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Manette football club

Botter le cul des dieux de l'Olympe à coups de glaive ? Trop facile. Repousser une invasion extraterrestre à la sulfateuse ? Sans problème. Vaincre Barcelone en finale de champion's league aux commandes du Stade Brestois 29 ? Pfff, du gâteau. Vous êtes chez vous, enfoncé dans votre fauteuil. Les doigts virevoltant sur les sticks ou dansant sur votre souris. Invectivant votre écran, la mâchoire serrée, sous l'oeil inquiet de vos proches. Les fesses ruisselant de sueur dans votre jogging. Deux yeux rouges brillant au milieu d'un visage blafard. Et assurément, ce fil est fait pour vous. Sans oublier, pour ceux qui en ont marre des plaisirs solitaires, cette excroissance créée par des forumeurs des cahiers pour organiser des événements entre gens de bonne compagnie et dédiée principalement aux jeux de futchebol : ici

  • Johnny Ringo le 14/02/2023 à 13h16
    Salut,
    La série des Halo me fait un peu de l'oeil, d'abord parce que c'est un peu culte et que je n'y ai jamais joué, d'autre part parce que la perspective d'être emmené sur une histoire qui s'étale sur 5 ou 6 jeux me plaît bien (ils ont sorti un bundle abordable avec les 4 premiers opus). Le truc, c'est que je ne suis pas très porté FPS/TPS (j'ai fini un medal of honor une fois il y a longtemps, et borderlands m'est tombé des mains, ça m'emmerdait - voilà, c'est tout pour les FPS).
    Ca vaut le coup côté scénario / histoire, ou c'est 98% de tir et 2% d'histoire juste pour planter un contexte au massacre d'extraterrestres ?

    PS : j'ai aussi dégommé tout skyrim à l'arc, mais ça compte pas en FPS.

  • OLpeth le 14/02/2023 à 13h26
    Halo c'est quand même pas mal niveau histoire. Rien de transcendant mais ça se tient bien. Et le jeu en soi est un bon FPS.

  • blafafoire le 15/02/2023 à 20h48
    [DS3]
    P......N de Roi sans Nom.....
    J'ai fini par l'avoir mais que d'efforts, bon sang... Le pire étant que je ne le trouve pas forcément plus dur qu'un Sulyvahn, mais comme il ne pardonne pas et qu'on finit toujours par prendre un contretemps, c'est l'enfer.
    Bon, reste plus qu'à finir le jeu maintenant.

  • Jah fête et aime dorer Anne le 15/02/2023 à 22h24
    C'est le boss contre lequel j'ai eu le plus de mal perso, quand bien même paradoxalement ce n'est pas je trouve le boss le plus difficile du jeu de base (la danseuse est devant pour moi), sans même parler des boss du très bon DLC.

  • Flo Riant Sans Son le 16/02/2023 à 00h32
    Rhooo oui le roi sans nom! Le fils de Gwyn il me semble, quelle tanée celui-là. J'ai fini par l'avoir mochement à l'arc.
    Sinon, je crois que j'ai eu beaucoup de bol sur les paterns de la danseuse. Je l'ai eu du premier coup sans rien comprendre ou maîtriser du tout, alors qu'elle est souvent dans le top des boss les plus durs.

    Enjoy Dani, DS3 est mon premier Souls. J'en garde un souvenir attendri... Recroquevillé sous la table.

    Je n'ai pas touché aux Dlc, car il paraît qu'il y a un boss qui a 3 phases. C'est pas mon genre de chercher la merde...

  • Jah fête et aime dorer Anne le 16/02/2023 à 01h01
    La Danseuse est assez spéciale comme boss difficile, je trouve.
    D'habitude, dans Dark souls, les boss durs, ce sont les boss agressifs et/ou avec multiples adversaires (voire sacs à PV comme les dragons).
    La Danseuse, elle, elle est calme, te laisse du temps pour te soigner, ses attaques sont télégraphiées et lentes et laissent en général de la place pour les éviter, y'a des piliers pour se protéger. Et pourtant elle est dure à battre. Faut dire qu'elle tape fort, avec différents éléments (donc compliqué d'avoir un équipement défensif adéquat), que ses zones d'attaques peuvent être très grandes et surtout qu'elle a un rythme assez particulier (comme si une partition de musique censée être jouée à quatre temps était jouée à cinq temps).

  • magnus le 16/02/2023 à 09h27
    Flo Riant Sans Son aujourd'hui à 00h32
    "Je n'ai pas touché aux Dlc, car il paraît qu'il y a un boss qui a 3 phases. C'est pas mon genre de chercher la merde..."

    Ce boss est hyper dur mais ça mérite de le faire une fois pour la mise en scène et le doublage. Je n'ai pas retenu grand chose d'autre de ce DLC.
    Le 2ème, Ringed City, est plus riche mais trop plein d'idées que je trouve mal pensées, juste pour augmenter la difficulté. Je n'ai pas réussi à battre le boss final Gael (mais ptet que si j'avais essayé autant de fois que pour Malenia dans Elden Ring j'y serais arrivé, juste que j'en pouvais plus de ce DLC).
    La Danseuse, dure mais je la met derrière Roi Sans Nom/Friede-Ariandel/Gael en difficulté.

    Dans ma série "je commence un RPG japonais que je ne finirai jamais", Chained Echoes. Pas fan du graphisme mais l'histoire dès le début est intéressante, pour le gameplay beaucoup d'ajouts à la formule classique du tour par tour, on verra sur la durée si c'est pertinent.

  • blafafoire le 16/02/2023 à 11h23
    La difficulté du Roi sans nom tient aussi à la longueur du combat. Non seulement il faut d'abord maîtriser le Roi des tempêtes qui nous fait goûter les délices d'une caméra cinglée dans un environnement où le sol et le ciel ont la même texture, mais le Roi sans nom a beaucoup de PV ce qui nous oblige à répéter les coups et à tenir sur la durée.
    D'ailleurs j'ai commencé le combat avec une arme lente et très puissante, puis je me suis orienté vers une arme plus légère et rapide pour mieux utiliser les phases de "repos" qui sont assez courtes et trop risquées pour les coups puissants, et c'est comme ça que je l'ai eu.

  • blafafoire le 17/02/2023 à 15h32
    Bon ben voilà, j'ai fini Dark Souls 3, mon premier Souls, et c'était bien.
    Ne jouant pas beaucoup à ce type de jeu il m'a fallu un certain temps pour m'accoutumer au gameplay (d'abord pour les combats et ensuite pour le build d'armes et de compétences), mais dès que l'on maîtrise son personnage et que l'on comprend les logiques de l'environnement, ça va mieux et en s'armant de patience et de concentration on passe les différentes épreuves qui se présentent sans céder au découragement. Cela dit le jeu est tellement présenté comme difficile qu'au début j'avais vraiment l'angoisse de ne pas y arriver.
    Tout a été dit sur DS3, en bien comme en mal, je m'étendrai donc pas. Cependant la capacité du jeu à impliquer émotionnellement alors même que les aspects narratifs me sont passés totalement à côté m'a beaucoup surpris. Je pense que ça a quelque chose à voir avec l'architecture et cette verticalité éprouvante des niveaux (alors même que le personnage est à peine capable de grimper sur une bordure de trottoir). On finit par ressentir soi-même l'impression d'ascension et de chute, notre âme elle aussi semble l'objet du jeu.
    Enfin, un élément rarement souligné, c'est l'humour. C'est forcément assez léger et subtil, mais certains mobs sont vraiment drôles dans leur aspect, leur attitude, leur animation. Il y a ce décalage constant entre un sérieux narratif, aussi hilarant qu'un verset de l'Apocalypse d'une part, et la monstruosité quasi burlesque de ceux qui peuple cet univers d'autre part.
    Je vais attendre un peu pour lancer Sekiro, entamer quelque chose de plus calme, dans lequel on ne se fait pas attaquer en traître par un squelette au détour d'une porte.

  • Danishos Dynamitos le 17/02/2023 à 15h37
    Bravo ! Moi, j'attaque ce même jeu dès que j'ai terminé la dernière mission bonus de Hitman 3 sur l'île d'Ambrose.
    Et je serais très curieux de lire tes impressions pas à pas au fil de ton aventure dans Sekiro :)