu en tout cas être mesuré au poteau de corner près de la tribune "visiteurs", avec une densité de projectiles moindre qu'habituellement, malgré l'insistance de Hugo Leal à s'offrir comme cible. Même le rituel pétard lancé sur Ronaldinho a explosé loin son objectif.

Sur cette image (L'Equipe, photo La Provence/ PQR/ Pool), Laurent Perpère, facétieux, roule clairement un joint dans le dos de Nicolas Sarkozy*.
La nalyse sur le coude Les PSG-OM sont devenus depuis quelque temps des matches presque normaux sur le plan du jeu, de qualité satisfaisante, et non plus les violentes parodies de football des "grandes" années. Cette fois, on a même vu un très bon match, haletant et d'excellente facture technique. L'intéressante prestation d'ensemble des Parisiens en première mi-temps a fait oublier la bonne entame des visiteurs, venus avec trois attaquants et des intentions plus audacieuses qu'en octobre dernier. Équilibré après la pause, l'affrontement s'est progressivement tendu au fil des frictions, la fatigue, l'énervement mais aussi les occasions se multipliant à la fin du temps réglementaire et au cours de la prolongation. Une certaine singularité dans les choix tactiques des deux coaches a voulu que les entrées de Sytchev, Fernandao, Ronaldinho et Aloisio, c'est-à-dire les quatre meilleurs attaquants des deux effectifs, n'aient pas lieu avant l'heure de jeu. Bien que les visiteurs avaient progressé dans la l'engagement, c'est quand même sur ce terrain-là que les hommes de Fernandez l'ont emporté, à l'image d'un Heinze déchaîné, mais finalement plus maître de ses nerfs que la plupart des autres joueurs (et notamment de ceux qui se mêlèrent aux traditionnels accrochages). On notera pour mémoire les prestations presque indignes dans ce contexte de Jérôme Leroy (qui avait cette fois oublié de s'auto-suspendre) ou Franck Lebœuf, et au contraire le remarquable niveau atteint par Van Buyten, Hemdani, Potillon ou Hugo Leal. Ce dernier évoluait dans la position qu'il revendique comme sa plus naturelle, et il y a été plus convaincant que jamais. Mais Fernandez entretient décidément des rapports complexes avec les meneurs de jeu, faisant de Ronaldinho un neuf et demi, exilant Benachour à Troyes et Andre Luiz dans la quatrième dimension… Polémiques obligatoires sur l'arbitrage Le match a été forcément intéressant du point de vue de l'arbitrage, ou plutôt des commentaires sur l'arbitrage qu'il devait inévitablement susciter. Inévitablement, car on ne voit pas comment une rencontre de coupe aussi serrée entre des rivaux pareils pourrait se terminer sans que les décisions de l'arbitre soient accusées d'avoir décidé de la rencontre, illustrant une fois de plus ce réflexe consistant à ignorer totalement les dizaines de faits de jeu significatifs, occasions ratées en tête, pour rester bloqué sur deux ou trois coups de sifflets — aussi contestables soient-ils, mais ils le sont tous — qui expliqueraient le score à eux seuls... Le score a donc impliqué que ce soit les Marseillais qui portent leurs accusations, avec pour pièce à conviction l'expulsion de Dos Santos. Si le sort avait décidé autrement, par exemple, des trajectoires des tentatives de Fernandao, et fait de l'OM le vainqueur, les Parisiens auraient immanquablement parlé des deux penalties très sifflables sur Aloisio et Ronaldinho, de la faute ayant amené le coup franc de l'égalisation (après revisionnage, elle semble être plutôt marseillaise), ou encore de la non-expulsion de Bakayoko après son tacle sur Déhu… Bref il y a toujours moyen d'accuser l'arbitre, c'est son côté pratique. Les buts de ce discours deviennent transparents dans la bouche d'un joueur ayant largement raté sa prestation. Franck Lebœuf: "On repart malheureux parce qu'on n'a rien à se reprocher. On est passé à côté de la qualification à cause de ce fait de jeu" (L'Equipe). Ben voyons, c'est tellement plus facile et comme c'est exactement ce que veut entendre le peuple… Pourtant, si l'on mesure bien la difficulté à arbitrer un tel match, comportant autant de situations chaudes devant le but et d'échauffourées un peu partout, poussé jusqu'aux prolongations, dans un contexte aussi explosif, la performance de Stéphane Bré est parfaitement respectable, avec une écrasante majorité de décisions pertinentes et une rencontre aussi bien tenue que possible. On trouverait probablement l'arbitrage moins nul si l'on savait rendre de temps en temps justice aux arbitres. Testons encore l'arbitrage vidéo Dans les actions en question, les décisions qui auraient été prises après examen de la vidéo auraient de toute évidence aggravé les polémiques. Le tacle de Dos Santos en est l'exemple typique: il est bien "par derrière", mais pas d'une grande violence… C'est le genre d'action indécidable, qui peut aussi bien justifier un rouge qu'un jaune selon les interprétations. Alors autant laisser l'arbitre de champ décider dans l'instant et dans la continuité de son match, plutôt que de différer une décision qui fera autant de mécontents mais n'aura plus aucune excuse à leurs yeux. À la 4e minute de la prolongation, Meïté tacle devant Aloisio lancé en pleine surface. Dans le direct, les téléspectateurs ne voient pas bien et restent dans le doute, les supporters locaux hurlent à la faute mais n'en sont pas si sûrs, les commentateurs de TF1 restent quasiment muets sur le ralenti. On voit pourtant au magnétoscope que son pied rate totalement le ballon et que sa jambe fauche le Brésilien. Pour autant, avec ces mêmes images, on peut aussi se convaincre que l'attaquant s'empale sur le défenseur (le cas de figure est le même que pour la "faute" de Van Buyten sur Ronaldinho, juste avant l'expulsion de Dos Santos)… Le bug de Jean-Michel Larqué On aurait pu croire que la préretraite de Thierry Roland l'aiderait à évoluer dans son registre de commentateur et à apaiser ses névroses. Notre sommet national a été l'occasion de constater qu'au contraire la plupart de ses pathologies vont en s'aggravant, et qu'une simple prolongation pouvait lui être fatale. Toujours aussi catégorique pour juger d'un ralenti, l'ami Jean-Mi fut malheureusement victime d'un de ses accès chroniques, le blocage neuronal (ou erreur système). Il se bloqua en effet au début de la seconde partie de la prolongation, en constatant que la remise en jeu avait été effectuée une nouvelle fois par les Parisiens. Cela eut pour effet de perturber grandement notre commentateur qui n'en revenait pas et se désintéressa du jeu. Contrairement à Auxerre-Sedan, cette remise en jeu n'a pourtant pas vu s'enclencher d'action décisive, les Marseillais ayant même récupéré le ballon immédiatement. C'est-à-dire que l'infraction était insignifiante au possible, ce qu'ont reconnu plus tard les dirigeants phocéens. Mais même après que ses collègues lui aient répété qu'elle serait inévitablement sans suite, aucune réserve n'ayant été déposée, JML ne lâcha son os qu'avec beaucoup de réticence. Incorrigible À leurs reproches contre l'arbitre, les dirigeants et joueurs de l'OM ont pu avantageusement joindre la dénonciation de l'attitude de Luis Fernandez, qui pourra difficilement se défendre d'être un provocateur, même si son homologue n'est pas un ange non plus et s'il a beau jeu de diaboliser son vis-à-vis. Expulsé de Nice-PSG pour propos déplacés à l'égard de l'arbitre assistante, et donc prochainement suspendu, l'entraîneur parisien a encore jeté des pierres dans son propre jardin, au plus grand plaisir de ceux qui l'accusent d'être immature et de nuire à l'image de son club. Il n'a pas hésité à en rajouter en salle de presse, moquant Perrin de ne pas savoir faire respecter son équipe à Paris, au contraire de Bernard Tapie. Super référence. Évidemment, avec une victoire sur Marseille, Fernandez sait qu'il détient une marge proportionnelle à la reconnaissance des supporters. Peut-être, aussi, se rembourse-t-il par avance d'une éviction en fin de saison qu'il saurait certaine. Mais, dans un contexte aussi tendu, plombé par les contentieux et les violences, hyper médiatisé en raison du coup de projecteur sarkozien, ses petites danses, sa façon d'exciter les joueurs plus que de les calmer et d'employer l'insulte sont simplement irresponsables. Quant à son emploi de Francis Llacer en tant que pitbull décérébré de fin de match, il est assez symptomatique de sa mentalité, qui ne tient pas seulement à des dérapages ou des emportements de passionné. Sa stratégie se réduit peut-être à l'équation "pour rester entraîneur à Paris, il faut avoir le soutien des supporters, et pour avoir le soutien des supporters, il suffit de battre l'OM", mais il ne va pas mener le PSG bien loin avec cette méthode. Et il a fort bêtement préparé le terrain du prochain OM-PSG. Comme ce championnat reviendra à l'équipe qui saura enclencher et surtout faire durer une dynamique positive, et comme ce PSG de "coups" garde ses chances en Coupe de France, Fernandez a encore une chance de l'emporter sur ces innombrables détracteurs. Sur ses propres démons, c'est moins sûr. Les observations Le spectacle du Fernandez qui danse est-il plus insupportable que celui du Vahirua qui pagaye? Aurait-il fallu envoyer Bakayoko à Marcoussis pour qu'il se calme? Dommage qu'on n'ait pas joué l'hymne national. Si les Parisiens n'ont pas contesté sur les fautes subies dans la surface, c'est parce qu'ils avaient peur de se faire taxer de plongeurs ou parce qu'ils avaient peur de rater les penalties? Perpère et Bouchet, ensemble à la mi-temps, c'est pour le prochain prix Nobel de la paix? Les polyphonies sodomites du Parc des Princes ont encore enchanté nos oreilles par leur inimitable finesse. El-Karkouri a failli marquer un but de dingue, mais a fini sur un carton rouge banal. La sortie de Rocchi 2 n'est pas encore programmée. * Bien vu par suppdebastille sur le forum.

Réactions

  • tyty le 28/01/2003 à 16h47
    C'est etrange mais je ne suis pas sur que beaucoup fasse confiance à Luis ;-)
    "Avoir sa conscience tranquille", c'est aussi galvaudé que "mourrir avec ses idées"

  • Agora le 28/01/2003 à 16h58
    Assez d'accord avec JPD. Toutefois, pour être tout à fait juste dans ce débat de chiffonniers, il convient d'insister également sur le coté arrogant de Luis dans cette affaire. Arrogance qui n'a rien du chambrage (qui suppose de l'humour).

  • tyty le 28/01/2003 à 17h02
    Tout à fait d'agora-vec toi ;-)

  • NoNo93 le 28/01/2003 à 17h08
    D'un autre côté le côté arrogant ou humoristique peut vite être altéré par la façon dont sont rapportés vos propos, si vous voyez ce que je veux dire...
    (mais bon j'aimerais ne pas avoir trop à défendre Luis çà me coûte et c'est pas de gaîté de coeur, donc si on pouvait l'oublier ou tout simplement faire comme si il existait pas et nous autres pauvres martyrs Parisiens nous porterions notre croix en silence... Ok?)

  • plumitif le 28/01/2003 à 17h10
    JPD, si l'entraîneur Perrin a des qualités, la conception des rapports humains de l'homme Perrin n'est pas vraiment ma tasse de thé. Mais je m'interroge sur son changement d'attitude par rapport à Fernandez, alors qu'il avait souhaité il n'y a pas longtemps devenir son adjoint. Pour que ce psycho rigide change à ce point d'avis par rapport à quelqu'un en qui il avait considération, c'est que Fernandez a dû en faire des sévères au Parc.

  • cavalier sans tête le 28/01/2003 à 17h36
    Pour ceux qui ont vu le film, la gestuelle Luisienne m'a rappelé celle de Jesus Quintana (John Turturro) le joueur de bowling en collants violets dans The Big Lebowski.
    D'ailleurs comme les frères Coen (quand Jesus fait un doigt d'honneur), le réalisateur de Tf1 utilise le ralenti, seul procédé capable de faire ressortir tout le potentiel comique de la scène.

  • loustic is back le 28/01/2003 à 17h40
    Plumitif, il peut aussi avoir un peu de rancoeur envers Luis qui ne l'a pas pris comme adjoint !

  • le nihiliste le 28/01/2003 à 17h40
    ça rend mieux sur TF1, CST :--))

  • HowErjaet le 28/01/2003 à 18h32
    Ce n'est pas pour défendre Luis (que je n'aime pas trop), mais il était le seul à chambrer les marseillais aprés le but parisien, alors qu'après leur égalisation plusieurs joueurs marseillais sont partis, Van Buyten en tête, vers les supporters parisiens en faisant des signes qui voulaient dire "on ne vous entend plus".

    Pour moi c'est du même niveau, mais le plus ridicule c'est ce battage médiatique autour de cette anécdote.

  • JPDarky le 28/01/2003 à 20h00
    Alors la, le paralelle avec Jesus "You don't fuck with Jesus" Quintana est excellent, mon cher Cavalier Sans Tete, raaah, sortons deux minutes de ce debat qui n'a finalement que peu d'interet [ie, un bonnet de nuit comme Perrin trouve qu'un ahuri comme Luis en a fait un peu trop, entre nous, c'est assez tempete dans un verre d'eau] et re-memorons nous, voulez-vous, ce grandissime film au sein duquel se situe cette scene mythique de Jesus remontant une chaussette que l'on devine en acrylique expanse d'un mauve type smarties sur un mollet maigrelet mais fortement pourvu en poils, les poils sont tellement drus qu'on devine leur forme sous la fibre bayerisee, la camera, d'un mouvement ultra-maitrise remonte en meme temps que la min, et la on voit que Jesus dote d'un gout certain, porte une combinaison du meme ton sur et sophistique que la-dite chaussette. Cette combinaison le moule superberment; releguant les cravates piquees a Julien Lepers de Perrin au rang de daubasses infames. Il se concentre, faisant un avec sa boule [de bowling], cette union, quasi mystique, que n'aurait pas renie Paco Rabane, l'homme qui fit l'amour a la terre sur une plage, se concretise par un coup de langue somme toute assez sexuel sur la boule, forcement toute en rotondite, je vous dis que ca. Puis, Jesus, s'elance [au ralenti deja je crois], on voit sur son coeur qu'il porte son nom cousu par sa tatie Maria. Il lance la boule, la je vous la fait courte, mais il fait un strike [toutes les quilles tombees d'un coup, je dis ca pour nos amis nantis qui n'auront jamais la chance de frequenter ces lieux populaires et grouillant de populace que sont les bowlings]. Et la, effectivement, il se tourne, et execute, dans un ralenti que l'on aurait pu qualifier de JohnWoo-ien si on lisait trop de fanzines de djeunzs venerant Besson, mais nous ne mangeons pas de ce pain la, Canto merci, oui, donc, quoi? ha, oui, il execute un pas de danse a faire fremir un Boris Gudunov ou un Nureeyyevvvff, un truc a mourir. [j'ai oublie de vous parler du filet a provision mauve lui aussi qu'il a sur la tete, pour vous faire une idee, ce sera plus facile si tu es bordelaids, ami lecteur, c'est le meme filet a provision [mais il etait blanc] que portait le facetieux Danjel Ljuboja au match a Lescure en debut de saison, je me souviens plus du score, mais Danjel s'etait fait reprimander par l'ensemble de la presse pour cette attitude moqueuse et somme toute assez anti-sportive de moquage de l'equipe bordoboise en portant un accoutrement de tete ridicule, bref passons]. S'ensuit un dialogue exceptionnel avec le Dude et le tres grand Walter je crois, "You ready to be fucked man? I see you rolled your way into the semis. Dios mio, man. Liam and me, we're gonna fuck you up. " "Well, that's just, like, your opinion, man" "Let me tell you something, pendejo. You pull any of your crazy shit with us, you flash a piece out on the lanes, I'll take it away from you, stick it up your ass and pull the fucking trigger 'til it goes " lien "Jesus" "You said it man. Nobody fucks with the Jesus".

    Dois-je preciser qu'il s'agit d'un des plus grands films de tous les temps ? Et qu'a cote de ca, meme un Guingamp-Gueugnon pourrait paraitre ennuyeux; c'est dire.

    Sinon, pour revenir au debat, my dear Plumitif, je ne tiens pa specialement a defendre Luis, entre nous, je suis tout a fait sur qu'il a dit des saloperies, sa danse, je le concois, peut agacer lorsqu'on perd [mais entre nous, on a tant vante la chenille messoise, d'aucuns auraient pu s'emouvoir de la meme maniere, je trouve, c'est du meme acabit, en tout cas au niveau du respect de l'adversaire, et si on va par la, l'ensemble des manifestations de joie plus ou moins cretines et scenarisees du footeux moyen lorsqu'il a balance le cuir au fond des filets], mais franchement, je crois que Perrin devrait plutot s'interroger sur le vrai pourquoi de cette defaite, face a une equipe de PSG que tout le monde annonce morte depuis un moment, etc etc etc.

    C'est tout, je me repete, mais je pense que cet offusquage de circonstances permet fort opportunement de devier l'ire du supp marseillais.

    Mais je peux me tromper, le foot j'y connais pas grand chose, et les exploits des grands clubs [OM ou PSG], encore moins, je suis presque pas francais, je soutiens le RCS !

    Blourg

    JPD

La revue des Cahiers du football