CdF Omnisport
Le fil multiprise pour les disciplines orphelines...
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Charterhouse11 le 25/07/2022 à 20h58J'écoutais à 18h sur Inter le témoignage d'une concurrente française (peut être la meilleure je ne sais pas) qui ne décolèrait pas. En gros elle n'a jamais vu un peloton aussi bordélique et dangereux, avec des prises de positions ahurissantes, des tassements aberrant. Elle était hors d'elle contre ses adversaires.
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Tricky le 25/07/2022 à 21h23(Audrey Cordon-Ragot)
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Gazier le 25/07/2022 à 21h48L'australienne tentait de rentrer dans le peloton à la suite de la chute précédente. Vu de derrière, on dirait qu'elle fonce dans le tas en espérant que ça passe. Je ne sais pas à combien elle heurte Cavalli, mais elle a déconne.
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dugamaniac le 25/07/2022 à 22h09Vraiment j'arrive pas à imaginer que ce soit volontaire
Elle devait foncer sans regarder la route, comme c'est arrivé à Alaphilippe et Bernal .
Edit: vu de derrière effectivement, elle slalome
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Hydresec le 25/07/2022 à 22h09Il aura fallu que je lise vos échanges pour apprendre que le Tour de France femmes arrivait à deux bornes de chez moi. Belle publicité pour la vallée de la Bruche ! Je ne sais pas si je suis représentatif du "grand public" mais je dois admettre que la notoriété de l'épreuve ne m'avait pas atteint jusqu' à ce soir. Je suis forcément assez curieux de savoir comment les coureuses vont se comporter sur des routes qui me sont familières. Les organisateurs n'ont pas retenu la montée vers le Mont St Odile ou le Champ du Feu, sans doute trop compliqués à neutraliser - les montées auraient été plus longues avec des pourcentage équivalents voire plus élevés que ceux qui émailleront l'étape 6. L'étape du samedi sera plus escarpée mais pas de Col de la Schlucht, un beau bestiau pourtant. Mais avec Petit et Grand Ballons, il y a déjà de quoi faire. Et au passage, ces parcours me semblent plus humains que les succession de cols HC chez les hommes, même si ça c'est calmé depuis les parcours délirants des années 90 et 2000.
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Tonton Danijel le 25/07/2022 à 23h29Ce n'est pas volontaire (ne serait-ce parce qu'elle risque elle-même l'accident), mais c'est étonnant qu'en voyant les filles ralentir devant, elle n'est pas eu le même réflexe. Il fallait vraiment avoir la tête dans le guidon pour le coup.
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fabraf le 25/07/2022 à 23h33(Je répondrai prochainement à ton précédent post.)
Pour corroborer tes propos sur les parcours, je trouve que la réalisation de l'étape du jour a (ENFIN !!) bien rendu compte de la réalité de sa topographie. Et ceux contrairement au TdF Homme où même les portions à 10% paraissent plates.
C'est contre-intuitif parce que les moyens télévisuels sont bien moindres, pourtant je mesure davantage la difficulté de la route (peut-être parce que je roulais parfois dans ces coins-là également) que sur les 3 semaines précédentes.
A rapprocher avec mon sentiment de mieux vivre les matchs de foot quand il y a beaucoup moins de caméras autour, comme lors de cet Euro féminin où la LdC féminine.
Bon, j'imagine que je suis le seul, ou pas loin, sinon il n'y aurait pas cette course à la démesure télévisuelle.
Du coup, j'espère me rendre compte à quel point la Super Planche des Belles Filles est une ascension difficile ce week-end.
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fabraf le 25/07/2022 à 23h42Dans les commentaires, Jalabert l'avait expliqué en creux avant les chutes : ce TdF mélange des équipes pro et semi-pros comprenant des amateurs.
Parmi celles-ci, elles sont toutes capables de rouler seule sans souci ou dans un petit groupe pendant 100 km et plus à l'avant. Par contre, leur plus grande difficulté est leur manque d'habitude de rouler en peloton, en plus à des allures élevées, du fait du nombre de courses en général et réservées aux femmes en particulier.
Quand en plus tu rajoutes les oreillettes, ça rajoute à la difficulté : quand on te parle, tu es moins attentif à ce qui se passe autour de toi.
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Tonton Danijel le 26/07/2022 à 08h21Ben pour le coup, les oreillettes permettent aussi aux DS d'informer leurs coureuses en cas de chute.
Mais oui, le quasi-amateurisme d'une partie du peloton justifie la raison pour laquelle Rousse n'a pas voulu d'une course 'trop ambitieuse' pour commencer.
Et traumatisme crânien pour la pauvre Marta Cavalli...
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fabraf le 26/07/2022 à 09h25Oui et non Tonton. Elles ne sont pas toutes habituées à cet outil. Quand on te crie à l'oreille "attention, il y a une chute" sans que tu t'y attentes ni sans trop savoir où, ça doit perturber.
(Par contre, je ne m'explique absolument pas le comportement de l'Australienne).
Concernant ton second point, ce n'est pas le quasi-amateurisme d'une partie du peloton qui a justifié la durée de cette course (8 jours, ça fait quand même court) mais plutôt les coûts financiers pour beaucoup d'équipes.
Je me suis interrogé hier s'il n'aurait pas mieux valu assumer cette distinction entre équipes pros et semis-pros en autorisant les premières à engager 2 ou 3 coureures de plus que les secondes, voire des équipes B. Parce que là, on "pénalise" les équipes pros... mais bon, on a le même débat en D1 féminine comme le relaie souvent CHR$.